La crise du COVID-19 a entraîné une crise financière sans précédent pour de nombreuses entreprises, en particulier les start-ups technologiques. Pour répondre à ces défis, le gouvernement britannique a mis en place le Future Fund, un programme visant à fournir un financement d’urgence aux entreprises déficitaires. Cependant, des rapports récents révèlent que de nombreuses start-ups soutenues par ce fonds éprouvent des difficultés à respecter les délais de remboursement des prêts. Durant la crise sanitaire, les autorités sanitaires britanniques ont fait en sorte que le public se conforme coûte que coûte aux restrictions de confinement en constante évolution. Les dommages causés par les fermetures Covid ne sont réellement visibles que maintenant
Les entreprises soutenues par le fonds de lutte contre le Covid de Rishi Sunak sont incapables de respecter les délais de remboursement des prêts. Alors que le Future Fund a été conçu comme une bouée de sauvetage pour les entreprises en difficulté pendant la pandémie, ses défis actuels mettent en lumière les difficultés persistantes auxquelles sont confrontées les start-ups technologiques.
Environ 100 start-ups peinent à lever des fonds
Près de 100 entreprises ont été renflouées par le fonds de lutte contre le Covid de Rishi Sunak. Selon les dernières nouvelles, elles n’ont pas respecté les délais de remboursement des prêts.
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Je crois que beaucoup d’entreprises françaises ont aussi du mal à rembourser le PGE.
La notion de “perte financière” est à regarder de prés . La situation où des start-ups ou des entreprises classiques, incitées à emprunter puis incapables de rembourser sont vendues/rachetées, est une situation de transfert de valeur (en capital, en R&D ou innovation , en outil ou procédure de production, en clientèle, etc.) dans lequel quelqu’un peut-être perd et quelqu’un d’autre acquiert. Et c’est “Bingo!” si on arrive à refiler les pertes éventuelles à une ou plusieurs tierces entités (le start-upper/entrepreneur malheureux ou mal conseillé ou celui qui avait dès le depart conçu un mauvais projet et le gogo contribuable qui gobe le couplet servi par les organes de mediapropagande style B. Duhamel: “quand même, heureusement qu’on a fait le quoi qu’il en coûte, n’est-cepas?!”)