S’attirant les félicitations de la buanderie onusienne de Davos, sa buanderie vaticane a officiellement renoncé à sa « doctrine de la découverte », qui justifiait l’appropriation de terres « vierges » par d’autres conquérants que Davos. Pendant ce temps, dans la buanderie bouddhiste, le Dalaï Lama prend langue avec des petits garçons.
You didn’t just hug the boy though, you asked him to ‘suck your tongue.’
— Samirah (@SameeraKhan) April 10, 2023
Why leave that bit out? ????pic.twitter.com/Nz2aSYxAZD
Dans ce meilleur des mondes davosiens, il existe diverses organisations progressistes, vaguement louches, qui promeuvent officiellement le célibat masculin et – plus ou moins discrètement – l’usage récréatif des petits garçons.
Certaines – comme l’amicale vaccinaliste de Rome – se réclament de Jésus, d’autres de Mohamed, d’autres encore, de tel ou tel Bouddha. L’épreuve de la seringue a démontré que tous ces crédos sont désormais vides de sens – la véritable foi de leurs adhérents allant désormais exclusivement « à la science ». Il faut donc penser recyclage.
Au Vatican, le jésuite François travaille dur à rendre la théologie catholique compatible avec le Great Reset. Dernière grande réalisation : effacer la « doctrine de la découverte », qui avait permis l’expropriation des peuples autochtones par les conquérants coloniaux.
Dalaï Lama : « je refuse de me réincarner en Marlène Schiappa ! »
Comme ces peuples ne connaissaient en général pas la propriété privée foncière, et que ce qui reste de ces tribus n’a en général pas les moyens de gérer ni de défendre lesdites terres, cette décision du Vatican consacre en réalité la nationalisation inaliénable desdites terres – qui seront donc gérées par les Etats-vassaux de Davos, comme on le voit déjà dans le Brésil de Lula.
La situation est moins rose en banlieue de Dharamsala, où le chef spirituel autoproclamé des bouddhistes tibétains, jadis mascotte de toute la bien-pensance progressiste occidentale, a plus de mal à trouver ses marques dans un monde où la gauche occidentale officialise – y compris par la bouche du mari de Brigitte – son allégeance à la Chine communiste.
Menacé de chômage géopolitique, le Dalaï Lama gère donc tant bien que mal son fonds de commerce et sa fin de vie. Il a déjà fait savoir que, tant qu’à se réincarner en femme pour prix de ses péchés, il préférerait revenir sous forme de bonasse – plutôt que sous forme de Marlène Schiappa. Ses récents jeux de langue, dûment filmés, avec un petit garçon, en revanche, ont un peu choqué un monde qui en a pourtant vues d’autres.
PCB : La racine spirituelle de l'ego et le parcours
de vie de l'être humain
vidéo : bcp-video.org/fr/le-parcours-de-vie/
L'homme ne possède pas que le côté matériel, qu'il reçoit par son père et sa mère.
L'homme est essentiellement un être spirituel. Dieu a créé l'homme en utilisant la matière – la
poussière du sol – et lui a insufflé Son esprit. L'homme est devenu une âme vivante, c'est-à-
dire un être mental et pensant, contrairement aux animaux (cf. Gn 1-3).
Le péché originel, un poison spirituel, est entré dans l'âme de l'être humain par la
violation du commandement de Dieu. L'homme s'est rendu coupable de désobéissance à
Dieu, l'Être suprême. En même temps, il s'est ouvert à un autre être spirituel, le diable.
L'essence du code génétique du mal dans l'âme humaine consiste à se détourner de
Dieu et à se déifier. Cet égocentrisme est, à son stade final, une identification avec l'esprit du
mensonge et du mal, c'est-à-dire le diable. La semence du diable est une partie intrinsèque
de l'ego humain. C'est ce qu'on appelle le péché originel, ou la racine spirituelle, ou le dépôt
du mal dans notre âme. De l'ego découle tout le mal qui a toujours été et sera toujours
présent dans l'humanité. La source du mal dans l'homme est un profond mystère ; elle
transcende le temps et ne cesse pas d'exister avec la mort de l'individu ou de l'humanité. Le
soi-disant surmoi, ou l'esprit humain, est intimement lié à l'âme. Il est maintenu comme dans
la prison de l'âme (psyché), qui est infectée par le poison spirituel du péché originel et par un
programme autodestructeur. Ce poison obscurcit l'esprit et le rend incapable de reconnaître
la vérité, surtout la vérité spirituelle. La volonté est encline au mal.
