La directrice des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des Etats-Unis, Mandy Cohen, a approuvé deux recommandations formulées par le comité consultatif de l’agence. Elles concernent les vaccins COVID-19 et pneumococciques pour les personnes à risques, à savoir les personnes âgées et celles dont le système immunitaire est affaibli. Le constat est pourtant là. A part les effets secondaires parfois graves, les vaccins anti COVID ne peuvent pas assurer une protection contre l’infection, ni bloquer la transmission entre individus.
Mandy Cohen, directrice du CDC, a récemment approuvé deux recommandations formulées par le comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) concernant les vaccins COVID-19 et pneumococciques pour les personnes âgées. Ces nouvelles directives covidistes concernent les personnes âgées et immunodéprimées, qui seraient particulièrement exposées aux formes graves de maladies respiratoires. Même si la tendance actuelle n’a encore rien d’alarmant, et que les effets secondaires de la vaccination Covid soient particulièrement à risque, les USA poursuivent une politique sanitaire qui repose sur le déni de réalité.
Des doses supplémentaires pour les plus âgés et les immunodéprimés
L’ACIP a présenté deux nouvelles recommandations sur les vaccins contre le Covid-19 pour les personnes âgées de 65 ans et plus modérément ou sévèrement immunodéprimées. Elles ont été approuvées par le CDC.
Selon la nouvelle recommandation, les personnes mentionnées ci-dessus peuvent recevoir une nouvelle dose de rappel au cours de la saison 2024-25. Il devrait toutefois y avoir un intervalle de 6 mois entre la nouvelle et la dernière injection.
Suite à la nouvelle recommandation du CDC, les médecins peuvent également autoriser l’administration de doses supplémentaires de vaccin contre le Covid-19 aux personnes gravement immunodéprimées.
Selon le CDC, les données disponibles confirment que la vaccination peut protéger les personnes les plus à risque contre les formes graves du Covid-19. Par ailleurs, recevoir une nouvelle dose de rappel peut « rétablir et améliorer la protection contre les variants du virus actuellement responsables de la plupart des infections et des hospitalisations aux Etats-Unis. Notons que les vaccins mis à jour contre le Covid-19 sont déjà disponibles.
Recommandations sur les vaccins antipneumococciques
Le CDC a également approuvé la recommandation de l’ACIP sur la vaccination antipneumococcique. Désormais, les adultes de 50 ans et plus peuvent recevoir le vaccin contre le pneumocoque. Auparavant, il était uniquement destiné aux personnes âgées de 65 ans et plus.
Selon le CDC, le risque d’infection est de plus en plus important à partir de l’âge de 50 ans, ce qui explique cette décision. Notons que les bactéries pneumococciques peuvent générer des troubles graves comme la méningite, la pneumonie et les infections sanguines.
En partant de la supposition que le vaccin perd de son efficacité avec le temps, il n’y a rien qui puisse réellement prouver que les vaccinés seront indubitablement à l’abri des formes graves. Tout ceci montre qu’il n’y a aucune raison de procéder à une tout autre étape vaccinale.
Le Courrier des Stratèges
Pensez par vous-même
Pour commencer, et si on leur donnait le nom qu’ils méritent de “traitement” et non de vaccin ? Je vous rappelle que récemment cela a été jugé par la cour d’appel de Californie, comme quoi ce ne sont pas des vaccins mais des traitements.
On voudrait se débarrasser des “inutiles”, de ceux qui sont une charge pour la société, qu’on ne s’y prendrait pas autrement.
vu que les injections ARNm affaiblissent le système immunitaire…
Votre commentaire est probablement le plus juste. On ne peut pas dire qu’il y ait eu une hécatombe de morts malgré les milliards d’injections.
Par contre il est aisé de constater dans son entourage qu’un injecté tombe plus facilement malade dans les mois qui suivent.
Il s’agirait donc probablement de soigner les gens de leur bonne santé afin qu’ils puissent enfin consommer d’autres produits pharma en toute tranquillité !