Il a toujours existé des végétariens, fussent-ils très minoritaires, et aussi différents qu’Hitler et Gandhi. Mais c’est désormais une mode plus radicale qui gagne les esprits, en commençant par les plus jeunes : le végétalisme, voire le véganisme…
Le végétalisme ne peut pas être tout à fait confondu avec le véganisme, qui procède d’une sorte de philosophie tendant à exclure de notre vie non seulement la consommation des animaux, mais celle de ce que les animaux produisent – comme les œufs, ou le lait – et en outre les matières animales dont on peut se servir pour l’habillement, ou les chaussures : le cuir, par exemple.
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Il ne faut néanmoins pas perdre de vue que les animaux d’élevage sont aussi remplis de divers produits chimiques qui s’ajoutent à ceux déjà présents dans les végétaux qu’ils consomment… C’est la chaîne alimentaire. Plus on se trouve en haut et plus on cumule de polluants. Et qu’ils (les animaux) sont aujourd’hui très éloignés d’une alimentation naturelle. A tel point que les animaux d’élevage reçoivent eux aussi des compléments en vitamines B12 notamment.
Je veux bien qu’Yves-Marie Adeline se penche sur la problématique des idéologies derrière le véganisme ou le végétalisme, sujet lequel je ne me prononcerai pas, ne connaissant pas assez le sujet.
Par contre, pourquoi se lancer sur le sujet de la diététique et des carences alimentaires qu’il ne semble connaître que superficiellement? Se basant sur les affirmations de quelques spécialistes, peut-être même mal interprétées (ça m’étonnerait que le Dr Geoff Mullan ait laissé entendre que les oméga-3 sont des protéines, alors que ce n’est pas du tout le cas!), il conclut en deux temps trois mouvements à la nocivité de ces régimes et au fait que «le régime végane n’est pas naturel pour l’homme». Je suis de mon côté convaincue qu’on peut se nourrir sainement avec des oméga-3 d’origine végétale, peut-être moins facilement assimilés (ce dont je ne suis pas si sûre d’ailleurs), mais assimilés tout de même. À noter aussi que les animaux d’élevage reçoivent régulièrement des compléments alimentaires, y compris par exemple de la vitamine B12… Est-il plus «naturel pour l’homme» de manger des animaux qui ont dû être complémentés en vitamine B12?
Enfin, je me réjouis de son prochain entretien vidéo sur les sujets qu’il maîtrise tellement mieux !
Bonjour,
Je viens d’être encore obligée de me connecter pour lire un article du courrier des stratèges ; je l’ai déjà fait au moins deux fois si ce n’est plus depuis la semaine dernière. C’est tout à fait horripilant ! Je suis abonnée depuis bien longtemps (depuis la mise en place de l’abonnement) et au début il me semble que le connexion ne se faisait qu’une fois par mois, ce qui était supportable.
Vous êtes passée en lecture privée sur votre appareil, et nous n’y sommes pour rien…
Pour comprendre l’intérêt du régime vegetalien allez regarder « What the Health » qui, bien que diffusé depuis plusieurs année déjà sur Netflix, n’a jamais pu être censuré ou « modéré » malgré ce qu’on découvre à son visionnage.
Par ailleurs, Carl Lewis était vegetalien, Lewis Hamilton -7 fois champions du monde de f1- est vegetalien, et il y a de nombreux autres exemples.
Dès que l’on sort du champs de l’omnivorisme, tous les malheurs du monde vont s’abattre sur nous. Je suis devenu végétarien. Pour ma santé, pour ma conscience et aussi pour le bien notre planète. La dernière étude de l’OMS (100g maximum de viande par semaine) est assez claire à ce sujet. Abonné à la L214, je n’ai pris que bien tard conscience de la souffrance que nous infligions aux animaux. D’un point de vue écologique, notre excès de consommation de viande a un lourd impact sur la pollution des sols.
N’ y a t’il pas des sujets plus importants à traiter ? Laissez vivre ceux qui veulent manger différemment et surtout soyez plus attentif au contenu de votre assiette et à l’état de votre conscience.
Parlons de l’impact sur les sols….. Le soja, les vignes et j’en passe…. Les petits elevages n’ont aucun impact sur les sols, bien au contraire !
Le soja sert en majorité à nourrir les animaux d’élevage…
Les petits élevages ont un gros impact: ils occupent beaucoup d’espace! Ces terres pourraient être utilisées pour nourrir beaucoup plus de gens que les animaux qui y paissent. Sans compter les émissions de gaz à effet de serre causés par les animaux.