L’arrêté fédéral concernant l’initiative populaire « Pour la liberté et l’intégrité physique » a été soumis au vote du public le dimanche 9 juin 2024. Selon le résultat officiel provisoire, les électeurs ont rejeté l’initiative visant à interdire la vaccination obligatoire. C’est la quatrième fois que les Suisses votent sur un thème en lien avec la crise Covid-19. Pour la Suisse, la crise du Covid est derrière nous, ainsi que les polémiques sur la vaccination. En effet, l’intégrité physique est déjà protégée par la Constitution suisse, ce qui a été un argument clé des opposants à l’initiative.
Dimanche dernier, l’initiative populaire “Pour la liberté et l’intégrité physique” a été massivement rejetée par 73,7% des voix en Suisse. Lancée par des opposants aux mesures anti-Covid, cette initiative visait à empêcher toute vaccination obligatoire.
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Peu importe que la préservation de l’intégrité physique soit déjà inscrite dans la Constitution, vu que cette dernière peut être bafouée. Réaffirmer ce principe aurait eu une certaine valeur. Mais la Suisse n’est plus ce qu’elle était…
“Mais la Suisse n’est plus ce qu’elle était…” Vous voulez dire par exemple, comme en 1940, lorsqu’elle s’opposait à l’entrée en Suisse de Juifs apatrides mariés à des Suissesses et pères d’enfants de nationalité Suisse ?
L’Habea Corpus, le principe d’inviolabilité des corps et le principe de la liberté d’opinion étaient la base de la démocratie, si les suisses ne le comprennent plus c’est que le processus totalitaire s’attaque à la confédération helvétique. De même le code de Nuremberg fixe les conditions des expériences médicales sur l’humain et il a été violé par la vaccination obligatoire en 2021, les suisses patrie de Jean Dominique MICHEL ne le comprendrait pas ?
Les suisses ont rejeté cette initiative car ils ont été bernés par les politiciens disant que la police n’arriverait plus à faire son travail correctement.
Le fait qu’une étude anglaise trouve une surmortalité nette chez les vaccinés par rapport aux non vaccinés, jeunes ou âgés, doit faire réfléchir!
Les faits sont parlants à eux seuls, heureusement ! C’est très flou comme situation… D’un bord, la Constitution suisse garantirait l’inviolabilité physique de l’individu, de l’autre un mouvement populaire, rejeté majoritairement par les électeurs, semblerait ne pas avoir lieu d’être… Ce mouvement populaire aurait-il souhaité clarifier les choses, uniformiser les pratiques sur l’ensemble de la Suisse ? On sent un flou ‘(voulu ?) qui fait penser à “ça dépend où et sur qui vous tombez” : si j’ai bien compris, les praticiens auraient toute latitude ?… Et en cas de litige, ce serait “le droit européen” qui serait retenu, droit autoproclamé prioritaire et donc passant outre tout droit national.