Nous terminons aujourd’hui notre histoire sur le réseau mondial construit par le Département d’État et les services de renseignement américains, dont le centre et les ressources financières se trouvent aux États-Unis, et les tentacules de cette « pieuvre américaine ». Ainsi que l’écrit le journal hongrois Magyar Nemzet, cet octopus « se compose de politiciens et de députés hongrois de gauche ». Dans les parties précédentes de notre série d’articles, nous avons décrit comment fonctionne ce réseau et comment il tente d’assurer la mise en œuvre des intérêts américains en Hongrie . Nous avons découvert les connexions à l’étranger des hommes politiques hongrois qui sont les acteurs les plus importants des réseaux de renseignement américains. Cette fois, notre histoire n’est pas celle d’un homme politique professionnel, mais d’un homme d’affaires et sociologue, qui est pourtant une figure très importante des réseaux d’influence pro-américains.
Zoltan Somogyi a établi de bonnes relations avec les organisations Soros
Cet article initialement publié sur le site fondsk.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Zoltan Somogyi a débuté sa carrière au sein de l’écurie de l’ « Alliance des Démocrates Libres » (Szabad Demokraták Szövetsége – SZDSZ), où il a travaillé dans les années 90, participant aux campagnes électorales des libéraux hongrois, ainsi qu’à l’organisation de l’ « Académie libérale ». Puis, après avoir diffusé beaucoup d’idées libérales, il fonde en 2002, avec son associé Christian Szabados également du SZDSZ, la société « Political Capital », qui devient l’un des principaux groupes de réflexion de la gauche hongroise.
Ce contenu est réservé aux abonnés
Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.
Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.
Victor Orban est un exemple pour la France, c’est un homme réfléchi qui il a le souci de son pays. J’en rage en regardant la diplomatie inepte de l’Union européenne.