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Partir à la campagne ou s’expatrier, c’est changer, voire bousculer ses habitudes alimentaires, santé, éducation, conduite. Bref, c’est faire preuve de capacité d’adaptation et de respect des règles locales sous peine de ne pas s’intégrer mais aussi de ne pas pouvoir atteindre l’autonomie si tel était l’objectif que l’on s’est fixé en quittant la ville.
Dans un précédent article nous avons abordé le sujet des compétences nécessaires (lien Suis je capable de tout quitter et de devenir résilient ? ) pour s’installer au vert ou sous les tropiques. Dans un autre, nous avons abordé les différences entres ces personnes , porteuses du gène du voyageur DRD4-7R, prêtes à partir n’importe où, et les 80% d’autres personnes qui doivent franchir certains blocages pour y arriver.
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© 2023 Le Courrier des Stratèges
J’aime la nature et la permaculture… et aussi manger des animaux. Il serait temps de déconnecter les deux. Histoire de respecter notre anthropologie et de ne pas effrayer les gens raisonnables.
Un site de survivalisme hyper pragmatique, loin des cinglés de la gâchette qu’on nous présente souvent :
https://www.resilience-urbaine.com/
Voir surtout la partie essentiels, et produits à stocker en cas de crise.
Dans l’optique de l’autonomie alimentaire je m’étais formé en 2016 à la Ferme Sainte Marthe, en Sologne, dans un établissement pionnier (1995) de la formation au maraîchage en bio.
Le lieu vient tout récemment de déménager récemment un peu plus loin, dans le Berry (car la Ferme Sainte Marthe va désormais accueillir une formation diplômante “agroécologie paysanne et civilisation” à partir de cet automne). J’en garde globalement un très bon souvenir, même si j’avais fait un peu mon tri dans une partie du contenu (les histoires de jardin Mandala ou encore de dynamisation de l’eau, laissaient froid le Chrétien que je suis).
Je signale cette formation pour ceux qui sont intéressés par une formation plus approfondie : deux mois, et dans une optique professionnelle ou quasi professionnelle. Il y a la possibilité d’aller plus loin encore avec deux modules complémentaires.
https://www.formationsbio.com/formation/entrepreneur-en-filiere-bio/
Divers stages en format très court (deux jours) sont aussi dans leur offre de formation.
Je constate que depuis six ans les offres se multiplient, se diversifient, et il est très appréciable que des structures comme Prise de Terre aient émergé, avec une optique autonomie alimentaire, et autonomie énergétique aussi. Merci au Courrier des Stratèges de nous l’avoir fait découvrir.
Il n’est pas évident de posséder et disposer une terre d’environ 4 ha pour nourrir et loger une smalah d’une douzaine de personnes. Un statut d’agriculteur n’est-il pas nécessiare?
le statut d’agriculteur est nécessaire pour acheter des terres agricoles. Par ailleurs je confirme il ne faut pas être fainéant pour cultiver assez pour pouvoir envisager un commencement d’autosuffisance: en fait le dicton c’est ” le jardin= souvent un peu” c’est à dire qu’en fait il faut pratiquement y passer tous les jours déjà avec quelques centaines de mètres carrés.
n’étant pas abonné je ne peux lire l’article; mais vu le titre “permaculture” et les commentaires, je vais quand même mettre mon grain de sel;
car avoir du terrain (ce qui n’est pas donné à tout le monde) et de la bonne volonté n’est pas tout; dans tout ce que tourne autour de culture bio/ perma le plus important sont les “bras” ! et donc le plus important c’est d’être jeune et en bonne santé! alors pour les autres ne rêvez pas.
et même comme ça, ne croyez pas pouvoir en tirer un revenu, juste vous nourrir; les fermes perma qui se portent bien vivent des stagiaires qui paient le stage + le gite + travaillent gratis.