Dans quelles mesures nos libertés fondamentales ont-elles été menacées par les mesures de lutte contre la pandémie ? Une cour d’appel fédérale a rendu son verdict concernant deux affaires connexes sur le refus de port de masques faciaux lors des réunions publiques lundi. Les plaignants, George Falcone et Gwyneth Murray-Nolan, ont affirmé avoir subi les représailles des fonctionnaires à Freehold et Cranford. La Cour a déclaré que le refus de porter un masque n’était pas protégé par la liberté d’expression.dans le Premier amendement de la Constitution américaine. Pour beaucoup, le port du masque en extérieur est un choix bien plus politique que scientifique, mais surtout un symbole de la soumission du peuple par les élites.
La décision récente d’une cour d’appel fédérale concernant le port du masque dans les réunions du conseil d’administration scolaire a ravivé le débat sur la liberté d’expression et les mesures de santé publique pendant la pandémie de COVID-19. La Cour d’appel du 3e circuit a statué que le refus de porter un masque en période d’urgence sanitaire ne constituait pas un exercice protégé par le Premier Amendement de la Constitution des États-Unis. Cette décision soulève des questions sur la balance entre les droits individuels et la sécurité publique.
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Des études scientifiques montrent que le port du masque « chirurgical » ne protège pas contre la transmission virale ou bactérienne, par contre il est utile dans les blocs opératoires pour se protéger contre les jets de liquides physiologiques. Le masque protecteur serait le FFP2. Donc l’obligation du port du masque est une décision politique qui vise à soumettre la population à l’état neo totalitaire vers lequel l’occident s’achemine.
Même le FFP2 est insuffisant.
La taille des virus étant de o,4 microns.
Infiniment minuscule.
En plus de rendre visible un virus inexistant (ce qui était le cas à l’été 2021), le flicage des citoyens les uns par les autres a été une bénédiction pour le pouvoir.