BriLife, tel est le nom du vaccin israélien qui offrirait une meilleure protection contre tous les variants. La société pharmaceutique américaine NeuroRx a obtenu les droits exclusifs sur son développement, sa fabrication et sa commercialisation. Avec un large choix de vaccins, on s’achemine de plus en plus vers une tentative de vaccination universelle. Pourtant, face à la recrudescence des cas de contamination dans les pays adeptes du tout vaccinal, on s’aperçoit de jour en jour que la vaccination n’est pas la panacée.
Efficace contre les variants?
De nouveaux vaccins arriveront bientôt sur le marché. Dans un communiqué de presse publié mercredi dernier, la Commission européenne dit avoir approuvé le contrat avec le laboratoire franco-autrichien Valneva. Il y a quelques jours,le Jerusalem Post a eu accès aux données concernant le vaccin BriLife. BriLife est un vaccin candidat qui a vu le jour grâce à l’Institut israélien de recherche biologique (IIBR). L’établissement est sous l’égide du bureau du Premier ministre et il collabore étroitement avec le ministère de la Défense.
Ces données auraient révélé l’efficacité du vaccin et sa capacité à offrir une immunité durable. En effet, les résultats de l’essai de phase II sont prometteurs d’après le professeur Yossi Caraco, directeur de l’unité de recherche clinique d’Hadassah. Seul un des 200 patients ayant participé à l’étude a contracté le coronavirus.
Selon le directeur de l’IIBR, le professeur Shmuel Shapira, BriLife est un vaccin à vecteur viral (VRV). Il a été conçu pour présenter à l’organisme une version du coronavirus. Il permet au système immunitaire d’identifier la protéine spike et de développer ensuite une réponse immunologique adéquate. Ainsi, en cas d’exposition au vrai coronavirus, le risque de développer des infections serait-il relativement faible.
Les tests réalisés dans le laboratoire de l’IIBR ont montré que les anticorps du vaccin conservent leur capacité de neutralisation contre les quatre principaux variants : Alpha, Beta, Gamma et Delta. Il pourait aussi offrir une protection durable.
NeuroRx va lancer l’étude d’enregistrement de phase II/II en décembre
Selon les informations obtenues par le Jerusalem Post, , la première dose de ce nouveau vaccin est disponible depuis août 2020. Mais les scientifiques d’IIBR ont eu du mal à faire progresser le développement et la fabrication de BriLife. Ils ont fait face à de nombreux obstacles bureaucratiques et des contraintes budgétaires.
L’été dernier, le ministre de la Défense a accordé les droits exclusifs mondiaux de développer, fabriquer et commercialiser ce vaccin afin d’accélérer son développement. à la société américaine NeuroRx qui débutera l’étude d’enregistrement de phase II/III en décembre, en Georgie et en Israël.
Concernant les effets secondaires, d’après les premiers rapports, ils seraient moins graves que ceux provoqués par Pfizer et Moderna.
Actuellement, plusieurs pays, notamment européens et asiatiques, enregistrent une hausse des cas d’infection. Malgré un taux de vaccination élevé, les contaminations flambent. Outre l’ inefficacité, des études révèlent également de nombreux effets secondaires recensés après la vaccination.
C’est sûr, puisque c’est backupété par le sinistère de la _défense_ – ils nous prennent vraiment tous pour des cons.
Peut-être suivre le plan Valneva vu que ce n’est pas de l’ARNm. Mais bon, va falloir fouiller…
Question (logique), si Valvena a sa chance, alors pourquoi ne pas avoir déjà avalisé l’injection Russe ? Ne serait-ce pas parce qu’il y a « quelque chose » (pas spécialement bon pour les piqués, doux euphémisme) dans la composition qui ne peut venir que de l’occident ?