Discréditer Didier Raoult est devenu une sorte d'obsession des pouvoirs publics. Alors que, partout dans le monde, le recours à la chloroquine est décrété en urgence, la France s'obstine à discréditer l'un de ses meilleurs chercheurs, avec l'air de ne pas y toucher si caractéristique des hauts fonctionnaires français. Mais qui a compris que ce choix officialiserait la mise à mort de dizaines de patients ?
Discréditer Didier Raoult est devenu une espèce de sport collectif pratiqué dans les élites parisiennes. Imagine-t-on pouvoir faire confiance à quelqu’un qui s’appelle Raoult, qui a les cheveux longs et qui vit à Marseille ? Il ne manque plus que quelques tatouages sur le torse pour justifier son bannissement définitif. Et le fait que l’impétrant ne comprenne pas de lui-même qu’il doive s’effacer devant les autorités mandarinales installées à Paris est déjà l’aveu de ses faiblesses intellectuelles.
Alors qu’une certaine presse, service public en tête, mène une campagne de mise en garde contre le médicament de ce Raoult que tous ceux qui ont voyagé en Afrique ont pris pendant des années sans s’apercevoir qu’il était dangereux, l’ANSM (l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament) a publié un communiqué fielleux qui cherche à réduire encore le recours à ce médicament pourtant autorisé de façon déjà très limitée par un décret récent.
On comprend bien la préoccupation de l’oligarchie parisienne : conserver le contrôle de la situation et décider sans trublion ce qui est bon ou mauvais pour la population.
Les arguments de précaution ne tiennent pas la route
Bien entendu, les représentants de cette aristocratie sanitaire qui a mis l’hôpital public en coupe réglée depuis une dizaine d’années (en déplorant inlassablement son manque de moyens tout en profitant des largesses des laboratoires privés) vous jureront leurs grands dieux que tout cela est faux. Mais non ! ils n’ont rien contre Didier Raoult. Au contraire, ils l’aiment. Affirmer le contraire relève du complotisme, voire de l’antisémitisme.
Simplement, les élites veulent le bien du peuple et préserver la rigueur scientifique à laquelle un pays évolué comme la France se doit. Que nous soyons dans une situation exceptionnelle ne semble guère les soucier. On dément l’adage : à la guerre comme à la guerre. On adapte le “à la guerre, comme à la paix”. On respecte au milieu de l’épidémie les protocoles qui s’appliquent en temps normal.
Que la chloroquine ait été testée de très longue date et ne soit pas un médicament nouveau importe peu. Ceux qui n’ont pas pensé acheter des masques et des respirateurs en temps voulu se font, sur la seule question de la chloroquine, plus royalistes que le roi. Mieux vaut qu’un patient atteint du coronavirus meure du coronavirus plutôt que de la chloroquine.
L’essai clinique Discovery tuera des milliers de patients
Ce que cachent tous ces bien-pensants qui se réfugient derrière la moralité des procédures pour expliquer comment ils protègent le petit peuple contre le fou furieux Raoult (pour reprendre l’expression fleurie de l’équipe Macron), c’est l’immoralité profonde de leur solution. Car tous expliquent (et c’est encore le propos de l’ANSM aujourd’hui) que l’essai clinique Discovery doit permettre de trouver de façon rigoureuse le médicament qui va bien pour vaincre le coronavirus. Mais personne ne dit combien de patients vont mourir de cet essai clinique.
Pour le saisir, il faut lire l’excellente interview du professeur Perronne, qui dirige le service d’infectiologie de l’hôpital de Garches.
J’ai refusé d’y participer car cette étude prévoit un groupe de patients sévèrement atteints qui ne seront traités que symptomatiquement et serviront de témoins-contrôles face à quatre autres groupes qui recevront des antiviraux. Ce n’est pas éthiquement acceptable à mes yeux. On pouvait parfaitement, dans la situation où nous sommes, évaluer ces traitements en appliquant un protocole différent.
Voilà un médecin qui a refusé l’essai Discovery dont les élites se gargarisent, parce qu’il prévoit de laisser mourir les patients qui seront soignés au placebo.
Il n’est pas sûr que tous les bien-pensants, tous les défenseurs de la rigueur scientifique et de la rationalité, aient bien compris qu’ils auraient, dans quelques semaines, des dizaines de morts sur la conscience.
Et pourtant, il est possible de faire autrement.
Vous êtes exposé au coronavirus du fait de l’inaction de l’État (pas de masques, de protections, de tests, de médicament, etc.) ?
Laissez votre témoignage détaillé sur le groupe Facebook #RendezVousAuProcès. Et préparez une action de groupe avec nous.
Décidément la France cumule l’ignorance et l’incompétence .
Gouverner c’est prévoir !
Ce gouvernement a du mal, à être à la hauteur des enjeux.
Comédien, bon parleur, le Président donne le ton, pour rouler son peuple , en accord avec les TV et radios, bien frileuses….
ce n’est pas le gouvernement qui n’est pas à la hauteur des enjeux mais bien ces ponctionnaires qui ponctionnent depuis des années sans aucun résultat et je ne suis en aucun cas pro macron mais j’aime bien la justice
Pas sûr qu’une action de groupe sur Facebook soit la réponse la plus appropriée.
Des saisines collectives des plus hautes instances du droit constitutionnel et administratif avec le bagage maintenant conséquent de tous les griefs de ce type (ainsi qu’une bonne part sur les conflits d’intérêts), que les citoyens peuvent exprimer à l’encontre du gouvernement seraient comment dire, …..plus gauloises.
La réaction de ce bon médecin est plus émotionnelle que raisonnée. Il suppose que les 4 traitements sont efficaces. Or d’autres essais semblent avoir montré que les 2 antiviraux anti VIH ne sont pas efficaces. Par conséquent, aurait-il donné des médicaments inefficaces, équivalents à un placebo, si on n’avait pas comparé cela à un placebo? Il y aurait eu autant de morts qu’avec le traitement actuel, à savoir aucun traitement. Le Pr Raoult aurait pu déjà faire un essai comparatif pilote bien fait pour clouer le bec à tout le monde, mais il a voulu jouer le chevalier blanc. Personne n’est propre dans cette affaire, toujours en raison de personnes et tout le monde en oublie la médecine, à la fois humaine et scientifique.
les grands branleurs des hopitaux nous clouent le bec par leur nullité. La chloroquine est un médicaments qui peut sauver des vies mais les médecins ne veulent pas sauver les vies , ils veulent sauver leur égo !!! grands bandits assassins !! Heureusement que Perronne qui est très connu pour pourfendre ces grands branleurs des hopitaux pour ce qui concerne la maladie de Lyme a refusé ce protocole. Que le personnel soignant des hopitaux soient des grands branleurs je l’ai vu de mes propres yeux avec ma fille qui a la maladie de Lyme : rentiers incompétents, inutiles ils ne savent même pas que Lyme c’est aussi neuro !!!
L’étude randomisée a déjà été faite en Chine et a prouvé l’efficacité de l’hydroxychloroquine.
Les Big Pharma n’ont pas voulu en tenir compte pour mettre en avant leurs traitements hors de prix et inefficaces.
D’ailleurs l’un des laboratoires à l’œuvre dans cette affaire (Gilead) a vu ses valeurs boursières grimper vertigineusement en pleine crise sanitaire.