Il est urgent de psychanalyser Bruno Le Maire, pour le bien des Français. Il y a quelques jours, le (z)héros de son texte (qu’on n’ose pas qualifier de roman) exprimait une fascination pour un petit bout d’anatomie brune de son amante. Hier 23 mai, le Ministre de l’Economie a parlé de “verdir la fiscalité”, un état d’esprit gouvernemental qui doit, assure-t-il, éviter les hausses d’impôt. Macron est tellement logorrhéeux qu’on a tendance à lister les incohérences de ses discours pour les décrypter. Bruno Le Maire nous facilité la tâche puisqu’il suffit de le mettre sur le divan. Le tropisme sexuel de son fantasme appelé Oskar nous confirme, si besoin était, un besoin irrésistible “d’enc…le pays”‘. Pas besoin de soupeser les propos officiels du ministre: nous pouvons être sûrs qu’il y aura, à travers l’écologie punitive, une fiscalité toujours plus accablante. Regardons comme le ministre a parcouru tout un éventail de couleurs: rose, doré, mauve, brun, et maintenant vert…..
Bruno Le Maire a juré ses grands dieux: il est exclu de “financer les investissements massifs requis pour la transition écologique en France par un recours à la dette publique et à l’impôt, comme le préconise un rapport remis au gouvernement. Ce rapport, commandé par la Première ministre Elisabeth Borne à l’économiste Jean Pisani-Ferry, estime à 66 milliards d’euros supplémentaires par an, dont jusqu’à 34 milliards de fonds publics, les investissements nécessaires pour atteindre en 2030 l’objectif d’une réduction de 55% des émissions de gaz à effet de serre par rapport à 1990.
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Pacte finance-climat… dans ce ordre.
N’oublions pas que lorsque ces bonimenteurs de foire font des proclamations avec le son des trompettes et tambours , il faut s’attendre à l’inverse : “Nous n’augmenterons pas les impôts…..” On peut déjà commencer à fermer les yeux et serrer les fesses.
Si je peux me permettre, vous avez tort de faire preuve d’une timidité de chaisière, en n’osant pas écrire le mot “enculé”, alors qu’il figure dans “le Littré – Dictionnaire de référence de la langue française” en 20 volumes entre les mots ENCULASSER et ENCUVAGE :
ENCULÉ, ÉE n.m. et n.f. Vulg. Terme d’injure. Quel enculé ce type ! ÉTYM. enculer.
ENCULER, v.tr. Vulg. Sodomiser. Terme d’injure. Va te faire enculer ! ÉTYM. en et cul.