La réforme des institutions sera vraisemblablement la question fondamentale à résoudre pour organiser l’après-Macron. Je vous livre ici un point de vue personnel, à savoir que la question des institutions ne se résume pas à une crise de la Vè République, mais à une crise plus profonde, plus systémique, de la démocratie représentative dans sa conception même. Il est urgent de penser un autre modèle. Mais doit-il s’agir de la démocratie directe ou de la démocratie liquide ? Je pose les bases de la problématique, en soulignant que cette évolution des institutions ne peut être menée sans une réaffirmation des libertés fondamentales, sans un rappel du fait que la loi ne peut pas tout, que sa portée s’arrête là où les droits naturels commencent, et qu’il faut donc se méfier comme de la peste d’un régime d’assemblée permanente, qui mènerait au totalitarisme.
Par quoi faut-il remplacer la Vè République ? J’ai commencé à évoquer ce sujet, retour de la Réunion, en abordant la question de la réconciliation nationale et de son potentiel danger caché : celui de préconiser un statu quo bureaucratique, où seules quelques têtes changeraient sans entamer le pouvoir oppressif de l’Etat.
Ce contenu est réservé aux abonnés
Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.
Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.
Eh bien, je ne suis pas certain que mon commentaire soit constructif mais je tiens à vous dire qu’en vous écoutant je réalise avec soulagement que sortir du cauchemar qu’est devenue notre société est possible.
Merci Eric pour le lancement de cette reflexion collective!
1. Je crois qu il est important avant tout de se poser au CDS la question de la démocratie, sa définition. J’entends bien que la référence est la démocratie représentative, libérale. Pour que cette dernière soit une réalité il faut deux conditions :
a) la représentation et
b) la séparation stricte des pouvoirs (Montesquieu).
La Constitution des Etats Unis nous montre le chemin, ce que doit faire une Constitution: séparer les pouvoirs, et donc définir les règles du jeu.
Cela c est véritablement révolutionnaire.
En France, la Ve République établit un régime qui approche de cette définition de la démocratie, car la représentation existe bel et bien. Mais, la séparation des pouvoirs stricte et dans les faits n’est pas une réalité. Il existe bel et bien une séparation des fonctions. Le Président de la République est bien différent du President de l’Asdemblée Nationale; par contre les pouvoirs exécutif et législarif ne sont pas séparés: le Gouvernement prépare des lois et est assis à l’Assemblée Nationale !!! Le Premier Ministre doit être approuvé par l’Assemblée Nationale, les 49.3.
La séparation des pouvoirs un existant pas, l’oligarchie a le terrain libre pour occuper l’espace politique et défendre ses intérêts politiques et/ou économiques, le fameux capitalisme de connivence.
Il manque une des deux conditions de la Démocratie libérale, et donc il est évident que cette situation (qu on nomme comme democratie representative alors qu elle ne l est pas!!!) ne satisfait pad à l’idéal démocratique, et alors on veut la jeter à la poubelle.
Et c est bien l oligarchie qui est à son aise tant que la fonfusion règne autour des débats sur la démocratie directe, materielle ou autre. Son dernier rempart en France est bien cette question des pouvoirs, que nous devons nous efforcer de séparer.
C’est bien pour cela, c’est en tout cas ma croyance, que souvent en tant que français, nous tournons en rond, nous nous débattons autour de la question suivante : alors que je vote et que je suis représenté, comment se fait-il que les politiciens ne protègent pas ni ne défendent mes intérêts sur toute la ligne? Vais je devoir dévenir révolutionnaire? Et bien, c’est parce que ces politiciens me représentent, mais, puisqu’il n’y a pas de séparation des pouvoirs, nous avons droit à l étatisme et à la bureaucratisation…. le débat est vaste, merci encore Eric pour avoir lancé la reflexion.
La représentation, pour avoir quelque légitimité, suppose :
– que certains candidats ne soient pas évincés de façon spécieuse (cf. la distribution de parrainages par le ci-devant Bayrou),
– l’égalité de la communication des candidats (à laquelle Hollande a mis fin)
– un pluralisme médiatique, et bien en amont de l’élection, pour que les citoyens sont informés sur les sujets importants.
