Depuis le début du COVID-19, de nombreuses personnes à travers le monde ont remarqué des troubles cognitifs. Mark Chiverton, un Britannique de 33 ans, fait partie de ceux qui ont observé une augmentation des erreurs mentales, comme mélanger des mots ou oublier des termes simples. Ces oublis, bien que mineurs, sont devenus suffisamment fréquents pour qu’il se demande si le virus en était la cause. Chiverton a eu le COVID-19 à deux reprises et, bien qu’il n’ait pas ressenti d’effets physiques persistants, il se demande si ces erreurs sont des signes légers de ce que l’on appelle le « COVID long ». Aux États-Unis, environ un million d’adultes ont déclaré avoir de sérieuses difficultés à se souvenir, à se concentrer ou à prendre des décisions en 2023 , selon une analyse du New York des données du Census Bureau.
Le COVID-19, initialement perçu comme un virus respiratoire, est désormais reconnu pour affecter d’autres organes, y compris le cerveau. De nombreuses études ont montré que le virus pouvait provoquer une inflammation cérébrale ou des dommages aux vaisseaux sanguins du cerveau. Certaines recherches, comme une étude de 2024 publiée dans le New England Journal of Medicine, ont même montré que les personnes ayant contracté le virus présentaient une baisse de leurs capacités cognitives, avec une diminution moyenne de trois points de QI. Mark Chiverton, un Britannique de 33 ans, a remarqué que son cerveau ne fonctionne plus normalement après avoir été infecté par le coronavirus à deux reprises. Il a du mal à réaliser une tâche simple comme écrire des courriels. Il a également un problème de concentration. Chiverton n’est pas le seul à connaître ces problèmes. La question est : quel est réellement l’effet du Sras-CoV-2 sur notre cerveau ?
Le virus du Covid-19 et son impact sur le cerveau
L’expérience de Chiverton n’est pas isolée. Aux États-Unis, une analyse des données du Census Bureau a révélé qu’environ un million d’adultes supplémentaires ont signalé en 2023 des difficultés à se souvenir, à se concentrer ou à prendre des décisions par rapport à l’époque pré-pandémique. Ce phénomène a été largement observé et analysé par des scientifiques, notamment dans le cadre de recherches sur les effets à long terme du COVID-19 sur le cerveau humain.
Andrew Petkus, professeur de neurologie clinique à l’Université de Californie du Sud, explique que certaines erreurs mentales, comme oublier pourquoi vous êtes entré dans une pièce ou manquer un rendez-vous, peuvent être tout à fait normales. Ces oublis peuvent sembler plus significatifs à la suite de la pandémie, car cette crise a profondément marqué la manière dont nous percevons nos performances cognitives.
Pour le neuroscientifique cognitif et comportemental de l’Université d’Hawaii à Manoa, Jonas Vibell, penser que la pandémie a provoqué ces problèmes cognitifs est tout à fait légitime. L’expert tente actuellement de déterminer l’impact du Covid-19 sur le cerveau en mesurant l’inflammation et les lésions neuronales causées par le virus.
Ce qui est sûr, c’est que le SRAS-CoV-2 n’est pas un simple virus respiratoire. En effet, il peut toucher tous les organes du corps, incluant le cerveau. La question qui requiert encore une réponse est : est-ce que le coronavirus peut générer une inflammation persistante ou des dommages importants au niveau du cerveau ?
Des études ont démontré qu’une infection au Covid-19 peut provoquer des problèmes cognitifs. Elle est liée à un brouillard cérébral rendant la victime incapable de mener une vie normale ou de reprendre ses activités professionnelles. Le Covid-19 peut même entraîner la démence et les pensées suicidaires.
Une étude récente publiée dans le New England Journal of Medecine a révélé une baisse des performances cognitives des personnes rétablies du Covid-19. Les chercheurs ont indiqué un déficit d’environ trois points de QI. Selon le professeur de neurosciences cognitives et informatiques au King’s College de Londres et co-auteur de l’étude, Adam Hampshire, il s’agit d’un léger déclin qu’on ne pourrait même pas le remarquer. Et pourtant, il y a une vérité indéniable : les personnes rétablies du Covid-19 avaient des mauvais résultats lors des tests cognitifs.
Une autre étude sur le PNAS a révélé que la pandémie a généré un amincissement de certaines parties du cerveau des enfants, notamment ceux de sexe féminin. Autrement dit, le Covid-19 est associé à un vieillissement cérébral rapide chez les jeunes. Les chercheurs n’ont pas déterminé avec exactitude les causes. Mais ils ont conclu que le stress provoqué par la crise COVID elle-même a eu un impact plus profond sur nos capacités mentales.
Stress du COVID à l’origine d’une dégradation cognitive
Actuellement, le Covid-19 n’est plus considéré comme une urgence de santé publique. Tout le monde peut désormais reprendre une vie normale. La question est : est-ce que les problèmes cognitifs associés au Covid-19 sont réversibles ? Les experts cherchent encore la réponse à cette question.
