Depuis la fin de la crise Covid-19, les autorités sanitaires européennes et américaines annoncent une hausse alarmante des cas de coqueluche. Selon elles, la maladie fait un retour en force, menaçant particulièrement les populations les plus vulnérables, notamment les nourrissons. Une nouvelle occasion pour ré-insuffler la peur dans la population et pour relancer la propagande vacciniste.
En 2024, la coqueluche connaitrait une résurgence dans de nombreux pays. Aux États-Unis, plus de 18 500 cas ont été signalés depuis le début de l’année. Selon les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), le nombre de cas a été multiplié par cinq par rapport à l’année précédente. Cette situation est également préoccupante en Europe, où plusieurs pays connaissent des flambées épidémiques.
La vaccination pour freiner la propagation
En France, les autorités sanitaires signalent la pire épidémie de coqueluche depuis 25 ans, avec près de 35 000 cas confirmés par test PCR. L’épidémie, en cours depuis le début de l’année 2024, a causé la mort de 22 enfants, dont 20 nourrissons, selon Santé publique France.
La coqueluche est une infection bactérienne des voies respiratoires, causée par la bactérie Bordetella pertussis. Elle débute souvent par des symptômes semblables à ceux d’un rhume, mais elle est redoutée pour la toux violente qu’elle provoque, d’où son surnom de “toux des 100 jours”. La maladie peut durer plusieurs semaines et est particulièrement dangereuse pour les nourrissons non vaccinés, chez qui elle peut entraîner des complications graves, voire mortelles.
Comme avec le COVID, les autorités sanitaires insistent sur l’importance de la vaccination, et recommandent notamment la vaccination des femmes enceintes, qui permettrait de protéger les nouveau-nés. Les Centres européens de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) confirment que cette stratégie pourrait réduire le risque de mortalité chez les nourrissons trop jeunes pour être vaccinés.
Une recrudescence après le COVID
Les épidémies de coqueluche sont généralement cycliques, apparaissant tous les trois à cinq ans. Cependant, la pandémie de Covid-19 a perturbé ces cycles. Selon l’Institut Pasteur, la baisse des interactions sociales et l’adoption des mesures sanitaires pendant la pandémie avaient considérablement réduit la circulation du virus. En 2024, les cas de coqueluche ont explosé, avec une recrudescence qualifiée “d’inédite” par les experts.
L’augmentation observée correspond à un “retour à des tendances plus habituelles”, selon les CDC, après plusieurs années où la maladie avait largement reculé. Aux États-Unis comme en Europe, les autorités sanitaires sont en alerte.
L’Europe n’est pas en reste. Selon un rapport de l’ECDC, près de 60 000 cas de coqueluche ont été enregistrés entre 2023 et avril 2024 dans plusieurs pays européens. Ce chiffre est dix fois supérieur à ceux des années précédentes. En Angleterre, plus de 13 000 cas ont été recensés entre janvier et août 2024, selon l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA), avec un total de 10 décès de nourrissons. Bien que les cas aient diminué après un pic au début de l’année, le niveau reste élevé par rapport aux périodes pré-Covid.
comme la vaccination covid fait diminuer l’immunité des individus (selon le professeur Zizi)…
Confirmation par de grands spécialistes.
Flambées épidémiques… alors que c’est un vaccin largement utilisé. Ce vaccin, comme celui de la polio, générerait-il des épidémies? La question mérite d’être posée car son efficacité laisse à désirer. Sans compter les complications.
Je l’ai moi-même reçu, avec rappel avant de faire une coqueluche carabinée.
Concernant les bébés, quel est le rapport bénéfice/risque alors que les vaccins sont soupçonnés d’être en cause dans les morts subites du nourrisson?
Un article très complet sur les vaccins infantiles
https://reseauinternational.net/les-vaccins-sont-ils-utiles-de-la-croyance-aux-faits/
Plutôt COLUCHE que coqueluche.