Après un mois de septembre où les indices ont baissé (comme annoncé, d’une certaine façon), le mois d’octobre ne commence guère sous de meilleurs auspices. Les turbulences financières continuent, et s’expliquent largement par la remontée des taux : le marché obligataire offre des opportunités d’achat avec un fort rendement qui attirent les investisseurs. Les actions perdent de leur attrait. Pour l’instant, il est difficile de mesurer l’impact à long terme de ce mouvement… mais on y verra l’un des risques systémiques supplémentaires que les politiques de lutte contre l’inflation produisent. C’est l’occasion de répondre aux questions de nos lecteurs sur un possible effondrement du dollar, sur la fameuse dédollarisation tant attendue par certains.
Ce matin encore, le CAC 40 était annoncé à la baisse après une vague de volatilité obligataire sur les marchés. La hausse des rendements pousse les investisseurs à se détourner du marché des actions. En outre, les inquiétudes sont nourries par la détermination de certains élus républicains, aux États-Unis, à provoquer un shutdown pour affaiblir Joe Biden. On l’a vu ce week-end, la banqueroute de l’État fédéral a été évitée de justesse, grâce à un accord qui ne va pas au-delà du mois de novembre, et qui exclut tout soutien financier à l’Ukraine pendant ce temps. Combien de temps la première puissance du monde pourra-t-elle vivre de tels expédients ?
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Si effondrement du dollar US il doit y avoir, l’euro s’effondrera bien avant.
Pour l’instant c’est l’euro qui baisse et le dollar qui monte…
Les marchés sont peut-être à un tournant malgré qu’ils restent perchés.
Que nous réserve les semaines à venir ? Cependant sur du long terme en mensuel ou en trimestriel le marché US reste très haussier mais également le CAC…
Assez paradoxal compte tenu du contexte actuel mais les marchés n’ont plus rien à voir avec le quotidien des gens… c’est cela la leçon principale à retenir
Certes le dollar monte, mais il est plombé par la dette abyssale de l’Amérique et les taux attractifs comme les dividendes d’un titre en déclin ne vont ils pas finir par déclencher une crise financière systèmique et irréversible ? Aussi bien dans la destruction de capitaux fictifs dans l’immensité cosmique des produits dérivés qui auront un impact sur l’économie réelle et à terme sur la valeur du dollar.
Ce qui risque, comme par le passé de déclencher une guerre mondiale “structurante” qui a vu naître l’hégémonie du dollar et ensuite sa désindexation de l’étalon or en 1971.
Une guerre mondiale au sens fort du terme est risquée, l’humain étant le seul être du vivant a créer une destruction équivalent aux cataclysmes naturels ou cosmiques qui éradiqueraient toutes vies sur cette planète.
Nous ignorons les négociations discrètes entre les éléments sous-jacents, les autorités cachées des vrais pouvoirs qui contrôlent pratiquement tous les états de ce monde et ses hommes de paille et, avec ou sans guerre, nous orienter après l’instrument dollar obsolète ou pas, vers une monnaie mondiale type bancor adossée à des valeurs réelles ( économie réelle, matières premières, énergétiques dont pétrolifères et en joker le retour de l’étalon or accaparé) mais bon gré, mal gré totalement numérique, pas façon visa-mastercard mais plutôt crypto-devise-banque centrale.
Ensuite progressivement pour ne pas cabrer le bétail, une monnaie conditionnelle puis temporaire avec un délai d’utilisation. Ceux qui contestent, qui revendiquent ou qui protestent, ce sera avec effet immédiat d’invalidité.
Et ainsi la monnaie qui est un instrument du pouvoir deviendra une nasse encore plus efficace avec l’aide de la technologie aux seuls profits au delà du pécuniaire sur les pauvres de nous, éternels cocus de “l’arringemint” (accent d’un caid de la banlieue toulousaine) entre puissants de cette dimension.
C’est désolant, affligeant, déprimant, désespérant que seul les blogs sur internet, dont l’excellent CDS, soulèvent ce problème fondamentale de la monnaie alors que les merdias officiels nous noient d’informations sans intérêt comme, té v’la aut’ chose : les punaises de lit.