Depuis plusieurs semaines, nous évoquons régulièrement les risques qui pèsent sur l’assurance-vie du fait du relèvement rapide des taux d’intérêt. Le sujet est sensible et délicat, compte tenu des sommes en jeu. Malgré cette sensibilité, les médias subventionnés osent, de loin en loin, aborder à tâtons la question de la durée de vie possible pour notre modèle. Si le système financier a transformé l’assurance-vie en forteresse sérieusement défendue, celle-ci n’est toutefois pas imprenable. L’onde de choc créée par la crise immobilière pourrait saper certains de ses fondements.
Nous avons expliqué depuis plusieurs mois la mécanique de la crise obligataire due au relèvement rapide des taux, et son impact possible, voire plausible, sur l’assurance-vie. Nos lecteurs sont donc avertis depuis plusieurs semaines de la vigilance qu’il faut avoir sur le “cap Horn” qui pourrait se préparer dans ce secteur.
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