Alice Coffin, conseillère de Paris bourreau de Christophe Girard, est dĂ©sormais bien connue pour son hymne simpliste en faveur des lesbiennes et en dĂ©faveur des hommes. Elle vient de perdre un job qu’on ne lui connaissait pas : enseignante Ă l’Institut Catholique de Paris, repaire des cathos de gauche, qui l’employaient depuis 8 ans. Comme quoi, on peut critiquer l’ordre ancestral et en tirer sa subsistance. Une fois de plus, l’hypocrisie des donneurs de leçon est Ă la manoeuvre.Â
Alice Coffin, la chantre des lesbiennes parisiennes, est dĂ©sormais bien connue pour ses Ă©carts sur la domination masculine. Son activisme sans limite lui a permis d’avoir la peau de Christophe Girard, emblĂ©matique adjoint Ă la Culture. Et l’on dĂ©couvre qu’elle vient de perdre son autre job : professeur vacataire Ă l’Institut Catholique de Paris, fief des catholiques de gauche bon teint parisiens. Pas si dĂ©sagrĂ©able que ça, finalement, l’ordre patriarcal…
La chantre des lesbiennes veut Ă©liminer les hommes…
Alice Coffin s’est dĂ©jĂ illustrĂ©e par de nombreux exploits, quoiqu’elle soit Ă©lue depuis peu de temps Ă Paris. Elle a notamment obtenu la tĂŞte de Christophe Girard, et elle a, dans la foulĂ©e, publiĂ© un livre chez Grasset intitulĂ© le GĂ©nie lesbien.Â
Ce livre dĂ©fraie la chronique par la haine des hommes qui l’inspire. Beaucoup ont fait mine de dĂ©couvrir les positions de cette activiste. Nous reproduisons ici les images d’un dĂ©bat auquel elle participait en 2018, sur la chaĂ®ne RT, qui donne un bon aperçu de son extrĂ©misme dĂ©bridĂ©.Â
Dans son ouvrage paru chez Grasset, elle n’hĂ©site pas Ă Ă©crire : “Dans la guerre des sexes, l’oppresseur ne se montre pas comme un guerrier. Il ne dit pas « je suis en guerre contre les femmes ». Il tue, viole, frappe, mais je dit jamais que c’est une guerre, un combat, une lutte et une mise Ă mort.”Â
On ajoutera de façon très rĂ©vĂ©latrice, comme le montre l’extrait du dĂ©bat ci-dessous, qu’Alice Coffin ne s’est pas gĂŞnĂ©e, en 2018, pour dĂ©noncer l’importance accordĂ©e Ă l’Ă©glise catholique dans les mĂ©dias, reprochant Ă la chaĂ®ne qui l’invitait d’ouvrir son journal par les propos des Ă©vĂŞques sur la question de la PMA.Â
La chantre des lesbiennes était nourrie par les cathos
Oh ! stupeur ! On dĂ©couvre dans la presse que l’Institut Catholique de Paris stipendiait depuis 8 ans la dĂ©nommĂ©e Alice Coffin, grande militante de la cause anti-catholique, et grande dĂ©fenseuse de la PMA pour les couples lesbiens. Pas dĂ©gonflĂ©e la nĂ©nette ! Face Ă sa haine des hommes, l’Institut a dĂ©cidĂ© de ne pas lui renouveler sa vacation, sans lui donner de motif comme la loi le permet. En attendant, on comprend que, depuis huit ans, l’une des plus grandes ennemies de la doctrine catholique mangeait avec l’argent des cathos et enseignait mĂŞme dans leur universitĂ©.Â
Les bras nous en tombent !
La tartufferie, valeur fondamentaleÂ
On Ă©pinglera donc volontiers Ă la fois Alice Coffin et l’Institut Catholique de Paris. La première, parce que vivre ostensiblement de l’argent de gens qu’on dĂ©nonce Ă longueur de journĂ©e, cela donne une splendide image de l’hypocrisie dont les milieux LGBT sont capables : toujours prĂŞts Ă dĂ©noncer… et Ă profiter de ceux qu’on dĂ©nonce.Â
On Ă©pinglera aussi l’Institut Catholique de Paris, qui a nourri pendant 8 ans un serpent Ă sonnettes en son sein. Mais pourquoi les catholiques de gauche ont-ils toujours besoin de donner Ă manger Ă ceux qui les combattent ?
Effectivement, ces cathos de gauche nourrissent leurs ennemis. Ils sont probablement plus de gauche que cathos,
Les “cathos” de gauche, c’est Satan au coeur de l’Eglise : la foi dans le Christ remplacĂ©e par la religion droit-de-lhommiste. Ils ne sont pas ennemis des LGBT, bien au contraire. C’est en termes thĂ©ologiques qu’il faut analyser cette situation.
Nota : Coffin est un serpent Ă sornettes.
Et Bien ,sans vergogne ,cachetonnée , sous les cornettes !!