Giorgia Meloni, présidente du Conseil italien, a empêché qu’un accord soit trouvé, lundi soir 17 juin, lors d’un sommet informel des chefs d’Etat et de gouvernement à Bruxelles, sur la liste complète des postes de direction de l’Union Européenne à pourvoir. Madame Meloni fait un calcul simple: du centre-droit à la gauche social-démocrate, Ursula von der Leyen a une large majorité (458 députés quand il faut une majorité de 361); c’est pourquoi elle essaie de fragiliser provisoirement le soutien des socialistes à la présidente sortante de la Commission Européenne – Giorgia Meloni ne donnera son accord à la nomination du socialiste portugais comme président du Conseil européen qu’après avoir obtenu un certain nombre de garanties pour les intérêts italiens de la part de Madame von der Leyen et des partenaires italiens.
Olaf Scholz et Emmanuel Macron auraient aimé que tout soit bouclé dans la soirée du 17 juin, le sommet européen des 27 et 28 juin n’ayant plus qu’à confirmer officiellement.
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Macron lui suit servilement Van der leyen candidate de Washington et Berlin, pourquoi Macron ne défend il jamais ou presque les intérêts de notre pays?
Parce qu’il est dépendant de ceux qui l’ont placé à l’Elysée. Et qui ne sont pas “les Français”…
Complètement d’accord avec Dominique . Macron n’est qu’une marionnette .