Le covidiste Dr. Jay Varma, est au cœur d’un scandale sexuel. Dans des conversations prises en caméra cachée, l’ancien conseiller médical du maire vaccinolâtre Bill de Blasio de la ville de New York a déclaré qu’il avait participé à des soirées de débauche au cours de la seconde moitié de 2020, alors que les New-Yorkais étaient dans confinement drastique au plein pic de la crise COVID. A l’époque, le Dr Jay Varma était le conseiller principal de la ville en matière de santé publique, Bill de Blasio, et l’un des plus fervents défenseurs des confinements, des masquages et de la vaccination obligatoire. Aujourd’hui, on découvre que le premier responsable de la santé publique de New-York avait personnellement enfreint les règles drastiques COVID, qu’il imposait.
Vous souvenez-vous quand les gouvernements occidentaux du monde entier ont réagi à la crise du COVID en nous ordonnant de rester chez nous et de ne pas rendre visite à nos amis et nos proches? Rappelez-vous quand ils ont enfermé tous les personnes âgées dans les EPHAD, où beaucoup ont succombés? Rappelez-vous comment les petites entreprises ont dû fermer, et les cultes ont été interdits. Alors que les covidistes privaient les habitants de la ville de New-York de leurs libertés les plus fondamentales, ces habitants viennent d’apprendre avec stupeur que l’ancien conseiller médical du maire de New York, Bill de Blasio, aurait organisé des fêtes de débauches sexuelles et assisté à une rave, au plus fort de la crise sanitaire.
Pratiques sexuelles « déviantes » alimentées par « des drogues »
BREAKING: Former NYC Covid Czar Held Secret Drug-Fueled Sex Parties During Global Pandemic; Says New Yorkers Would Have Been “Pissed” If They Found Out Because He Was Running Entire Covid Response For City
— Steven Crowder (@scrowder) September 19, 2024
Dr. Jay Varma, Former Senior Advisor for Public Health, NYC Mayor’s… pic.twitter.com/YrgniDUdFc
Certains résidents de Park Slope, un quartier huppé de gauche ont exprimé leur désarroi concernant Jay Varma, l’ancien conseiller médical de confiance du maire de New York, Bill de Blasio.
Ce dernier aurait organisé des soirées sexuelles en pleine pandémie. Dans une caméra cachée postée par le podcasteur Steven Crowder la semaine dernière, Jay Varma a avoué que ces pratiques sexuelles « déviantes » alimentées par « des drogues » n’étaient « pas respectueuses des règles COVID » qu’il a lui-même imposées, mais lui ont permis d’être son « soi-même authentique ». Durant ces soirées, « tout le monde a explosé parce que tout le monde était tellement refoulé », a déclaré Varma à propos de cette expérience.
Il a révélé dans la vidéo qu’il a accueilli un événement de ce type tout en exhortant les habitants de la ville à rester isolés.
Aucune excuse malgré les critiques
.@scrowder exposed how Jay Varma misled New Yorkers about COVID lockdowns while attending sex parties, despite families being separated from loved ones in their final moments. Varma's hypocrisy, emblematic of broader institutional failures, eroded public trust in leaders during a… pic.twitter.com/qgUcAAtKTn
— Adam Guillette (@adamguillette) September 24, 2024
Face au scandale, des groupes conservateurs, comme l’organisation Accuracy In Media (AIM), ont organisé des protestations contre Varma. AIM a même garé un panneau d’affichage mobile devant la maison de l’ancien responsable, l’accusant d’avoir trompé les New-Yorkais. Adam Guillette, président d’AIM, a déclaré: « Jay Varma a parlé aux New-Yorkais de la nécessité de confinements COVID alors qu’ils assistaient à des soirées de débauche, cet hypocrite s’amusait en toute impunité »
La conseillère municipale Inna Vernikov a condamné les actions du Dr Varma, déclarant:
«alors que les grands-mères succombaient seules sur des lits d’hôpital froids, le Dr Varma exerçait ses fantasmes avec des centaines d’inconnus en sueur.»
L’AIM a appelé à une enquête sur ses actions en tant qu’ancien responsable de la stratégie anti-COVID de la ville. Suite à ce scandale, le 23 septembre, SIGA Technologies a publié une déclaration confirmant le licenciement de son vice – président, Dr Varma, déclarant: «Conformément aux termes de son contrat de travail, le service du Dr Varma au conseil d’administration de l’entreprise a automatiquement mis fin à ses fonctions immédiatement».
Dans un communiqué, le Dr Varma reconnaissait ses actions mais se défend, en déclarant:
«Dans les conversations privées qui ont été secrètement enregistrées, coupées et sorties de leur contexte, j’ai fait référence à des événements qui ont eu lieu il y a quatre ans. »
Rien de nouveau.
Ils vivent leur hubris de façon décontracté (du gland, si je puis dire, dans ce cas de figure).
Ils doivent cérébralement (psychiatriquement ?) jouir d’imposer les contraintes qui pèsent sur nous, tandis qu’ils se lâchent.
Il est plus que temps de les éliminer : à nous de déterminer de quelle façon…