Certains problèmes cognitifs comme le brouillard cérébral chronique associé à une inflammation persistante dans le cerveau ou des lésions au niveau des vaisseaux sanguins peuvent disparaître avec de bons traitements. L’étude de Hampshire a aussi révélé que les pertes de performances cognitives se sont résolues avec le temps. Il y a donc de l’espérance pour les personnes qui continuent à lutter pour retrouver une vie normale après une infection grave au Covid-19 ou un Covid long.
Le stress et les traumatismes sont connus pour affecter négativement la mémoire et les capacités de raisonnement. La crise COVID-19 a été un événement traumatisant à l’échelle mondiale, perturbant la vie quotidienne, créant de l’anxiété et isolant des millions de personnes. Ces effets pourraient contribuer à une dégradation cognitive globale, affectant aussi bien les adultes que les enfants.
Par ailleurs, de plus en plus d’études ont découvert que les injections favorisaient le développement de différentes pathologies incluant notamment les troubles neurologiques, sanguins et cardiaques. Quoi qu’il en soit, une étude plus approfondie reste nécessaire concernant les liens entre les vaccins et certains troubles neurologiques.
eh oui, la spike est délétère pour la santé… d’où la dangerosité des injections ARNm ayant pour but de la faire produire par le receveur…
La question est : quel est réellement l’effet du Sras-CoV-2 sur notre cerveau ?
Mais non, la question est: quel est réellement l’effet des injections Covid sur notre cerveau? Qui n’est qu’un organe parmi d’autres pouvant subir les graves conséquences de ce traitement pour une épidémie bénigne.
L’un n’empêche pas l’autre. Il est fort probable que le virus du covid est une arme biologique bidouillée en laboratoire. Une arme pour justifier l’utilisation d’une autre en soit disant solution. Après les statistiques que nous ignorons déterminent l’efficacité ou leur application ou non ou d’autres données inconnues.
” une étude plus approfondie reste nécessaire concernant les liens entre les vaccins et certains troubles neurologiques “.
Et on va payer des études et des études. Et les année vont passer. Et les journalistes vont écrire des articles, encore et encore, complaisants mais avec des sous-entendus. Et puis quoi ? On tourne en rond, non ?
Éric, tu le sais que ces injections sont de la merde. Alors ?
Putain ! Vous faites de la censure comme ces fils de pute du gouvernement. Allez bien vous faire foutre les bien-pensants du courrier. J’avais des doutes sur vos activités, vous me donner confirmation.
Depuis le début du covid-circus, j’ai été censuré par Twitter, Youtube, Facebook, Rémi Daillet, et d’autres. Aujourd’hui c’est le Courrier des Stratèges qui emploi cette même stratégie prônée par l’ex censeur Thierry Breton. Bravo les gars ! Certains détails de votre com’ m’avaient tapés à l’oeil. Je ne voilais pas y croire. Dire que ma mère vous a filé du pognon…
ça va la paranoïa du zinzin covidiste ? On n’est pas à tes ordres, à te publier dans la minute, donc on te censure ? Ton patron ferait ça, tu crierais à l’asservissement. Mais toi, tu as le droit de traiter les autres comme tes domestiques, c’est ça ? Pauvre crétin avachi, qui donne des leçons de morale et de solidarité, mais qui se comporte en petit tyran pervers narcissique.
Tiens, ça réagit.
Éric, cela fait des mois que je lis tes publications avec intérêt. La raison en est que je me considère comme un exemple de résistance à la dictature covid. Si j’ai réagis aussi sec, c’est que j’ai vu mon premier commentaire disparaître. Je me suis donc énervé. Et je vois à ta réaction, que derrière chaque homme censé il y a un homme en colère. Je suis en colère. Tu l’es aussi certainement. Pardonne-moi ces propos déplacés mais comme je disait plus haut, tu le sais que ces injections son la plus grosse merde que l’humanité a créé.
On a l’habitude avec les prétendus résistants qui sont restés fixés sur le COVID : dans cette catégorie, ils ne restent plus, pour l’essentiel, que des zinzins obsessionnels dans ton genre.
Je reste néanmoins étonné du ton de ta réponse. En général, moi, lorsque l’on m’agresse, je reste calme et cherche à avoir des explications. Je t’imaginais plus diplomate mais l’image que l’on souhaite donner en tant que communiquant reste une image, un rôle que l’on se donne et que l’on vend aux spectateurs. C’est lors de ces moments futiles que transparait la nature profonde de l’être.
Je suis parfaitement calme, et très sereinement, je te dis : arrête de te croire résistant, tu es juste devenu un zinzin. Et tu m’imagines comme tu veux, je ne pense pas que tu sois en position de donner des notes aux autres. En revanche, les délires sur la censure, c’est la dernière fois que tu les fais ici.
Je demande donc mon droit à la modération afin que soit supprimé mes deux derniers commentaires ainsi que la réponse d’Éric. Merci d’avance.