Alors que l'Union Européenne a acheté les vaccins Pfizer pour un montant de près de 75 milliards €, un contrat record signé dans des conditions anormales selon les termes de la Cour des Comptes européenne, le patron de Pfizer, Albert Bourla, refuse d'être d'être personnellement auditionné par la commission spéciale du Parlement européen sur le COVID. Selon nos informations, le rapporteur de la Commission a pourtant beaucoup insisté pour qu'Albert Bourla se rende à Bruxelles pour s'expliquer. En vain...
Mais pourquoi ne sommes-nous pas étonnés d’apprendre qu’Albert Bourla refuse obstinément de venir présenter personnellement le bilan de Pfizer sur la question du COVID devant la commission spéciale du Parlement européen ?
Nous avons déjà souligné qu’Albert Bourla avait préféré envoyer, dans cette audition hautement sensible, une personnalité de second ordre devant le Parlement européen, qui doit l’auditionner le 10 octobre. Cet étrange désistement s’inscrit dans le cadre d’une polémique vive sur les conditions dans lesquelles le marché Pfizer a été passé.
On se souvient notamment que la Cour des Comptes européenne a déploré que le marché soit conclu avant l’appel d’offres et que la procédure habituelle de négociation n’ait pas été respectée. En outre, Ursula von der Leyen a refusé de transmettre à la Cour les messages qu’elle a échangés avec Albert Bourla en amont du contrat.
Bourla s’obstine
Face à l’évitement d’Albert Bourla, plusieurs députés de la Commission auraient demandé le boycott de Pfizer en bonne et due forme durant ces auditions. La rapporteuse de la Commission, Kathleen van Brempt (socialiste flamande) leur a répondu en précisant ceci :
That is why, upon receiving the communication on the cancellation of the participation of Mr. Bourla, both the secretariat and myself, in my capacity as chair of the committee, have reached out directly to our contacts at Pfizer, clarifying that Mr. Bourla is a person of key interest for the committee and his participation in this hearing is vital to the work of our committee members. I have therefore explicitly asked them to reconsider this decision and to confirm the participation of Mr. Bourla for the hearing of October 10. Despite our best efforts, the company confirmed last week that Mr. Bourla will not participate in the hearing and Ms. Small will represent the company.
(C’est pourquoi, après avoir reçu la communication sur l’annulation de la participation de M. Bourla, le secrétariat et moi-même, en ma qualité de président du comité, avons contacté directement nos contacts chez Pfizer, précisant que M. Bourla est une personne d’intérêt clé pour le comité et sa participation à cette audience est essentielle au travail des membres de notre comité. Je leur ai donc explicitement demandé de reconsidérer cette décision et de confirmer la participation de M. Bourla pour l’audience du 10 octobre. Malgré tous nos efforts, la compagnie a confirmé la semaine dernière que M.
Bourla ne participera pas à l’audience et Mme Small représentera l’entreprise.)
Autrement dit, pour Albert Bourla, le Parlement européen ne compte pas et il refuse de se plier aux pressions “diplomatiques” pour s’expliquer devant les représentants élus de ceux qui ont payé ses achats de vaccin.
Tout indique désormais que cette bataille du vaccin devrait être au centre d’une défiance majeure entre l’opinion publique et la caste européiste.
Bourla, c’est un commercial qui a magouillé. Ni le premier, ni le dernier. Certes les montants en jeu sont importants. Mais le pdg de Pfizer n’a des explications à donner qu’à ses actionnaires…
Par contre, c’est Ursula von der Leyen et tous ceux qui ont participé à ce cirque d’appel d’offres qui doivent répondre de leurs actes. et UVL devrait être obligé de fournir les SMS. Le plus drôle, c’est que la NSA doit avoir une copie de ces SMS, et peut être d’autres services secrets. Mais ils ne les donneront jamais…
Il faudrait porter plainte contre ULV, les motifs sont là. Qui le fera, là est la question.
UVL jouit, tout comme le pdt de la Rép. française, d’une immunité durant l’exercice de son mandat. En plus, en bon petit soldat de l’oncle Sam, elle doit jouir de toutes les protections. C’est le problème de cette caste des intouchables : ils n’ont de compte à rendre à personne et peuvent jouer les bravaches.
Alvértos Bourlá est né le 21 octobre 1961 en Grèce, de parents juifs. Il est docteur vétérinaire. Il rejoint le groupe Pfizer en 1993 en tant que docteur vétérinaire et directeur technique de la division santé animale en Grèce. En novembre 2020, A. Bourlá revend pour 5,6 millions de dollars d’actions qu’il détenait au sein du capital de Pfizer, le jour de l’annonce de la fiabilité à 94 % du vaccin contre le Covid-19. Il est imité par sa vice-présidente, Sally Susman. Ses participations au Forum économique mondial de Davos et aux réunions du groupe Bilderberg, dont le président actuel est l’assureur français Henri de Castries, posent questions. Pour essayer de justifier son non déplacement nous dirons : Il attrape régulièrement la Covid, c’est un cas contact ‘permanent’, il ne parle pas bien l’anglais pour discuter à Bruxelles, il est docteur vétérinaire et donc peu compétent en médecine humaine, Sally pallie à ces défauts.
