Laurent Aventin – Consultant indépendant en Santé publique, PhD – revient sur l’intervention remarquée et récente du généticien Christian Vélot sur Cnews affirmant que le sars-cov 2 se recombine en raison des vaccins. Le consultant en santé public va dans le même sens en apportant, cette fois, des arguments épidémiologiques.
Christian Vélot, maître de conférence en génétique moléculaire à l’université Paris-Sud et directeur scientifique du comité scientifique du Comité de recherche de l’information indépendante du génie génétique (CRIIGEN), intervenait début décembre 2021 sur Cnews au sujet du vaccin génétique contre la Covid. Le généticien prévient qu’il pourrait créer des virus recombinants bien plus graves que ce qui circule actuellement. Les autorités seraient alors responsables[1].
Il n’est pas le seul à affirmer que les variants seraient créés par les vaccins contre la COVID. Dès avril 2021, je développais notamment – à partir des études scientifiques disponibles – une hypothèse similaire basée sur des arguments non pas génétiques mais épidémiologiques :
« … L’essai clinique d’Astrazeneca réalisé au Royaume-Uni, en Afrique du Sud et au Brésil coïncide précisément aux 3 pays dont sont issus les premiers nouveaux variants considérés comme plus virulents et plus transmissibles que les autres souches[2]. Il est par ailleurs étonnant qu’aucun lien n’ait été officiellement évoqué sur cette ‘coïncidence’, les autorités sanitaires de ces pays, le laboratoire Astrazeneca et l’OMS auraient dû investiguer l’hypothèse d’un lien de cause à effet entre les essais vaccinaux [début 2020] et l’apparition des variants [variants dominants apparus après les essais vaccinaux dans les pays où ils ont été réalisés].
Pourtant, les variants auraient pu surgir dans d’autres pays, il y a 197 Etats dans le monde même s’ils n’ont pas tous la même capacité technique de les identifier. Les essais vaccinaux ont été réalisés dans des pays ou le coronavirus était largement présent, pays dans lesquels l’apparition des variants est aussi la plus probable. C’est le cas plus récemment avec le variant indien. Cependant, les essais cliniques de vaccination d’Astrazenecca se déroulaient à grande échelle sur ces territoires, en même temps d’ailleurs que d’autres essais anti-COVID impliquant d’autres candidats-vaccins. Une enquête épidémiologique et biologique aurait pu permettre de rechercher des liens de cause à effet dans ces pays où l’épidémie s’est développée plus fortement qu’ailleurs. Aux Etats Unis, pays fortement touché par l’épidémie, deux variants californiens ont été classés en 2021 plus contagieux que le virus historique[3].
En France, la campagne de vaccination commence après Noël 2020, un variant breton est signalé officiellement par la direction générale de la Santé le 15 mars 2021. En revanche, un variant marseillais serait apparu avant la campagne de vaccination, soit en juillet 2020. Ces variants font l’objet d’une surveillance particulière mais les annonces du ministre de la Santé sur le variant breton consistant à annoncer qu’il n’est ni plus grave ni plus transmissible que le virus historique[4] est sans fondement, d’autant que les 8 cas découverts à Lannion sont décédés et que l’Agence régionale santé de la Bretagne indiquait que l’un de ces 8 cas était vacciné contre la COVID. Cependant, officiellement, le lien de cause à effet entre le variant breton et les décès n’aurait pas été démontré.
Les campagnes de vaccination ont pendant ce temps fait l’objet d’une accélération massive, y compris avec l’usage du vaccin d’Oxford (Astrazenecca), Olivier Véran confirmant que le risque-bénéfice est toujours en faveur de la vaccination de masse face aux thromboses[5] provoquées par ce vaccin.
Est-ce que la vaccination pourrait être à l’origine de l’apparition des variants ? C’est ce que dénonce le spécialiste des vaccins et virologue Geert Vanden Bossche – sans effet sur la communauté internationale et l’OMS qui ne partagent pas son analyse – en évoquant l’échappement immunitaire provoqué par les campagnes de vaccination massives[6] ».
A l’heure où le nouveau variant Omicron est l’occasion pour le gouvernement de durcir davantage l’oppression exercée sur les non vaccinés – incluant ceux qui ne se plieraient pas aux rappels vaccinaux et perdraient ainsi leur passe sanitaire – les populations prennent conscience qu’elles ne retrouveront jamais leur vie d’avant.
