Ce 30 janvier, le World Economic Forum annonce 3 priorités pour « se préparer à la prochaine pandémie ». On espère que vous êtes conscients de n’en être qu’au début de votre carte de fidélité. En tout cas, le WEF, lui, se prépare pour la prochaine fois. Il faut dire que Klaus Schwab, en se citant lui-même dans le Great Reset, nous apprend que la pandémie « représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde ». Accessoirement, elle fut l’occasion d’enrichir considérable quelques partenaires du WEF dont Pfizer, Moderna, AstraZeneca ou Johnson&Johnson. C’est fou comme la philanthropie rapporte. La récompense divine se mesure finalement en milliards de dollars en provenance direct des impôts des gens.
Aujourd’hui est annoncé en grande pompe le Pandemic Fund. Ce fonds s’appuiera sur 3 axes pour « protéger les populations » :
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Un grand merci pour tout votre travail!
Il va falloir en effet démonter (au sens mécanique du terme) la série de mensonges « justifiés » par de la fausse science… ou par de honteux dénis de réalité.
Mensonge 1: il s’agit d’une épidémie grave qui engendre beaucoup de morts => comptage frauduleux
Mensonge 2: il n’y a pas de traitement => études falsifiées, traitements interdits, médecins empêchés de prescrire
Mensonge 3: les mesures politiques (confinement, couvre feu etc…) sont efficaces => invalidé par les études
Mensonge 4: tout bien portant peut être un danger pour les autres => il est non prouvé que les non symptomatiques contaminent
Mensonge 5: l’épidémie se mesure au nombre de « cas » détectés par des tests => faux positifs par la PCR
Mensonge 6: la seule solution est un « vaccin » => toute la « politique sanitaire » a été mise en place pour valider cette affirmation
Mensonge 7: les injections géniques sont des vaccins « efficaces » => les pays les plus vaccinés ont le plus de cas et le plus de morts
Mensonge 8: les injections géniques sont sûres: => les effets secondaires sont niés, les chiffres non rendus publics
Bonjour,
concernant votre mensonge, vous pouvez aller plus loin. Il n’existe aucune étude scientifique pour prouver que les symptomatiques contaminent qui que ce soit. Ce n’est qu’une théorie, une interprétation et pas une observation directe.
La question est : pourquoi ?
Argent, pouvoir, dépopulation (dans l’ordre de ce qu’on découvre quand on cherche)
Bonjour M. Pierre Chaillot
Avez-vous mis au point le désaccord entre vous et Laurent Mucchieli qui est aussi un intervenant majeur dans l’affaire du covid au sujet de la propagation dont il parle dans la préface de votre livre. Pour moi il apparaît que vous ne vous contredisez pas, vous ne paraissez pas forcément nier la propagation dans l’absolu et Laurent Mucchieli ne contredit pas les fautes statistiques que vous relevez, mais vous ne statuez que sur le caractère artificiel et fallacieux des courbes?
Bonjour,
l’exemple que prend Laurent Mucchielli s’explique tout simplement par le principe de l’arnaque au comptage.
mon livre traite, entre autres, de la différence entre « fait » et « interprétation » et entre « réalité » et « statistiques ».
Il n’existe pas de preuves par les faits que la visite des autorités n’ai apporté ou propagé le moindre virus. Il y a des statistiques et des interprétations.
Comme je le montre concernant le CHU de Marseille, l’arrivée d’un nouveau directeur a fait explosé les statistiques hospitalières « Covid-19 » à Marseille.
Il ne s’agit pas de l’arrivée d’un parisien qui contamine la ville de Marseille, mais l’arrivée d’un bureaucrate qui apporte l’ordre : « comptez-moi du Covid ! ».
Il s’est passé exactement la même chose en Nouvelle-Calédonie.
Une épidémie est composée de malades, en nombre supérieur à l’habitude. Ici, il ne s’agit pas du tout d’un nombre plus grand de malades, mais d’un catalogage des malades dans la case « Covid-19 ».
La maladie dite Covid 19 n’existe pas et n’a jamais existé. La démonstration ici :
https://alpinismesansguide.blogspot.com/2023/02/la-maladie-dite-covid-19-nexiste-pas.html?m=1
Mon article a été mis en lien récemment sur Twitter par le professeur Denis Rancourt, qui l’a donc trouvé digne d’intérêt.
Pourquoi frappe-t-on aussi fort Amine Umlil? Une raison, la plus apparente, est qu’il cumule deux compétences dont l’association est éminemment dangereuse pour la dérive sanitaro-totalitaire : connaissances pharmacologiques et juridiques, et sait donc expliquer clairement les arcanes du Code de la Santé. Mais la véritable raison, et c’est ce qui le rend si vulnérable, est qu’il n’a pas compris que la maladie dite Covid 19 n’existe pas. De sorte que quand on le frappe, ses hurlements ne peuvent que renforcer le narratif, par exemple en relayant de façon implicite le récit alternatif fallacieux des « traitements précoces ». Donnez-lui la clef de la survie en lui faisant lire mon article. Quand ses hurlements seront de dire que la maladie dite Covid 19 n’existe pas et n’a jamais existé, on ne le touchera plus.
Comme le disait Fouquier-Tinville: « Donnez-moi une séquence nucléotidique de n’importe quel homme, et je me charge d’en faire un malade du Covid. »