En Octobre 2021, Allen Gahl a décidé de saisir la justice car l’hôpital Aurora Health Care avait refusé de prescrive de l’ivermectine à son oncle hospitalisé en soins intensifs. Le tribunal du circuit du comté de Waukesha avait alors ordonné au personnel d’Aurora d’administrer l’ivermectine au patient en question. La Cour suprême du Wisconsin a, par la suite, annulé cette décision. Elle a déclaré mardi qu’il est désormais interdit de forcer les hôpitaux à administrer ce médicament, utilisé sur les animaux pour tuer les vers, aux patients malades du Covid. Le débat sur l’ivermectine continue d’alimenter de nombreuses théories. Son efficacité a pourtant fait l’objet d’études probantes pour la plupart.
Au début de la pandémie, de nombreux chercheurs ont évoqué l’efficacité de certains médicaments incluant notamment l’hydroxychloroquine et l’ivermectine dans le traitement du Covid-19. Mais rapidement, les bureaucrates de l’administration Biden, et ce malgré leur efficacité, les ont volontairement disqualifiés comme traitement du COVID-19 au profit des injections Covid expérimentales. Avec le lobbying intensif des laboratoires, les médias mainstream ont également alimenté la confusion et la désinformation autour de ce médicament. Des études japonaises ont montré que le médicament antiparasitaire Ivermectine a un effet antiviral contre les divers variants du coronavirus. Ces études indépendantes ont été recommandées par un prix Nobel de médecine japonais le Docteur Haruo Ozaki. En avril 2021, en pleine explosion des cas, le ministère indien de la Santé a préconisé l’ivermectine pour traiter la Covid-19, s’appuyant sur les nombreuses études disponibles. Traitement peu cher, plusieurs gouvernements ont autorisé la prescription de l’ivermectine comme traitement contre le coronavirus, ces pays ont tous eu recours à ces traitements avec des résultats probants. Le Nebraska (Etats-Unis) a autorisé également l’ivermectine et l’hydroxychloroquine dans le traitement contre le Covid 19.
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On ne peut pas forcer. C’est aussi le cas des vaccins
Le Wisconsin n’est-il pas un état démocrate ? Ceci explique sa décision dogmatique et stupide.
On appelle ça la science relative aux intérêts de big pharma.
L’indication de cet insecticide est la gale sarcoptique et certaines filarioses. En cas de maladie imaginaire, le traitement indiqué est l’attestation des menteurs au titre de l’article 411-4 du Code pénal.
Comme tout insecticide, l’ivermectine est neurotoxique. Les diverses infections bactériennes respiratoires diagnostiquées à tort Covid 19 par l’emploi d’un test RT-PCR aux amorces fantaisistes et aux températures de cycles inadéquates nécessitent une antibiothérapie adaptée.
La maladie dite Covid 19 n’existe pas et n’a jamais existé.
On remarque au passage que les dingues ne sont pas dépourvus d’humour puisque le narratif alternatif pour “moutons noirs” – i.e. Gaulois réfractaires – avait prévu de vanter cet insecticide auprès de ce qu’ils s’étaient fait le petit plaisir supplémentaire d’identifier comme des… brebis galeuses.
Revendiquer l’ivermectine pour soigner la maladie imaginaire revient donc à s’injurier soi-même, pour le plus grand plaisir des agresseurs…