Un nouveau scandale qui, sur les RS, ne désenfle pas : celui suscité par une campagne d’affichage dans les abribus sur le thème de l’éducation sexuelle. Il jette certes une lumière crue sur les contradictions du régime. Mais la question qui fâche le plus (« La pénétration me fait mal. Que faire ? ») est peut-être aussi celle qu’on devrait davantage prendre au sérieux.
Quand il s’agit de faire passer une autre pilule – celle du flicage d’Internet sur modèle chinois, et de la disparition de l’anonymat en ligne –, le régime pose volontiers en nounou puritaine, qui veut à tout prix protéger les têtes blondes des produits d’une civilisation pornographique au demeurant parfaitement incarnée par le gouvernement Borne, qui compte dans ses rangs plusieurs pornographes fiers de l’être.
On comprend donc que certains parents fassent, au vu de telles pancartes, des montées de tension artérielle même en l’absence d’une « immunisation sûre et efficace » contre le « Covid ».
On aurait, cependant, tort de prendre cette question à la légère. Dans son récent et séminal article sur le Fascisme gris, Edouard Husson a rappelé à quel point le film consacré aux 50 nuances de gris constituait le manifeste de la technocratie oligarchique en voie de consolidation.
Quand « non », c’est « non »
Il rejoint ainsi une intuition de Clouscard, quand ce dernier parlait de capitalisme de la séduction : incarnation française de cette tendance davosienne, la Macronie ne veut pas pratiquer sur la société un viol brutal, mais une pénétration sadique basée sur un protocole de consentement sadomasochiste.
Face à cette Caste en proie à la paranoïa que lui inspire son propre déficit de légitimité, bien décidée à nous punir, à nous humilier, à nous dépouiller et, finalement, à nous tuer (c’est l’issue logique de tout délire sadique), nous devrions donc peut-être nous poser, en effet, la question : que faire quand ça fait mal ?
Nous pourrions, par exemple, imiter les recettes que préconisent les Davosiens eux-mêmes face à la « haine en ligne » : tout déconnecter. Comme toute famille responsable en présence d’un soupçon de pédophilie : couper les ponts. Mais, comme la Caste, improductive, est un parasite qui n’acceptera pas de bonne grâce d’être séparé de son hôte, il faudra aussi se poser la question de la légitime défense.
La “pénétration du Great Reset” : en somme, M. Schwartz, ni plus ni moins que la société “ouverte”, moyennant une bonne dose de “Popper”, comme le préconise Soros…
Ils ont bien appris leur leçon sur la fabrication du consentement.
Problème: cela demande du temps et ils sont pressés.
Faut se méfier avec les McKinskey, ils volent en escadrille, c’est des saloperies visqueuses. On les entend arriver, avec le bruit de TOUTES leur grosses ficèles.
S’ en préserver mon Général !