75 milliards et des dizaines de milliers vies détruites. Il faudrait demander à Bourla et Barbie (qui essaie régulièrement de se faire passer pour une bonne chrétienne) à combien ils estiment la valeur d’un être humain.
“à combien ils estiment la valeur d’un être humain.”
Tout dépend le ratio de ce que produit et dépense le dit humain en question cher ami! Si il dépense plus qu’ il ne produit il est néfaste et nuisible pour les parasites/mondialiste. Pour ça du reste qu’ils tuent les gens a petit feu avec leurs injections et rendent infertiles les femmes. En fait c’est bien une simple question de part de gâteau.
La Commission européenne a déjà réservé jusqu’à 4,2 milliards de doses de vaccins contre la COVID-19, et des négociations sont en cours pour obtenir des doses supplémentaires. Dans le même temps, elle a commencé à s’occuper des nouveaux variants, dans le but de mettre au point et de produire rapidement et à grande échelle des vaccins efficaces contre ces variants.
https://ec.europa.eu/info/live-work-travel-eu/coronavirus-response/safe-covid-19-vaccines-europeans_fr
Commission européenne, 2 février 2022.
Si la NSA détient une copie des SMS, il y a fort à parier que les USA utilisent cette arme redoutable comme un moyen de pression très efficace.
Cela explique sans doute pourquoi tant de décisions contraires aux intérêts des peuples européens sont prises par cette “élite” non élue.
Nul besoin d’être complotiste, il suffit d’analyser objectivement les faits et les manipulations dont nous sommes victimes.
N’oublions pas qu’il a le COVID malgré ses quatre vaccins. Il ne veut probablement pas contaminer le parlement européen. Ce scrupule l’honore.
Bourla ne peut pas venir, il a le COVID! Malgré 4 injections de son propre vaccin, ce qui en dit long sur son efficacité… La vraie question c’est qu’est ce que nous, Français, faisons dans ce merdier qui s’appelle l’UE et qui nous fera les poches jusqu’au dernier centime.
“Commissionné” Ursula = 1 fait habituel. MAIS l’Urgence sanitaire a permis-admis l’irresponsabilité des labos/ “rares” EI: ils devront être assumés par les 27 Etats, ou ces produits ont “mis à disposition gratuitement”, chaque état étant “responsable de sa stratégie”. ET en ➕ il a été négocié des garanties PROVISIONNELLES pour “indemniser” BNT-Pfizer de leur frais d’avocats+amendes infligées en cas de procès intentés par des tiers, les Etats s’en garderont bien. Et profiteront de l’aubaine pour instaurer un essai d’obéissance-contrôle de leur population.
Les SMS, AVANT officialisation des contrats d’achat= les NEGOTIATIONS / montant et nature de ces garanties PROVISIONNELLES exigées par BNT-Pfizer. Je pense classées “secret défense” /montant et nature sur fonds souverains LESQUELS ???, ou en cas que cette “chimère” échappée +/- accidentellement d’un lab qui y mettait une dernière main soit 1 bioweapon. Et en fonction, alors le 1erprix d’ACHAT du produit a été proposé et accepté par…la PAYEUSE Christine. Quant à celui (Thierry?) qui impulse les commandes …Allez, devinez pourquoi les livraisons sont +chères pour certains ou celles à venir vont devenir + chères à l’unité, comme se le demande Michèle/ l’UE. Et de même pourquoi Agnès s’est retrouvé ET en Suisse ET à l’OMS .
Il est bien évident que cette convocation du parlement européen n’est pas réellement motivée: jamais un fournisseur ne va avouer, de son plein gré, avoir versé des pots de vin à l’acheteur, fonctionnaire exécutif de son client. La corruption de l’acheteur doit d’abord être prouvée : c’est une enquête policière. L’UE a-t-elle une police? La police allemande n’est-elle pas l’une des meilleures au monde?
Que faisait le Parlement européen il y a deux ans? Cette corruption possible n’était-elle pas envisageable alors?
Dans ce cas, il faut passer le relais à l’ajustice, car si elle le condamne, elle pourra également émettre un mandat international contre lui, ce qui lui rendra la vie plutôt difficile et devrait pouvoir le convaincre de se bouger le cul (oupas, auquel cas il faudra se retourner vers la seule disponible dans cette carabistouille financière de haute volée…)
Enfin ça, c’est dans un monde normal, pas dans une groß europa téléguidée par les zobèses et dirigée par une non-élue dont la liste de
casseroleschaudrons ne cesse de s’allonger au fil des jours.