Le mois de mai qui arrive est propice aux « ponts » qui font du bien, mais dont on a parfois perdu la signification. Dans ce numéro d’Urbi et Orbi, Edouard Husson nous en rappelle la signification. Une capsule de salubrité publique dans un temps où le sens des choses est « passé ».
Dans cet entretien, Edouard Husson rappelle tout particulièrement la signification :
- de l’Ascension
- de la Pentecôte
et leur rapport avec les fêtes juives correspondantes.
Je comprends que l’on puisse trouver artificiel ou fabriqué le fait que les fêtes chrétiennes prennent la suite de fêtes antérieures mais je trouve cela plutôt cohérent . Prenons l’exemple du jour de la naissance du Christ, Noël, en grec Neo Hélios, prend la place de la fête solsticiale d’hiver, Sol Invictus, la religion chrétienne prend naturellement la place des Fêtes solaires et agraires antérieures . Dénoncer l’origine païenne de Noël est un argument fallacieux des témoins de Jehova contre le catholicisme. Le christianisme se situe dans la continuité de la Religion Primordiale au sens de René Guenon.