Description
Ce n’est cette fois plus à cause du Covid, mais la Chine se remet à tousser et le monde risque à nouveau de s’enrhumer ! Le ralentissement de la demande intérieure pénalise en effet les multinationales chinoises, dont Pékin réclame qu’elles inondent de leurs produits le reste du monde, pour tenter d’éviter une sérieuse crise de surproduction, aggravée par l’effondrement de la confiance des ménages, celui de l’immobilier (partiellement sous contrôle), mais aussi le déclin démographique. Xi Jinping, jamais en retard d’une bataille commerciale, en attendant « la » guerre commerciale que ne devrait pas manquer de lui livrer (à nouveau) Donald Trump s’il parvient à revenir à la Maison-Blanche, a cependant déjà réagi et les entreprises chinoises, notamment celles cotées à Wall Street, profitent déjà des mesures de relance monétaire qu’il a annoncées.
On se demande toutefois de quel côté la pièce risque de retomber et si le ralentissement du moteur économique mondial – et son remplacement, à bien des égards, par l’Inde – est de nature à différer une entrée sur le marché d’actions de l’Empire du Milieu ou, au contraire, s’il offre des points d’entrée pour profiter du rebond des indices boursiers chinois.
Aussi vous expliquerons-nous dans ce 53ème dossier :
– La dégradation récente des fondamentaux économiques de la Chine ;
– Les atouts sectoriels qui demeurent cependant ceux de Pékin ;
– Comment investir en actions chinoises et profiter de la hausse des indices.