Et au surplus, que le scrutin que soit pas fraudé…
Bien sûr. Lorsque j’évoque que la représentation existe en France, bien qu il soit possible et necessaire de la parfaire, c est parce que nous sommes le seul pays dEurope continentale à élire le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif dans des élections distinctes, au suffrage universel à deux tours, qui crée une légitimité forte. C est un formidable atout par rapport à nos voisins continentaux, notamment l’Allemagne que nos élites admirent tant, et qui est une partitocratie sans représentation ni séparation des pouvoirs… bien incapable de défendre ses intérêts. Il ne nous manque que de forcer, conquérir la séparation des pouvoirs, et aussi rendre la justice véritablement indépendante, exit le Garde des Sceaux, et mettre fin aux nominations par le pouvoir exécutif dans le pouvoir judiciaire, et de doter ce dernier de budget qui ne le fasse pas dépendre du pouvoir législatif, entre autres mesures.
Vous développez là un point fondamental: celui de la limite de la loi…(quelque soit le nom donné à l’obligation imposée par le système de gouvernement)
Le rôle historique des constitutions « empêcher les puissants d’opprimer le petit peuple » en limitant les pouvoirs et organisant leur division a été totalement retourné; les constitutions sont aujourd’hui la liste des moyens pour les exécutifs de soumettre la société à leurs lubies…
Mais votre réflexion bien orientée manque pour l’instant du moins de prise en considération d’un processus qui pervertit toute forme de démocratie: le travail d’entrisme de minorités organisées pour introduire leurs hommes et ensuite leurs concepts dans les appareils de gouvernements dont actuellement les écologistes puis les wokistes donnent d’excellents exemples…
1) En ce qui concerne l’ entrisme je ne connais pas très bien ce sujet, mais ce qui est sûr c est que les hommes n étant pas des anges, ils ont besoin d institutions pour échafauder un système capable de défendre les droits d un seul individu face à tout le reste… en fait, le problème qu’aura vécu une personne se refusant aux différents tupes d injonction vaccinale, Tocqueville admirait le fait qu aux Etats Unis un juge pouvait limiter une décision de l exécutif… rappelez vous ce juge de Hawai qui en 2017 a empéché la décision de Trump d interdire l entree sus US de citoyens de certains pays du MOrient (si ma mémoire est bonne, sinon pardon).
2) Pour la question de ce que Constitue une Constitution, je fais référence à Article 16 de la LA DÉCLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN de 1789
– » Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution. »
==> terme intéressant, « determinée », définir ou arrêter au sens de décidée, établie. Cet équivoque permet la confusion, écrire que la séparation des pouvoirs est décidé, mais ensuite dès qu on prête attention aux relations de dépendance entre les pouvoirs sous la Ve République, on constate que dans les faits il n en est rien.
Excellent, comme d’habitude. Merci beaucoup Éric.
On est arrivés en effet au bout du bout avec une assemblée qui ne représente plus du tout le peuple, mais ses propres intérêts et avantages qu’elle tient à conserver coûte que coûte. Etienne Chouard insiste avec raison sur le fait qu’une assemblée constituante d’élus donnera aux élus tous pouvoirs.
Définir le rôle de l’Etat est en effet fondamental. On est arrivé à une telle généralisation de la mentalité socialiste dans notre pays que le chemin sera très long avant que les citoyens aient envie de reprendre leur vie en main… A moins qu’un évènement destructeur ne les y pousse.
limiter le domaine d’intervention de l’Etat et des Administrations au strict régalien est aussi fondamental.
