L’Ukraine a un hymne déprimant, et les phrases « Nous sacrifierons âme et corps pour notre liberté » expriment de façon générale une autodestruction complète ! Telle est l’opinion d’Arestovich qui est allée droit au cœur du peuple et qui a blessé nombre de politiciens des deux côtés des barricades. Le discours de l’ancien conseiller du bureau du président de l’Ukraine a touché, pourrait-on dire, beaucoup l’âme de ses « associés », ainsi que les psychologues cliniciens.
Cet article est initialement paru sur le site mk.ru. Il n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier des Stratèges.
Les experts ont également analysé l’arrière-plan de cet hymne de l’État de Nezalezhnaya (Ukraine) écrit en 1862. « M. Arestovich n’a pas découvert l’Amérique … Oui, la chanson déprime vraiment la conscience de l’auditeur moderne », déclare le philologue, Valery Oreshnikov. « Le texte contient un appel à la libération, mais cette dernière, en quelque sorte, semble déjà condamnée. Cela montre clairement que la terre fertile a déjà été déchirée en morceaux. La gloire et la volonté dans cette chanson sont toujours vivantes, mais l’on arrive en fait au dernier souffle. Et le destin est appelé à être partagé. Ce mot « destin » exprime quelque chose de sans joie et de sans espoir ».
Le psychologue Alexander Kichaev partage l’avis que les lignes poétiques de l’hymne programment ouvertement l’autodestruction. « Toute personne a le choix entre deux paramètres profonds : créatif ou destructeur », dit-il. « Des notes destructrices se font entendre ici, le monde se sent noir et les affirmations ne visent pas le salut. On peut dire du peuple ukrainien qu’il n’a pas eu de chance avec le concept mental et avec les gens qui sont arrivés au pouvoir. Et notez que cette nation avait à l’origine un complexe d’asservissement. Ils n’ont pas d’identité personnelle et de confiance en l’avenir ».
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en matière d’hymnes, il y a peu de choses à garder. En tant que bi-national, je me permet de dire que l’hymne hongrois est générateur de dépression, voire pourrait mener au suicide collectif. Non, il n’y a qu’un hymne qui reste à l’oreille et qu’on chantonne joyeusement, c’est l’italien. peu importe les paroles stupides qu’on met dessus. d’ailleurs, il n’est que de regarder une carte de l’empire romain dans sa plus grande extension. Je suis sur que Rome a perdu de sa superbe le jour où cessa de retentir dans les arènes le “fratelli d’italia”!!!!!!!