C’est d’autant plus vrai que les décisions politiques sont déconnectées des réalités sanitaires. Omicron – en provenance d’Afrique du Sud – fait, en France, la Une des médias ; ravive la peur et incite à la vaccination jusqu’à saturer les centres de vaccination jusqu’en février 2022. Il serait pourtant sans gravité. La présidente de l’association des médecins sud-africains, le Dr Angélique Coetzee, a tenu à rassurer l’opinion publique internationale en précisant que les personnes infectées en Afrique du Sud par ce variant ne sont pas gravement malades[7].
[1] https://www.breizh-info.com/2021/12/03/175596/covid-19-christian-velot-geneticien-moleculaire-les-vaccins-genetiques-favorisent-lapparition-de-virus-recombinants/
[2] Challen R et al. Risk of mortality in patients infected with SARS-coV-2 variant of concern 202012/1: matched cohort study. The British Medical Journal, 10 March 2021; 372: n579
[3] Cherki M. COVID-19 : dangerosité accrue pour deux variants californiens. Le Figaro, le 18.03.2021.
[4] Sénéchal J. COVID-19 : cinq questions sur le variant breton. Le Figaro, 16 mars 2021.
[5] Berthelier A. Vaccins Astrazeneca: Le message de Véran après 1500 rendez-vous non honorés dans le Nord. www.huffingtonpost.fr. 5 avril 2021,
[6] Aventin L. La vaccination en question, Covid 19 : faut-il se faire vacciner ? Liberté Politique, avril 2021, 130 p.
https://libertepolitique.com/Slider-Home/La-vaccination-en-question-notre-dernier-ouvrage
[7] Depauw PA. L’association des médecins sud-africains souligne que le variant Omicron est sans gravité. www.medias-presse.info. 29 novembre 2021.
On soupçonne -on accuse- le laboratoire de Wuhan d’avoir créé un virus très contagieux qui se serait échappé.
Mais les injections massives de produits expérimentaux ressemblent beaucoup à un laboratoire mondial à ciel ouvert d’expérimentations de virus, et les cobayes ne sont pas des souris mais des hommes, y compris des enfants.
Ces produits présentés comme des vaccins fabriquent des variants à grande échelle, toujours plus contagieux; cette contagiosité est utilisée pour poursuivre et renforcer les mesures liberticides et tyranniques.
Ces variant justifient plus d’injections, des mêmes produits ou de nouveaux, fabriquant d’autres variants. Cercle vicieux potentiellement infini, tant que les peuples accepteront de se soumettre.
Le pass sanitaire se recombine également. Il va devenir le pass numérique européen.
Il conviendrait de s’interroger sur ce qu’est réellement la “communauté internationale”. Expression utilisée également dans d’autres domaines (la géopolitique.. ).
Et se demander pourquoi cette communauté, visiblement chapeautée par des instances supranationales, se révèle être dans l’erreur et le mensonge, après avoir provoqué d’immenses dégâts.
Pour compléter cet article, on peut écouter l’entretien de Christian Vèlot à France soir
https://www.francesoir.fr/videos-lentretien-essentiel/ne-faisons-pas-un-remede-pire-que-le-mal-entretien-essentiel-avec
Aujourd’hui, on commence seulement a remarquer, grâce aux relevés de l’institut John Hopkins, que les pays vaccinolâtres sont ceux qui ont le taux d’incidence le plus élevé. Et évidemment, ce sont des variants qui circulent, comme le montre le dernier entretien du Pr Raoult.
je suis absolument d’accord avec ce qui est dit. C’est pourquoi si, comme cela semble être le cas , le variant Omicron est inoffensif au point de n’occasionner aucune forme grave ni aucun décès – ce qui reste à confirmer – alors il faudra suspendre la campagne de vaccination et profiter de l’immunité naturelle de ce variant.
Toutefois, je remarque que l’industrie pharmaceutique n’entend pas renoncer au pactole vaccinale et met en oeuvre son discours vantant les mérites d’une troisième dose qui multiplierait par 25 les défenses immunitaires et protégerait donc d’Omicron. Idem côté autorités et tout faire pour éradiquer la population témoin des non-vaccinés.
Ainsi pourra-t-on vanter les mérites de la vaccination qui aura vaincu un Omicron pourtant inoffensif mais en prenant le risque d’engendrer un variant plus pathogène. Et rebelote…4ème dose…
Tous ces points sont développés sur mon site
https://pascaldubelle.wordpress.com/
” Christian Vélot, maître de conférence en génétique moléculaire ”
Sûrement un complotiste de plus à qui il faut couper le micro, car le conseil
scientifique, les médias et Macron n’en ont cure, il faut la piquouse à tout prix !!
