Même quand on n’a ni intelligence ni courage, les mécanismes de l’Union Européenne sont pleins de ressources cachées. Macron et Scholz n’oseraient pas s’allier à Orban pour mettre un veto à une nouvelle aide de six milliards pour l’Ukraine. Mais ils invoquent des prétextes bureaucratiques et se retrouvent “à l’insu de leur plein gré” du côté d’Orban contre Ursula von der Leyen.
Le Service européen pour l’action extérieure (SEAE) a évoqué la possibilité d’autoriser les États membres à verser des contributions volontaires à la Facilité européenne pour la paix (EPF), qui aide à financer l’équipement militaire. Cela permettrait aux fonds futurs de circuler en fonction du consentement des contribuables plutôt que d’un soutien unanime. Cela permettrait de contourner le veto de la Hongrie à une nouvelle contribution de l’UE au carnage dans lequel les Occidentaux ont plongé l’Ukraine.
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