Avec la réélection de Yaël Braun-Pivet à la présidence de l’Assemblée Nationale, on pouvait penser que la coalition de fait entre macronistes et républicains permettrait de mettre en pièces les prétentions de la gauche à exercer le pouvoir. Encore fallait-il se déplacer pour voter ! Et patatras, les députés macronistes ont massivement quitté l’hémicycle… laissant la gauche prendre le pouvoir. Pour le pire de nos portefeuilles…
On récapitule les événements :
Ce contenu est réservé aux abonnés
Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.
Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.
L’opposition entre la gauche et Macron est question de postes et de pouvoir, donc superficielle. Tous veulent la dissolution de la France.
« … Une dictature, c’est un régime où une personne ou un clan décident des lois. Une dictature, c’est un régime où on ne change pas les dirigeants, jamais. » (E. Macron, juillet 2021)
La “gauche” servira à Macron pour s’exonérer de sa responsabilité dans l’augmentation des impôts. Les médias “oublieront” de rappeler qu’il est responsable d’un tiers de la dette.
À moins que Macron, complice de la gauche institutionnelle puisqu’en faisant parti, charge (et éventuellement se décharge si ça devait mal tourner) sur cette dernière pour augmenter les impôts : une belle hydre à deux têtes, un beau numéro de faux vrais duetistes.
C’est toujours mon histoire de médaille, remarquez !
Si, si, j’insiste…