Parmi les adversaires les plus ardents de la Russie sur la scène internationale, les Anglo-Saxons sont souvent pointés du doigt, avec une image collective d’un Occident dirigé aujourd’hui par la volonté des États-Unis, et antérieurement, par l’Empire britannique. Toutefois, il est évident que la Russie devra composer, bon gré mal gré, avec les Anglo-saxons.
Cet article publié en russe par svpressa.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Dans un article du magazine National Défense, l’ancien président de la Russie, et aujourd’hui vice-président du Conseil de sécurité, Dmitri Medvedev, a cité les Anglo-Saxons parmi les opposants à la Russie : « Une fois de plus, nous sommes confrontés à presque tout un empire d’ennemis divers : les néofascistes ukrainiens et européens, les États-Unis, d’autres anglo-saxons et leurs vassaux (une cinquantaine de pays). Ils se sont donné pour objectif d’étrangler et d’effacer notre pays de la surface de la terre ».
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J’aime le pragmatisme russe, on peut compter sur eux pour aplanir les difficultés.