L’enlisement des négociations à gauche pour l’élaboration d’un gouvernement Front Populaire (et notamment l’incapacité à faire émerger une personnalité qui deviendra Premier Ministre) donne désormais un spectacle logé quelque part entre le théâtre de Guignol et “à l’ouest rien de nouveau”. Il faut dire que les dés sont pipés, notamment du fait de l’axe secret Macron-Mélenchon.
Rien ne va plus dans les négociations du Front Populaire pour choisir un Premier Ministre (ou, du moins, pour proposer un nom à Emmanuel Macron). Les intransigeances des uns et des autres durent depuis plus d’une semaine, et l’affaire n’a pas avancé d’un pouce. Pour ceux qui sont lassés de ces interminables palabres de parti, nous dressons ici une synthèse de l’actualité.
- Emmanuel Macron avait annoncé qu’il attendrait la mise en place de la nouvelle Assemblée Nationale (en l’espèce à partir du 18 juillet) pour choisir un nouveau Premier Ministre
- comme nous l’avions indiqué, il a accepté la démission du gouvernement pour permettre aux ministres élus députés de candidater à des fonctions dans la nouvelle Assemblée
- pour les raisons que nous indiquons dans la vidéo, et Macron et Mélenchon ne souhaitent pas le montage d’une coalition incluant la France Insoumise
- ce choix tient à un calcul pour 2027 (la vidéo explique tout)
- Mélenchon pousse donc ses partenaires à la rupture, pour pouvoir apparaître comme la seule force d’opposition au macronisme dans les 3 ans à venir
- Macron partage cette statégie, dans la mesure où elle lui permet de garder le contrôle de la coalition
Si vous voulez en savoir plus sur le dessous des cartes, ne manquez pas notre papier consacré aux relations secrètes entre Macron et Mélenchon.
La Méluche, fut fait par la presse subventionnée, principal opposant à Macrouille, sitôt l’élection présidentielle de 2017 achevée.
Et souvenons-nous aussi de leur fortuite rencontre à Marseille en 2018 : que d’obséquiosité de la part de la Méluche envers son maître.
Entre socialo-constructivistes, on sait se reconnaître…
Du vilain libéralisme, que tout ceci, n’est-ce pas ?
Melanchon a su transformer l’assemblée nationale en salle de comédie démocratique pendant le premier quinquenat, avec nombre l’insultes au peuple en tournant en dérision ses représentants. Cela est parfaitement synchronisé avec l’implantation de la dictature par la mafia élitiste globaliste qui organise une révolution culturelle (great reset) façon Mao Tse Tung en 1954. La France aurait-elle 70 ans de retard? On connait la suite : la purge violente des partisans de la liberté et autres dissidents, l’industrialisation, la famine, la rééducation sociale.