Le dépôt du mal dans l'âme, c'est-à-dire le péché originel, est programmé pour un
suicide spirituel progressif. En revanche, le but fixé par Dieu pour chaque personne est la vie
éternelle dans un bonheur parfait. L'esprit humain aspire à Dieu, source de vérité et d'amour
éternel. Peu à peu, le code génétique du mal supprime la conscience, c'est-à-dire la voix de
Dieu dans l'âme. En cachette, par le mensonge et l'auto-illusion, il poursuit son objectif :
l'émancipation ou la séparation d'avec Dieu. L'égocentrisme entraîne la mort éternelle, c'est-
à-dire la séparation d'avec la Source de la vérité et du bonheur. Cet état de séparation de
l'esprit humain d'avec Dieu est l'essence de la souffrance éternelle que nous appelons
l'enfer.
Le diable est un esprit mauvais, menteur et meurtrier (Jn 8,44), ennemi de la race
humaine. Le péché originel, source du mal en nous, se manifeste par l'égocentrisme. C'est le
refus ou plutôt l'incapacité à admettre la vérité. Lorsqu'on lui montre une erreur ou un mal
qu'il a causé, il se sent offensé, se venge, se met en colère, voire en furie. Il sait comment
dissimuler sa culpabilité sous un bien, du moins apparent, ou il rejette la faute sur quelqu'un
d'autre, même sur Dieu. La vérité humilie et convainc l'homme, c'est pourquoi il déteste la
vérité. Mais la vérité nous libère de l'esclavage du mensonge et de diverses dépendances.
Et reconnaître la vérité est aussi une condition pour le pardon des péchés. C'est
pourquoi chacun doit commencer le chemin de la vérité à partir de lui-même. Nous pouvons
appeler ce processus un changement de pensée ou, en d'autres termes, une métanoïa
biblique. La pensée du vieux moi est égocentrique ; elle ne cherche pas la vérité, même si
cette vérité conduit au bonheur éternel.
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La nouvelle façon de penser est fondée sur la vérité de Dieu – sur l'Évangile (Mc 1,
15), qui nous relie verticalement à Dieu. La vérité de Dieu concerne en particulier notre
existence,notre but dans la vie et le sens de notre vie. Elle se concentre dans notre
rédemption et notre délivrance, c'est-à-dire en la personne de notre Sauveur. Au lieu de
l'égocentrisme, nous acceptons le théocentrisme et le christocentrisme. Dieu, notre Père et
Créateur, devient le centre de notre vie et nous acceptons le salut donné par Lui et l'amour
qui est en Son Fils, Jésus-Christ. En hébreu, le nom Yehoshua signifie que Dieu est mon
Sauveur. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a reçu ce nom lorsqu'il est venu dans la plénitude des
temps pour prendre sur Lui notre nature humaine. Il nous a donné le programme de vie, qui
est Son Évangile. Après avoir accompli Son œuvre de salut, en mourant sur la croix dans la
disgrâce, il nous a donné Son Esprit. Par le baptême, nous avons reçu la vie de Dieu. Nous
sommes devenus les enfants de Dieu (Jn 1). Par le baptême, nous avons été
mystérieusement immergés dans le moment de la mort du Christ dans le temps, et par le
baptême, nous avons également été rendus participants à Sa nouvelle vie, la vie du Christ
ressuscité.
Nous ne connaîtrons cette plénitude de la résurrection qu'au-delà du temps, c'est-à-
dire après notre mort physique, à la fin de l'histoire, lors de la seconde venue du Christ.
Alors, notre corps matériel sera non seulement ranimé, mais aussi transformé à l'image du
corps ressuscité du Christ. Grâce à l'intervention de la toute-puissance de Dieu lors de la
résurrection du Christ, les lois physiques ont été subordonnées à des lois supérieures,
spirituelles. Jésus ressuscité a traversé le tombeau de pierre, ainsi que la porte fermée (de
ce tombeau), lorsqu'il est apparu aux apôtres après Sa résurrection. Il est également apparu
à une foule de plus de 500 personnes en Galilée.
Nous sommes amenés à entrer dans le domaine de la foi. Il existe une foi naturelle
par laquelle nous croyons, par exemple, que la Terre est ronde, que les ours polaires vivent
dans l'Arctique, etc. Mais il existe un autre degré de foi avec lequel nous acceptons les
réalités spirituelles. Nous nous unissons à elles avec notre esprit ou notre âme. Cette foi
ouvre notre esprit, ainsi que notre intelligence et notre volonté, au monde spirituel. Mais il
faut ici distinguer à quel type d'esprit nous nous ouvrons. Il y a aussi le domaine de l'occulte,
c'est-à-dire le domaine des êtres spirituels que l'on appelle aujourd'hui souvent des énergies.