Tout à fait, cela commence par là. Quel doit être le rôle de l’Etat dans une nation libre? Il faut revenir aux fondamentaux. Bizarrement, depuis l’avènement de nos démocraties modernes il y a environ 2 siècles l’Etat n’a fait que grossir en particulier depuis le début de 20ème siècle. A tel point que les gouvernements d’aujourd’hui ont plus de pouvoir dans le fonctionnement du pays et de la société que Louis XVI avant la révolution. Bien entendu c’est pour notre bien, et la démocratie représentative n’a fait qu’encourager cette dérive. Les citoyens déléguant de plus en plus de responsabilité à leurs élus. Le résultat nous le voyons aujourd’hui. Il est vrai aussi que la propagande socialiste a beaucoup contribué à cette situation.
L’idée que nous avons de l’État est-elle encore compatible avec une véritable démocratie, celle de la société civile ? Comment changer vraiment de modèle, sans faire une République de plus, une sixième, puis une septième, puis… ?
Et si la société civile était l’État ?
Et si la représentativité était le plus grand leurre ?
Nous sentons tous qu’un grand changement est nécessaire. Sommes-nous prêts à lâcher nos propres schémas, ceux avec lesquels nous avons grandi et que l’école et la société ont peut-être imprimés en nous, sans que nous nous en rendions compte?
Osons traiter ces questions sur le fond. Faisons du neuf, avec du neuf.
Comment ?
J’ose l’outrecuidance de vous inviter à prendre connaissance de quelques concepts qui sortent complètement de la boîte, de nos habitudes de penser : https://www.civiliens.info/emission-n-1
Et faire une République avec séparation steicte des pouvoirs ET représentation? Bien évidemment ne laissons jamais rentrer le système proportionnel, origine du mussolinisme et du hitlérisme…
Justement, c’est ce qu’on veut…un nouveau guide et pas des petites pédales.
Oui et il faudra agir sur tous les leviers qui nourrissent le wokisme, l’indigénisme, le socialisme, c’est à dire l »ENA, Sciences PO et toutes ces fabriques a pseudo élites aujourd’hui consanguine.
Libérer ce que l’on qualifie d’éducation nationale, cette fabrique à crétins, de l’idéologie de gauche. Il y en aurait tellement à citer de ces institutions qui sont littéralement gangrenées par ces idéologies « déconstructrices » de notre culture, notre manière d’être, de penser, de vivre.
Les Institutions ne seront que ce qu’en feront les hommes
Merci je vais aller regarder www. Civiliens.info
Révoludroit.fr de Valérie BUGAULT propose aussi une nouvelle approche
il faudra du temps… pour trouver une solution autre qu’une société forcément pyramidale classique….
Repenser la société commence aussi par revoir ce qui a amener aux échecs (financiers, économiques, humains, d’échanges etc ……. comme revoir les institutions après avoir défini les axes principaux de fonctionnement général souhaité avec un nouvel esprit une éthique de cohésion ……salutaire aux plus grand nombre….
Favoriser l’Union de tous en gardant les apports des spécificités de chacun dans un but commun ??
Bonjour,
la démocratie est le pire des systèmes à ‘exclusion de tous les autres, aurait énoncé Churchill…
A mon avis ce système est conditionné à une collectivité humaine qui partage une même identité culturelle, historique et territoriale, ce qui définit une Nation.
C’est la raison par laquelle « les minorités ne sécessionnent pas » et que « les majorités ne les pogroment pas »!
La question essentielle, avant de repenser nos institutions, est bien de savoir si il est encore possible de « refaire Nation France » dans cette mondialisation mercantile, hédoniste et donc infernale.
Le financement des retraites par répartition n’est pas qu’un problème budgétaire et économique ou démographique, c’est avant une question de solidarité intergénérationnelle.
Arrêtons de suite le calumet de haschich et les champignons mexicains. ???? La sécession oui, changer les institutions? Regardez autour de vous, lisez Emmanuel Todd. En France pays des socialo? Aucune chance, ZÉRO. 0️⃣0️⃣0️⃣
Aucun pays au monde n’a des INSTITUTIONS libertariennes, ça n’existe pas, même le Royaume Uni ou certains États américains adulateurs de l’entreprise individuelle et inégalitaires assumés. Les USA, pays des milliardaires, Land of opportunity, voilà le plus près du libertarisme occidental que vous puissiez espérez. Qui en veut? C’est facile prenez un avion.
