En août 2021, une loi imposant la vaccination contre le Covid-19 aux soignants a été adoptée. Parmi les 6 000 soignants qui ont refusé de se conformer à cette obligation se trouve Jean-Bernard Hunault, ambulancier chez Keolis Santé Nord Loire. Il a été suspendu pour avoir refusé de se faire vacciner contre le Covid-19 en septembre 2021. Il a décidé de porter l’affaire devant le conseil des prud’hommes de Nantes et il réclame plus de 141.000 € à titre d’indemnisation.
Jean-Bernard Hunault, ambulancier suspendu pour avoir refusé la vaccination contre le Covid-19, réclame une indemnisation de plus de 141 000 €. Son affaire a été présentée devant le conseil des prud’hommes de Nantes 18 juin. Pour mémoire, durant la crise COVID , les adeptes de la vaccination de masse s’accrochaient à la prétendue « protection des cas graves ». Protéger les autres « vaccinés », c’était l’argument le plus mis en avant pour forcer à la vaccination le personnel hospitalier (ils n’étaient pas les seuls, pompiers et militaires l’étaient également). Pourtant le constat était bien là, « les vaccins COVID » ne protègent pas un individu de l’infection, ni de sa transmission. La suspension des non vaccinés étaient une décision purement politique.
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