Il s'agit en fait d'anges déchus, de démons. Ces esprits du mensonge influencent la
pensée de l'homme par des inspirations apparemment vraies. Si l'on n'aime pas la vérité et
que l'on n'est pas enraciné en elle, on peut difficilement reconnaître le mensonge caché
derrière ces inspirations suggestives. De plus, le dépôt du mal en l'homme résonne avec ces
fausses inspirations et s'y unit totalement. Ces inspirations conduisent finalement à la
rébellion contre Dieu et ses lois. L'homme justifie toujours ses fausses inspirations par un
pseudo-bien, une pseudo-vérité ou une pseudo-justice. Mais Jésus dit : « On reconnaît un
arbre à ses fruits ». La connexion de l'ego humain à l'inspiration démoniaque apporte le mal
et la mort, non seulement temporaire, mais aussi éternelle. Le paganisme, de même que le
christianisme actuel, rassis ou apostat, est la religion du vieux moi. Il vénère le démon
Pachamama et d'autres démons, et encourage la perversion LGBTQ. Tout cela mène à la
destruction.
Le paganisme vénère diverses divinités, auxquelles il donne la forme d'animaux,
d'oiseaux ou de bêtes. Par exemple, dans le bouddhisme, une personne qui médite devient
unie par l'esprit à une bête et, par conséquent, s'imprègne de l'esprit de cruauté et de
cynisme. En substance, cette fausse voie spirituelle est le culte de l'ego orgueilleux et le rejet
complet de la voie de la vérité et de la voie du salut. Cette fausse voie est désignée par le
terme "do", par exemple aiki-do, bu-do, taekwon-do. Mais ce n'est pas le chemin de la vérité
ou de la libération de la racine du mal qui est en nous. C'est une grande tromperie et un
mensonge.
L'esprit du paganisme, avec ses soi-disant énergies spirituelles, ne fonctionne pas
pleinement si l'art martial est pris uniquement en tant qu’un simple sport. Mais il y a un
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danger que celui qui s'adonne à ce sport désire un maximum de succès. On lui conseille
alors de méditer, car c'est ce que font les grands maîtres d'arts martiaux. Ce n'est qu'alors
que l'esprit qui agit dans le bouddhisme païen agira en puissance à travers lui. Il en va de
même pour l'hindouisme païen et la pratique du yoga. Le hatha yoga est présenté comme
une gymnastique ordinaire. Ceux qui veulent aller plus loin doivent continuer avec des
exercices de respiration, suivis de la méditation, jusqu'au yoga dit royal, où le méditant est
totalement possédé par le démon du mensonge. Le méditant dit : "Je suis un dieu." Cette
voie de la soi-disant auto-rédemption, associée à l'enseignement de la réincarnation, est une
grande tromperie et un piège pour de nombreux chrétiens également. Le yoga fait l'objet
d'une promotion intensive dans l'Occident chrétien depuis les années 1960. Un boom du
bouddhisme a commencé peu après, par le biais de la littérature promotionnelle et de films
qui ont popularisé les arts martiaux et ouvert la porte à l'invasion de la spiritualité bouddhiste.
Une atmosphère a été créée, comme si le bouddhisme apportait une spiritualité plus
élevée et prestigieuse. La voie sûre du salut, qui nous est donnée en Christ par Sa mort
rédemptrice sur la croix, a commencé à être considérée comme étant une chose inférieure.
Cette tromperie tragique s'est appuyée sur l'orgueil et l'ego humains, c'est pourquoi elle s'est
répandue si facilement au milieu d'un christianisme pourri. En fait, elle a ouvert la porte au
monde spirituel, c'est-à-dire à des êtres spirituels, les démons. Jésus chasse les démons par
Sa parole de vérité et par l'Esprit de Dieu. Il a également donné ce pouvoir aux apôtres et à
chaque chrétien afin qu'ils puissent vaincre ces démons. Toutefois, la condition est qu'un
chrétien soit enraciné dans le Christ et son Évangile, et qu'il soit un véritable disciple du
Christ.
Le paganisme possède de nombreuses branches. Dans son essence, il consiste à
s'ouvrir à un gouvernement démoniaque et à adorer les démons et Satan. La pseudo-culture
occulte influence surtout les jeunes d'aujourd'hui. Ce n'est plus l'athéisme qui fait partie d'une
bonne image, mais plutôt le paganisme et l'occultisme. Nous pouvons prendre comme
exemple le livre populaire, Harry Potter. Presque tous les films et les livres pour enfants, et
même les livres universitaires, font la promotion de la magie et de l'occultisme. Halloween,
fête sataniste, qui s'accompagnait de sacrifices humains, est imposée aux enfants dans les
écoles maternelles. Les Aztèques païens offraient chaque année jusqu'à 20 000 sacrifices
humains à leurs prétendues divinités, c'est-à-dire à des démons.
Alors qu'il était encore vivant, la poitrine d'un jeune homme était ouverte et son cœur
était sacrifié aux démons. Ce n'est que le christianisme qui a mis fin à cette pratique.
