La crise bancaire qui a commencé (et que nous avons été dans les premiers à pronostiquer comme durable lors de la faillite de la SVB, alors que la presse subventionnée a servi le pouvoir en répercutant aveuglément les âneries lénifiantes de Bruno Le Maire) fera couler beaucoup d’encre dans les semaines qui viennent. Sa survenue, nous l’avons déjà écrit, est systémiquement due à la remontée des taux. Elle aurait pu être arrêtée si les banques centrales avaient tenu compte des avertissements lancés par les marchés. Sauf que, coup sur coup, la BCE a relevé ses taux de façon intraitable la semaine dernière, suivie par la FED, puis par les banques centrales suisses et anglaises… Face à cette unanimité qui a montré que la lutte contre l’inflation était essentielle pour les autorités monétaires, les valeurs bancaires ont plongé cette semaine. Quel peut-être l’intérêt des autorités monétaires à “forer aussi droit” au point de déstabiliser les marchés et mettre toute l’économie en péril ? Nous maintenons ici notre hypothèse d’une stratégie à plusieurs bandes des banques centrales occidentales, et nous expliquons pourquoi.
Sur les places boursières, la nouvelle hausse des taux par la FED a créé le malaise que nous avions prédit la veille. C’était un marqueur “politique” : alors que la FED aurait pu décider de calmer l’inquiétude des marchés en ralentissant la hausse de ses taux, à un moment où l’inflation semblait se calmer (elle disposait des arguments économiques pour justifier sa décision), elle a délibérément choisi de jeter de l’huile sur le feu.
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Pourquoi ne faites-vous pas le lien avec le QFS en préparation (cf. l’article de F. Machabert ce jour) de l’autre côté de la “force” ? Tout s’explique dans cette perspective.
En me renseignant sur l assurance vie chez les assureurs il se dit que les compagnies couvrent jusqu a 70 000 euros qu’elle que soit la compagnie un peu comme les banques qui sont à concurrence de 100 000 euros par établissement. D autre part les assureurs reassurent en amont aupres des réa donc 70 000 euros c est le minimum.
J’ai consacré un article à la garantie des titres… Et non, les compagnies ne couvrent pas jusqu’à 70.000€ en cas de panique boursière.
Bonjour Eric , exemple : j’ai dans les 70 000 euros ,ass vie , et certains autres comptes ; pas pauvre et pas du tout riche ; quelle serai la solution pour moi qu’ils ne piquent pas mes pti sous mes sous ?
Je peux m’en occuper @Anne, je vous envoie mon iBAN. ????
Transformer le virtuel en tangible pour le faire complètement.
Achetez de l’or (idéalement des Napoléons)
Je vais me renseigner , plutot rester discret je suppose pour pas me les faire piquer ! se serai le bouquet . Je ne supporte plus cette bande à la tète (de c ons) inhumaine !
La garantie des dépôts bancaires est de cinq milliards. Si une grosse banque tombe des centaines de milliers de clients vont se retrouver en slip.
Même pas. 5 milliards c’est la dotation du FGDR. Le FGAP, lui, a moins de 1 milliard dans la caisse, pour couvrir plus de 1500 milliards d’encours en A-V.
Un proche, est assistant du bigboss régional d’une des plus grandes françaises, il m’a avertit, il y a déjà 3 ans déjà sur cette farce de garantie, plus d’Ass-Vie, il a ouvert un compte chez Pictet (suisse), pour mettre ses économies notamment en monnaie nordique (il a déjà de l’or/argent, immobilier, SCPI, terres arables et forêt), il attend impatiemment la nouvelle monnaie des BRICS adossée à l’or et aux matières premières
@amigo C’est intéressant, les BRICS vont ils créer cette monnaie nouvelle? Pas plutôt payer chacun dans la devise de l’autre en snobant le US dol?
La monnaie des BRICS, adossée à l’or en sauveur des peuples de l’insuffisance occidentale et de l’hégémonie dollarienne qui a viré l’or. P’têt ben qu’oui, ptêt ben qu’non. Ou alors une autre voie inattendue, une surprise dans la continuation.
En cas de problème il activeront la loi Sapin 2 qui bloquera les retraits sur les AV pour 3mois renouvelables (voir plus)
Il n’y a pas de panique (problème)…
Là où tout se prépare
Il suffit de les citer inlassablement. Les vampires craignent la lumière.
