Sans surprise, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) continue à faire son travail de lobbying habituel avec son opération de reprise en main et de transfert de souveraineté aux « urgences sanitaires ». L’OMS vient de publier de nouvelles recommandations destinées aux autorités nationales et aux laboratoires biomédicaux pour la gestion des risques biologiques. Ces recommandations sont adressées aux autorités nationales et aux laboratoires biomédicaux. La manipulation de l’OMS réside dans ses recommandations qui consistent à avancer que nos dirigeants doivent leur laisser quartier libre pour protéger les populations de ces risques biologiques.
Selon l’OMS, les laboratoires jouent un rôle crucial dans l’amélioration de la santé publique. Ils aident les médecins à établir un bon diagnostic et à déployer rapidement des soins cliniques adaptés à chaque patient. Ils contribuent aussi à la surveillance des agents pathogènes et à la détection des maladies infectieuses dangereuses. En ajout à tout cela, les laboratoires participent à la recherche et au développement des traitements et des vaccins.
Un renforcement de la sûreté biologique
Selon l’OMS, un problème de sécurité au niveau des installations et un manque de compétence du personnel pourraient transformer les laboratoires en une source de danger pour la population. En ce sens, elle vient de mettre à jour les orientations en matière de sûreté biologique afin d’optimiser la sécurité des laboratoires.
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Les laboratoires sont surtout parfaitement obéissants aux injonctions qui viennent « d’en haut ». Sur des durées longues, on voit bien comment évoluent les « normes »…
Et leur servilité a été bien récompensée pendant le Covid.