Néanmoins, les chamans ont offert des sacrifices à l'idole Pachamama jusqu'à ce jour, par
exemple lors de la construction de maisons. Un petit lama est placé dans les fondations des
petites maisons, ou un sacrifice humain est offert et placé dans les fondations des grands
bâtiments. Ils prennent généralement un sans-abri ou un touriste, le droguent avec des
opioïdes ou des narcotiques, puis l'enterrent vivant dans les fondations. Des rituels
sataniques similaires sont pratiqués non seulement en Amérique du Sud, mais aussi au
Tibet.
Dans le cinquième livre de Moïse, donc plus de 1000 ans avant l'ère commune, le
Seigneur, par l'intermédiaire de Moïse, met en garde contre des formes spécifiques de
divination, de magie et de spiritisme (comp. Dt 18,9ss).
On parle beaucoup aujourd'hui d'ésotérisme, de parapsychologie, de l'énergie dite
reiki, de la méthode Silva, du ying-yang, du feng-shui, des bonsaïs, de l'acupuncture
chinoise et d'autres pratiques du bouddhisme chinois. Les martyrs ont préféré subir des
tortures cruelles et la mort, plutôt que d'adorer des divinités païennes, parce qu'ils savaient
que le premier commandement du Décalogue dit clairement : « Je suis le Seigneur ton Dieu,
le seul Dieu, tu n'auras pas d'autres dieux (païens) devant moi. Tu ne te créeras pas d'idole
sous forme d'animal, d'oiseau, de reptile ou d'être humain, car moi, le Seigneur ton Dieu, je
suis un Dieu jaloux ».
Lorsque le diable a tenté Jésus dans le désert, Jésus lui a dit : « Éloigne-toi de moi,
Satan, car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur ton Dieu, et tu ne serviras que Lui ». Le
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système païen est un service et un culte rendu à de faux dieux : les démons et Satan lui-
même.
Certes, il est parfaitement clair pour tout le monde aujourd'hui que la voie, ou un programme
des élites dirigeantes, qui promeuvent le paganisme, l'immoralité et la dépopulation, est une
voie de l'anti-christ. Le pseudo-Pape François marche aussi sur cette voie, et l'appelle une
voie synodale. Il n'est pas nécessaire de commenter sa consécration aux démons lors du
rituel païen exécuté par un chaman. Il a commis une apostasie publique, pour laquelle il a
attiré sur lui l'anathème – l'excommunication – à savoir, l'exclusion de l'Église du Christ.
La foi rédemptrice est enracinée dans la vérité révélée par Dieu. « Quiconque croit (en
Christ) et est baptisé, sera sauvé » (Mc 16,16). C'est le fondement. Mais il doit être suivi d'un
chemin, qui est Jésus-Christ. Celui qui persévère sur ce chemin jusqu'à la fin, sera sauvé (Mt
24:13). En suivant ce chemin, une personne a surtout besoin d'une routine de prière
quotidienne. Idéalement, un dixième du temps de la journée. Ceux qui donneront à Dieu 2,5
heures par jour se libéreront de la dépendance à l'esprit du monde et à la tromperie, qui est
active dans les médias grand public et les réseaux sociaux. Ainsi, ils préféreront la
communication verticale à la communication horizontale ou, en d'autres termes, ils
préféreront la vérité rédemptrice à la tromperie, aux demi-vérités et à la vanité.
Quant à la prière, elle nous amène à la croix du Christ. Là, nous confessons nos péchés et
recevons le pardon par la foi dans le sang du Christ versé pour la rémission des péchés.
La foi rédemptrice se manifeste principalement dans la prière intérieure et dans une relation
personnelle avec le Sauveur. Elle nous unit à Lui. Nous unissons nos souffrances et nos
croix à Lui, c'est-à-dire que nous vivons la co-crucifixion avec le Christ.
Notre but après cette courte vie est la vie éternelle. Il n'y a qu'un seul véritable chemin qui y
mène, et c'est Jésus-Christ. Il est le Chemin et la Vérité, mais aussi la Vie : la vie éternelle
(Jn 14,6).
+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin
Merci pour votre lien, quant à moi je vais à l’église de la fraternité de St Pie 10..Messe en latin ( réfutée par bergolio ) homélie en français , voir sur les différents sujets les superbes homélies de l’abbé Pugga sur youtube
Qui en a vu d’autres – pas vues d’autres, Modeste.
Sinon c’est très bien vu ce mariage du guénonisme et de (l’informatique de) Davos.
Guénon fait l’éloge de la cité divine – une copie conforme du monde connecté de Davos. Avec un super-cerveau pour les conduire tous.
Saint graphène (invention russe) priez pour nous.