Vendredi, Pékin a farouchement rejeté les plans du Groupe des Sept (G7) visant à « contrer la coercition économique de la Chine » et à faire pression pour « réduire les risques » de leurs relations économiques avec le pays. Pékin a jugé que les États-Unis ne procèdent que par intimidations. Et il a exhorté le G7 à ne pas tomber dans une diplomatie « coercitive », en s’appuyant sur des « petites cliques exclusives » dans leur comportement.
Cet article publié sur le site globaltimes.cn n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Le sommet du G7 a débuté vendredi dans la ville japonaise d’Hiroshima. Les plans hostiles contre la Chine et la Russie – qui ne font pas partie du groupe – ont dominé l’ordre du jour, bien que le bloc des participants soit resté embourbé dans des divisions internes, et que les pays participants demeurent confrontés à de profondes crises politiques et économiques, telles que celle de la dette des États-Unis.
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