Au chapitre des décisions étonnantes prises par les autorités, on visera l’étonnante clémence dont les Arméniennes sans papier responsables du décès d’une agricultrice et de sa fille sur un barrage à Pamiers. Bizarrement, alors que le Préfet du coin voulait les expulser sans délai du territoire (décision en soi étrangement clémente), la justice vient de leur accorder un délai d’un mois. On rappellera ici l’analyse décapante de Noam Anouar avait faite de cet incident… analyse que la décision de justice semble plutôt conforter.
On se souvient que, à Pamiers, une voiture avait foncé dans un barrage d’agriculteurs, tuant une femme et sa fille mineure. On avait appris que cet accident improbable avait été causé par une Arménienne sans papier, accompagnée de deux proches, au volant de sa voiture en route pour Andorre à une vitesse élevée. Ces Arméniens étaient sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français.
La justice vient de trancher sur la décision préfectorale de les expulser : les personnes incriminées bénéficient d’un délai de 30 jours. Curieusement, aucun des mouvements identitaires qui pestent inlassablement contre le prétendu laxisme de la justice concernant les sans papiers ne semble s’en émouvoir.
Le Préfet devra donc attendre un mois avant de procéder à leur expulsion, le temps que l’affaire se perde dans les limbes et que plus personne n’y pense.
On rappelle les analyses sceptiques de Noam Anouar sur la véritable nature de cet incident.
Étonnante clémence de la justice pour une étrangère en infraction routière, OQTF, sans papiers, homicide. Mais la justice est implacable avec des Français qui expriment leur ras le bol d’être envahis et pillés.
Une décision plus qu’étonnante qui confirme les soupçons de Noam Anouar finalement…
Rester au pouvoir par tous les moyens, à commencer par les plus répugnants.
Avant la dépossession patrimoniale, il convient de procéder à la dépossession disons territoriale. Ainsi avec la dépossession économique sur toutes matières, la vassalisation politique et monétaire avant que cette dernière ne soit complétée par la technologie numérique, la surveillance généralisée également numérique, réponse organique au chaos d’une tiers-mondisation organisée par des idéologies bisounours. Tout cela pour obtenir le consentement à un système totalitaire qui n’échappera pas non plus à la mode du numérique facilitateur et multiplicateur de l’execution des directives davossiennes.
Bien entendu tout cela se produit sous la bannière de la démocratie, de l’humanisme, du socialisme pour les uns, du libéralisme pour les autres, de l’état de droit et toutes les pommades et vaselines possibles et imaginables des tenants et aboutissants.