L’agenda du remplacement de population (assumé par Macron sous le nom de « transition démographique ») se heurte à un obstacle délicat : la culture des populations importées n’est généralement pas féministe du tout. En Allemagne, la contradiction affleure déjà.
En proclamant en 2015 sa « culture de la bienvenue » comme nouvelle ligne directrice de la politique migratoire allemande, c’est la Young Global Leader Angela Merkel qui – bien plus que la destruction du régime Kadhafi en Lybie, ou les contes de fées climatiques – avait déclenché le tsunami migratoire du milieu de la décennie : son appel à candidatures avait été reçu 5 sur 5 par tout un continent africain désormais parfaitement connecté à l’actualité mondiale, via, notamment la généralisation des smartphones.
Mais, à vrai dire, le pari était double : il s’agissait, d’une part, de créer, en application du vieux plan Kalergi, une population euro-africaine permettant de neutraliser toute velléité de séparatisme des nations de l’Occident Historique (blanc) à l’encontre du système mondialiste contrôlé par l’oligarchie – syndiquée à Davos – de l’Occident Etendu (défini comme : Occident Historique + Occident Pigmenté).
Mais il s’agissait aussi de parier sur une possible assimilation culturelle à court terme des populations importées (principalement africaines), en les convertissant, non pas au christianisme que les davosiens vomissent ou à la démocratie qu’ils abolissent, mais à la religion dominante de l’Occident Historique : au féminisme.
Se pigmenter sans revenir à la normalité anthropologique ?
D’où cette loi, adoptée en 2017 par la grande coalition centrale de cette même Merkel, qui prescrivait l’annulation sur le sol allemand de tout mariage conclu à l’étranger et impliquant un conjoint mineur.
Dans son fétichisme infantile du droit, l’Occident Historique – programmatiquement aveugle à la diversité culturelle – refuse en effet de voir que le droit ne peut fonctionner qu’en codifiant des règles préalablement avalisées par un consensus culturel. Or, dans les cultures de l’Afrique et du Moyen-Orient, une femme atteignant en état de célibat l’âge auquel se marient les rares occidentales qui le font encore est – exactement comme sur notre continent européen à l’époque où il restait démographiquement viable : une vieille fille, qui a raté sa vie.
On peut donc voir une admission partielle de cet état de fait dans la décision récente de la Cour constitutionnelle allemande, qui impose au législateur de mitiger d’ici à 2024 la loi susmentionnée de 2017.
on peut ajouter également l’esprit clanique qui fait préférer le clan/famille/tribu à l’individu et au reste de la société au mépris du Droit.
c’est dévastateur en Afrique, ce le sera en Europe.
Peut-être que le sujet du soi-disant féminisme est une diversion
Car si on se bat tous contre ça nous allons nous rapprocher les uns des autres car le combat contre le soi-disant féminisme est plus important que nos autres différences culturelles
Et hop l’intégration est faite
Emmanuel Todd parle de nihilisme occidental; ça explique quasi tout, en tout cas ça nous décrit pile poil. Nous les socialo allons chercher les immigrés, pas l’inverse. Les immigrés ne s’intéressent pas à nous, se foutent bien de not’ vie de babtou fragiles.