Selon une étude menée par les chercheurs de l’Université de Pennsylvanie, la "désinformation" sur l’innocuité des vaccins Covid serait à l’origine du faible taux de vaccination des enfants. Par ailleurs, les chercheurs ont également révélé que 40% des personnes les plus susceptibles à la désinformation ont reçu leurs injections anti-COVID-19.
Aux États-Unis, la campagne de vaccination des enfants âgés de plus de 5 ans avait débuté en novembre 2021. Contrairement aux prévisions de Rochelle Walensky, directrice du centre de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), qui avait déclaré à l’époque : « Nous savons que des millions de parents (…) veulent faire vacciner leurs jeunes enfants, et avec la décision d’aujourd’hui, ils le peuvent ». Mais il semblerait que la vaccination des enfants suscite peu d’engouement. À ce jour, près de 70 % des enfants américains âgés de 5 à 11 ans ne sont toujours pas vaccinés. Selon une étude des chercheurs, l’université de Pennsylvanie, la désinformation sur l’innocuité des vaccins serait l’une des principales raisons de cette réticence.
Une désinformation sur la sécurité des vaccins
Les chercheurs de l’Annenberg Public Policy Center de l’Université de Pennsylvanie ont mené une enquête nationale auprès de 1.600 adultes en avril, juin et septembre 2021, puis en janvier 2022.
Le sondage a été effectué quelques mois après l’autorisation d’utilisation d’urgence des vaccins contre le Covid-19 pour les enfants de 5 à 11 ans par la FDA (Food and Drug Administration).
Les résultats de cette enquête publiés dans la revue Vaccine ont révélé que la « désinformation » concernant les vaccins Covid serait à l’origine de l’écart important entre les taux de vaccination des enfants et des adultes.
L’étude a aussi dévoilé que la plupart des parents qui ont refusé ou hésité à vacciner leurs progénitures sont républicains, chrétiens évangéliques ou encore noirs et latinos. Selon l’étude, nombreux adultes vaccinés sont réticents à faire vacciner leurs enfants.
40% des complotistes ont été vaccinés
Selon les chercheurs, la désinformation concerne notamment l’innocuité des vaccins Covid-19. L’étude révèle également que les personnes interrogées ont tendance à croire aux affirmations selon lesquelles, les vaccins ont provoqué des milliers de décès, que les vaccins à ARN messager modifient l’ADN, que les vaccins ont un impact sur la fertilité.
Mais pour Selkon Kathleen Hall Jamieson, co-auteur de l’étude et directrice d’Annenberg Public Policy Center, ce sont « des inquiétudes injustifiées ». Elle estime que la pandémie est propice à la diffusion de fausses informations et que la dissipation des doutes des parents devrait constituer une « priorité de santé publique ».
L’étude relève par ailleurs que 40 % des personnes les plus enclines à « ces fausses informations » ont reçu les vaccins COVID-19. De même, les chercheurs ont aussi découvert que les parents d’enfants noirs et latinos, les chrétiens évangéliques, les républicains et les femmes étaient les plus réticents aux vaccins.
Si l’OMS décrit le phénomène de désinformation autour du Covid-19 comme une « infodémie ». En réalité, on s’aperçoit de plus en plus que la désinformation a pour objectif de décrédibiliser la sphère dite « complotiste » mais également de ne pas faire connaître au grand public les facteurs de risques liés à la vaccination. Nous l’avons évoqué dernièrement, depuis 2020, un certain nombre de gouvernements ont remis en cause la liberté de la recherche et l’objection de conscience sans lesquelles il ne peut y avoir ni science ni médecine digne de ce nom.
Qu’une étude regarde l’origine, la couleur de peau, les croyances spirituelles et même le courant politique pour expliquer le faible engouement pour une potion magique relève du « délit de sale gueule » tant combattu par les « démocrates » de plateau.
Comme le dit fort bien Philippe BOBOLA dans une entrevue en 2021 : « tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études et plus on est diplômé et plus on est conformiste et soumis » (ou quelque chose comme ça).