.
J’ajoute Dubai, paradis du business libertarien ▶️ https://youtu.be/NsFjVXDVGJA Ce secteur bat tout en bourse, GAFAM finito! [Didier Darcet]
Bonjour, c’est intéressant et bien amené. Vous avez raison d’évoquer le problème d’un potentiel remplacement d’une dictature par une autre, celle du peuple ! Et bien vu aussi sur la capacité des différentes catégories à peser ou pas dans ce processus (marin pécheur/fonctionnaire ou retraité).
Quid concernant l’immigration ? En effet, on régularise à tour de bras ceux que l’on ne peut empêcher d’entrer et ces gens pourraient intervenir dans les décisions les plus sensibles du pays alors même que leur processus d’intégration n’est pas achevé (pour peu qu’il s’achève un jour) et sans compter la prédominance de certaines cultures ?
Quid de la moralité et de la légitimité du citoyen. Un prisonnier, un multirécidiviste ne devrais pas avoir les mêmes droits qu’un citoyen qui se conduit bien. Sans imiter le modèle chinois avec un passeport de bonne conduite qui fleurte avec le totalitarisme et qui agit aussi sur les conditions d’accès aux services publics. Je parle de forfaits suffisamment graves ou suffisament répétitifs (ce qui constitue une aggravation).
Quid des parlementaires, car une de leur fonction est de contrôler l’action du gouvernement à travers des enquêtes par exemple ?
Comment une démocratie « régénérée » peut-elle s’interfacer avec des organisations internationales (voires supranationales) qui n’ont rien de démocratique (sans parler de l’UE)?
Je partage l’idée d’Eric Verhaeghe sur la limitation souhaitable du champ de la décision collective. Mais cet ordre spontané suppose de la stabilité dans la société, stabilité relative aux moeurs et à la composition de la population, notamment. Il faut qu’une certaine confiance naturelle s’instaure. Le commun est essentiellement une chose étrangère aux décisions proprement dites. C’est le temps qui confère cette stabilité, mais aussi une capacité à faire face aux menaces. Compte tenu de cette nécessaire capacité, on ne peut donc échapper complètement aux décisions politiques. Le politique est nécessaire et il faut le recentrer sur le domaine régalien, ce qui est aussi une manière de le limiter. Libertés, stabilité et subsidiarité vont de pair.
« Ma
Constitution a moi « commencera par l article 31 des Droits de l Homme !
La
REPRÉSENTATION NATIONALE AURA UN SENS !!!
Pourquoi faire allusion à une VI e République (comme Mélenchon ?) alors que la Constitution de la Vème (58) a été bafouée et trahie depuis Chirac et surtout Sarkozy pour n’être plus qu’une coquille vide complètement infiltrée par les diktats européens ? (Consulter les articles lumineux de Valérie Bugault à ce sujet)
Si le R.I.C présente des dangers, le libertarianisme que l’on voit appliquer dans les pays anglo-saxons, démontre bien à quel point il est pernicieux pour ceux qui n’ont pas les moyens financiers ou l’esprit « d’entreprise » cher à « l’american way of life »…(Merci Gastoche).(ils n’ont qu’à se « brosser »)
Vous critiquez avec raison la bureaucratie socialiste que vous avez dû subir à l’Éducation Nationale (le Mammouth) mais qu’en est-il avec les écoles PRIVÉES onéreuses qui pullulent en France, comme aux U.S.A (votre modèle) où l’argent est le critère de sélection comme liberté individuelle ?
Quel que soit le régime en place, aucun n’est infaillible, il dépend de la bonne volonté de ceux qui le dirigent et de ceux qui appliquent leurs directives.(Ce qui n’est plus le cas depuis que la politique est devenue une sinécure assurée avec le régime des partis que combattait De Gaulle…)
Or dans la maelström actuel, il serait plus prudent de ne pas prôner une révolution dangereuse à la mai68, mais plutôt de revenir aux fondamentaux avec une RESTAURATION de la Constitution de la Ve, avec bien entendu le nettoyage des écuries d’Augias.