De plus, ils se réunissent selon la règle de Chatham House…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_membres_du_groupe_Bilderberg
Le problème ce sont les escrocs de la politique, de la banque, de la finance, et de toutes les grandes entreprises et leurs mafias qui se sucrent considérablement…
Mais, toutes ces oligarchies “criminelles” préfèrent fliquer à mort les masses “inoffensives” plutôt que de mettre en place des contrôles ciblés (par exemple, la lutte contre soi-disant le blanchiment et le financement du terrorisme mal appliquée…, à laquelle s’ajoute les règles de sécurité appliquées de manière “plus royaliste que le roi” pour, en vérité, ralentir les flux de sortie de trésorerie de leur établissement). Pour l’instant il y a 2 catégories de banques : celles qui abusent et celles qui restent correctes.
Sinon, il faut bien lutter contre l’inflation afin d’éviter qu’elle ne devienne galopante et qu’elle emporte tout sur son passage et vole l’épargne durement acquise pour la plupart (celle des fameux “”riches”” chers à la gogôche et à la fausse droite, parasites qui ont pour priorité première “l’achat des voix” et non la gestion sérieuse des pays) !
D’ailleurs, la lutte contre l’inflation c’est l’unique mission que la loi assigne à la BCE et cette règle doit être respectée. Aucun dirigeant- tel mario tragique – ne devrait pouvoir s’en affranchir. Il faudrait modifier les textes pour cela et selon les procédures requises.
Plutôt que de céder aux chantages des marchés ! NON ?
Il faudrait aussi envoyer de hauts dirigeants en prison, NON ?
Remarque : une banque qui a “perdu” ses fonds propres en pratique ne peut-elle, financièrement, continuer à fonctionner et entrer dans une période de redressement ? Des entreprises autres que banques qui ont “mangé” leur capital et leurs réserves peuvent continuer de fonctionner et se redresser. Le critère déterminant est celui de la cessation de paiement (donc de la trésorerie) : ne pas pouvoir payer ses dettes échues.
Alors, Il faudra peut-être mettre en place des règles de blocage partiel et temporaire, des limites exceptionnelles à la sortie des fonds et prévoir les cas où les limites provisoires seraient écartées.
Enfin l’Allemagne, qu’on nous donne en modèle à tout bout de champs, elle est pas belle celle-là ?
Sans remonter très loin, Il y a eu Adolphe et maintenant il y a cette putain de Deutsch Bank… ! Sont vraiment admirables… des modèles de vertu et d’efficacité.
Notre erreur fondamentale est de considérer que l’on puisse produire une richesse (quelconque) par le pognon. Car en réalité, prétendre à gagner du pognon en spéculant sur du pognon, cela n’est producteur d’aucune richesse ! cela reste du pognon : essayez de brouter un billet de 500 euros au petit déjeuner pour vous alimenter, vous périrez par intoxication alimentaire.
J’ai tenté vainement, durant ces dernières années d’instruire et convaincre ma petite succursale de banque de l’errance qu’elle accusait (frénitiquement), or je ressuyais l’étrange sentiment d’être dévisagé pour un cul-terreux inculte ou idiot.
Peu importe, me dis-je, ma petite succursale de banque apprendra tôt qu’elle s’en était aller jouer au casino, avec le pognon de tous ses clients, et surtout pas avec le sien qui n’existait pas : -“Je n’ai jamais douté que vous eussiez été capable, ma chère petite Succursale de banque, de détruire votre païs” !
Notre païs fut donc détruit.
Savamment, vont-ils prétendre ?
En cas de problèmes les assureurs appliqueront la loi Sapin 2 qui leur permettra de bloquer les retraits sur les AV pendant 3 à 6 mois selon la situation de leurs comptes
La seule réponse à émettre est de redonner une souveraineté monétaire au peuple ; pas forcément en revenir au franc, mais créer des monnaies provinciales pour
• 1° segmenter et diviser le secteur bancaire et l’empêcher d’avoir la toute puissance de la pieuvre,
• 2° renforcer les cultures et les échanges provinciaux,
• 3° contribuer de fait à l’intégration des nouveaux arrivants (expatriés d’une province à l’autre, les immigrés également) et leur sentiment d’appartenance à ladite province (qu’elle soit natale ou d’adoption), qui seront facilités par le biais monétaire ; la langue est un des éléments constitutifs de l’identité de tout individu, la monnaie qu’il utilise au quotidien en est un autre.
Bien évidemment il y aura des écarts de valeur entre les différentes monnaies, mais parfois les plus-valeureuses ne sont pas forcément les plus-attirantes, car le coût de la vie n’est pas le même…