Les rédacteurs de cette étude devraient se poser de sérieuses questions
Le Pr Michel Goldman, célèbre promoteur des vaccins, soupçonne le vaccin Pfizer d’avoir aggravé son cancer
https://www.francesoir.fr/societe-sante/pr-michel-goldman-soupconne-vaccin-pfizer-aggraver-cancer
Publié le 02 octobre 2022
Le Pr Michel Goldman, professeur d’immunologie et de pharmacothérapie à l’Université libre de Bruxelles en Belgique, célèbre en Europe pour être l’un des plus ardents promoteurs des vaccins, soupçonne sa troisième injection de rappel contre le Covid-19 d’être à l’origine de l’aggravation de son cancer….
DID A FAMOUS DOCTOR’S COVID SHOT MAKE HIS CANCER WORSE?
https://www.theatlantic.com/science/archive/2022/09/mrna-covid-vaccine-booster-lymphoma-cancer/671308/
SEPTEMBER 24, 2022
A lifelong promoter of vaccines suspects he might be the rare, unfortunate exception…
Ces soi-disants chercheurs qui sont du côté du gouvernement et de l’inductrie pharmaceutique. Bref, des propagandistes.
Il n’y aurait pas de désinformation si nous étions honnêtement informés.
La désinformation est suscitée puis désignée par ceux-là même qui la génèrent par la et leur mésinformation ce qui est le comble du complot.
Et le cirque continue.
Au fait c’est pas des vaccins.
C’est des médicaments génétiques.
Incapables de stopper quoi que ce soit
Même pas la connerie humaine….
70 % des enfants de 5 à 11 ans non vaccinés. C’est encourageant ! Les parents commencent à comprendre…
Cela dit les chiffres français sont bien meilleurs : 95 % des enfants de 5 à 11 ans non vaccinés.
source : https://covid.irsan.eu/fr/script/covid/vaccination_covid
Il y a matière à une étude pour expliquer les raisons d’une telle divergence !
Si au moins, on pouvait sauver les enfants…
Désinformation = contraire à l’information officielle. Et ils ne peuvent rien faire: ceux qui ont découvert la vérité sur ces injections ne reviendront pas en arrière. Quant à ceux qui ont des doutes, ils appliqueront bien plus le principe de précaution pour leurs gosses que pour eux-mêmes. Dommage qu’ils n’aient pas réfléchi qu’ils risquaient de faire de leurs enfants des orphelins…
PS: je viens d’apprendre le décès d’un père de trois jeunes enfants dont l’état s’est dramatiquement détérioré après les injections. Les mé
Si au moins, on pouvait sauver les enfants…
Désinformation = contraire à l’information officielle. Et ils ne peuvent rien faire: ceux qui ont découvert la vérité sur ces injections ne reviendront pas en arrière. Quant à ceux qui ont des doutes, ils appliqueront bien plus le principe de précaution pour leurs gosses que pour eux-mêmes. Dommage qu’ils n’aient pas réfléchi qu’ils risquaient de faire de leurs enfants des orphelins…
PS: je viens d’apprendre le décès d’un père de trois jeunes enfants dont l’état s’est dramatiquement détérioré après les injections. Les médecins ne comprennent pas…
L’information a bien relaté que les enfants n’étaient pas malades du virus Covid-19, grâce à la réactivité de leur jeune système immunitaire. Ils n’ont donc pas besoin de vaccin. Pourquoi leur faire prendre un risque vaccinal inutile? La propagande, y compris des ministres et des professeurs, a prétendu que les enfants contaminaient leur entourage. On sait maintenant que les vaccinés sont très contagieux quand ils contractent les formes peu graves? de la maladie. Quant au risque vaccinal, il existe pour tout vaccin y compris celui de la rage. Le refus d’analyser objectivement le risque vaccinal anti-covid laisse voix libre à toutes les rumeurs. Les parents conscients, quelle que soit leur race ou culture considèrent évidemment que préserver la santé des enfants fonde l’avenir de l’humanité.