Il serait intéressant de consulter le site révolu droit de Valérie BuGault qui initié son projet de réforme des institutions sur une charge des droits humains fondamentaux. Son projet rend ensuite acteurs les citoyens au travers de collectifs citoyens localement par la constitution de groupements d’intérêts par activités. Chaque niveau jusqu’à l’élection du chef de l’Etat sont pensés pour éviter l’installation de la corruption. .. Il y a sûrement possibilité de faire converger ce projet avec le vôtre…?
Je vous donne mes idées qui n’engagent que moi.En premier l’état ne s’occupe que du régalien,justice,police et armée en seconde position grand nettoyage des lois ,règlements etc qui pourrissent la vie de tous et reconversions de tout les fonctionnaires devenus inutiles ensuite mettre en place une « flat taxe »et supprimer tout les autres impôts Puis créer un parlement avec des gens ayant une activité qui ne serait sollicité que si le besoin s’en fait sentir .créer aussi ponctuellement des assemblées quand il y aura des problèmes a résoudre localement.Pour ce qui est « social » organiser des fondations pour aider sur des territoires assez retreints et que cette réelle solidarité soit financées par une partie de la flat taxe librement choisie par chaque contribuable qui le désire et bien sûr imaginer un système d’alerte pour dépister et résoudre les besoins,les problèmes et bien entendu anticiper le futur
J’avoue que je ne suis pas très chaud pour discuter de solutions sans que l’on sache les problèmes que l’on veut résoudre.
Prenons par exemple la représentativité. Le problème est une perte de confiance, si nous pensions que les personnes pour lesquelles nous votons allaient correctement nous représenter nous ne chercherions pas des systèmes de votation directs, de RIC etc….
D’autant plus que le remède risque d’être pire que le mal. Eric mentionne à juste titre « qui aura le temps » de s’en occuper en citant des lois faites par les étudiants et les retraités; je rajouterais « qui aura la compétence de faire les recherches et préparations nécessaires » : s’il y a des commissions d’éudes et des rapporteurs c’est parce qu’il est nécessaire de réfléchir en commun à un sujet avent d’en faire une synthèse et de le présenter aux autres. Si ces groupes d’étude sont basés sur la bonne volonté comment pouvons nous vérifier que les personnes qui y participent n’aient pas de conflit d’intérêt et aient l’expertise nécessaire pour traiter le sujet?
Un autre risque d’une démocratie plus directe est de réagir dans l’émotion. Le temps des lois et des règlements est un temps plus long que celui de l’actualité. Comme le disait Eric, on ne peut pas décider de tout et je rajouterais « surtout dans l’urgence ». Comme par exemple suite à l’affaire Palmade décider de mettre des détecteurs de drogues dans toutes les voitures.
L’autre problème que l’on aimerait résoudre c’est le principe de subsidiarité. Or nous n’allons pas dans le bons sens. Nous avons des décisions militaires et médicales prises au niveau Européen alors que c’étaient justement les deux compétences qui étaient dévolues à chaque pays. De même l’OMS est en train de mettre en place une politique mondaile de la santé juridiquement contraignante vis à vis des états.
Donc je repose la question : quels sont les problèmes de nos institutions que nous voulons réparer?
Merci je vais aller regarder www. Civiliens.info
Révoludroit.fr de Valérie BUGAULT propose aussi une nouvelle approche
il faudra du temps… pour trouver une solution autre qu’une société forcément pyramidale classique….délimiter les frontières entre « privé » et société…
Repenser la société commence aussi par revoir ce qui a amener aux échecs (financiers, économiques, humains, d’échanges etc ……. comme revoir les institutions après avoir défini les axes principaux de fonctionnement général souhaités avec un nouvel esprit une éthique de cohésion ……salutaire aux plus grand nombre….
Favoriser l’Union de tous en gardant les apports des spécificités de chacun dans un but commun ..