La crise du COVID a entraîné des conséquences considérables sur la santé mentale des adolescents à travers le monde. Une étude dirigée par la clinicienne-chercheuse au CHU Sainte-Justine et professeur au Département de pédiatrie de l’Université de Montréal, le Dr Nadia Roumeliotis, a révélé que la pandémie du Covid-19 a généré une hausse des hospitalisations pour troubles alimentaires chez les adolescentes de 12 à 17 ans. Si le Covid-19 a affecté physiquement les individus, il a également mis en exergue la hausse des syndromes dépressifs, notamment chez les jeunes.
Une étude récente dirigée par la Dre Nadia Roumeliotis, clinicienne-chercheuse au CHU Sainte-Justine et professeure au Département de pédiatrie de l’Université de Montréal, a mis en lumière une corrélation préoccupante entre les mesures de santé publique imposées au Canada durant la pandémie de COVID-19 et une hausse significative des hospitalisations des adolescentes âgées de 12 à 17 ans pour troubles alimentaires. Cette étude met en évidence la forte augmentation du nombre d’adolescentes souffrant de troubles de l’alimentation durant cette période difficile.
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