Libération le 28 Juin 2020 :
“Sans attendre les résultats des essais cliniques en cours, un laboratoire indien veut produire à la fin de l’été 50 millions de doses de sérum par mois. Tout le pays s’adapte pour suivre la cadence. Le 3 juin, une entreprise indienne peu connue du grand public a entamé un processus qui pourrait bientôt délivrer le monde : elle a commencé la production d’un vaccin potentiel contre le Covid-19. Celui-ci, appelé AZD1222, est développé par des chercheurs de l’université anglaise d’Oxford, en partenariat avec le laboratoire britannique AstraZeneca. Les essais cliniques ne devraient se conclure que dans plusieurs mois, mais cette société indienne, Serum Institute of India (SII), a décidé de commencer dès à présent la production : «Nous devons prendre ce risque en ces temps de crise, sinon nous prendrons un an de retard et cela serait dramatique», confie à Libération le PDG de l’entreprise, Adar Poonawalla. SII est en train d’affiner le processus et produira quelques milliers de doses tests pendant les prochaines semaines, qui ne seront pas vendues. Et espère produire «50 millions de doses par mois à partir d’août ou septembre». Puis un milliard par an si le vaccin est efficace. https://www.liberation.fr/planete/2020/06/28/vaccin-l-inde-veut-aller-plus-vite-que-le-covid_1792657/
Apparition du variant Delta en Inde :
“Dans le cas du variant Delta sur lequel vous vous interrogez, la réponse est indubitable: “Il est apparu avant le vaccin”, a rappelé jeudi matin sur RMC le Pr Alain Fischer, président du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, qui conseille le gouvernement sur la question. En effet, ce variant présentant la mutation L452R de la protéine S a été détecté pour la première fois en Inde en octobre 2020, bien avant le lancement de la campagne de vaccination deux mois plus tard. ”
https://www.nicematin.com/emploi/lapparition-du-variant-delta-est-elle-vraiment-due-aux-vaccins-703666
Information du gouvernement le 25 Juin 2021
Des nouveaux essais cliniques viennent d’être lancés en Afrique du Sud pour un vaccin qui devrait être plus efficace contre les variants actuels et futurs du COVID-19. Les essais sont réalisés par l’entreprise américaine ImmunityBio en partenariat avec l’Université du Cap. De nombreux autres vaccins contre le COVID-19 ont été testé en Afrique du Sud comme ceux développé par AstraZeneca, Novamax et Johnson & Johnson tous en collaboration avec des universités locales.
En effet, le pays a su se rendre propice aux essais cliniques grâce à des efforts règlementaires pour faciliter les autorisations, un coût de ses essais plus faibles que dans d’autres pays et aussi une excellence du milieu universitaire et de la recherche. Un nombre non négligeable de personnes a pu être vacciné grâce aux essais cliniques. La phase I de test d’ImmunityBio va commencer au Cap et devrait prouver que ce vaccin est plus robuste. Contrairement à la plupart des vaccins, celui-ci ne s’attaque pas seulement à la protéine Spike mais à une autre protéine, ce qui devrait lui permettre une meilleure efficacité et durabilité. D’autres tests sont aussi à l’étude en lien avec la voie d’administration (injection sous la peau, injection nasale et liquide sous la langue) et l’influence sur l’efficacité
https://www.businessfrance.fr/afrique-du-sud-le-pays-comme-hub-pour-les-essais-cliniques-des-vaccins-contre-le-covid-19
D’où vient le variant Omicron ? D’Afrique du Sud.
Conclusion : Les variants apparaissent là où l’industrie médicale fait ses essais des futurs vaccins
Un “vaccin” que l’on doit s’injecter tous les 6 à 9 mois n’est pas un réel vaccin, et n’a aucune chance d’éradiquer la maladie. Ce n’est qu’un simple traitement endocrinologique qui donne des ordres de production proteique S aux cellules du corps.
Un perturbateur endocrinien de plus. Comme les victimes du corona covid sont justement les personnes fragiles et sensibles aux perturbateurs endocriniens, obèses et déprimés, il n’y a aucune raison sérieuse de généraliser cette prescription à toute la population qui est par nature immunisée selon la tranche d’age, entre 60% pour les vieux et 100% pour les enfants.
Cette aventure Covid montre que la science officielle est entièrement passé sous contrôle de big pharma. Elle est devenue superstition manipulée par un pouvoir complotiste mondialisé.