Plusieurs laboratoires ont sollicité l’aide de l’Etat ces derniers mois pour accélérer leurs recherches de médicaments français efficaces contre le coronavirus. En vain… Voici un passage en revue des molécules qui pourraient faire de la recherche française une championne mondiale. Mais cette ambition ne semble pas partagée par la bureaucratie sanitaire
Des médicaments français efficaces contre le coronavirus ? L’idée est très loin d’être utopique, et nous ne parlons pas ici de l’hydroxychloroquine du désormais très célèbre Didier Raoult, victime d’un impressionnant tir de barrage des pouvoirs publics (on se souvient de l’empressement qu’Olivier Véran a mis à interdire l’usage de cette solution aux médecins de ville). On parle d’autres médicaments, encore confidentiels, que l’Etat (sans doute à cause de la passivité de la bureaucratie sanitaire) a refusé de soutenir, obnubilé par la recherche d’un vaccin. En voici la liste.
Médicaments français : l’Ivermectine
L’une des molécules les plus prometteuses est actuellement poussée par un laboratoire montpelliérain. Il s’agit de l’Ivermectine, que des chercheurs australiens ont identifiée comme efficace contre le coronavirus.
Le laboratoire Medincell dispose de solutions d’injection d’Ivermectine à action prolongée. Son objectif est de mettre sur le marché un médicament qui soignerait le coronavirus en 2021. Mais… bizarrerie, c’est avec le soutien financier de la Fondation Gates que le laboratoire travaille. Fin septembre, le laboratoire était à la recherche d’autres partenariats pour accélérer le développement de sa production. Sans l’aide de l’Etat, semble-t-il.
Médicaments français : le Clofoctol
Autre désintérêt de l’Etat pour les médicaments français qui pourraient soigner le coronavirus : la très grande solitude de l’Institut Pasteur de Lille dans ses recherches pourtant prometteuses sur le Clofoctol. Cette molécule a été identifiée par l’entité lilloise du géant français avec l’aide d’une start-up locale : Apteeus.
Est-ce parce que l’Institut Pasteur est centré sur les vaccins que sa filiale du Nord ne reçoit aucun soutien pour exploiter le Clofoctol, par ailleurs peu coûteux ? Toujours est-il que c’est avec l’aide de Bernard Arnault et non celle de l’Etat que la laboratoire travaille pour développer sa solution.
Médicaments français : l’Interferon
La solution de l’Interferon est née au CHU d’Amiens, en avril 2020, à l’instigation d’un pharmacien de l’hôpital, le docteur Marty. L’interféron est une protéine de la famille des cytokines, naturellement synthétisée par l’organisme pour, notamment, se défendre contre les virus. Disponible en pharmacie par injection, il est utilisé comme médicament contre certains cancers ou l’hépatite B, par exemple. Marty proposait de l’administrer par aérosol, ce qui supposait un investissement pour l’adapter. Il manquait alors 100.000€ pour y arriver : une somme ridiculement basse.
Finalement, même la région Hauts-de-France, présidée par le brillant futur candidat républicain Xavier Bertrand aux présidentielles a tardé à apporter les fonds nécessaires à cette opération. L’Etat n’a évidemment pas bougé.
Le remake des tests salivaires
Rappelons que nous avons déjà pointé l’inaction criante de l’Etat sur la question des tests. La stratégie française a été celle du « tout PCR » dont les producteurs sont soigneusement tenus secrets (les pouvoirs publics ne publient pas la liste des laboratoires qui ont bénéficié d’une autorisation de mise sur le marché). Concurremment, la bureaucratie sanitaire a tout fait pour retarder au maximum l’arrivée de tests plus souples et plus simples à analyser.
Pourquoi ? le mystère reste entier.
La réponse se trouve dans le mot « stock » très important de vieux…
Mot/phrase utilisé par Macron lors d’une des réunions « éducatives » qui ont suivi le mouvement des gilets jaunes.
Bien à vous
oui Stock de vieux. Serions nous en déstockage de maladie chronique dont la viellesse?
et à quelles fins,
cela pose quand meme la question du génocide en marche programmé et appliqué. Comment pouvons nous laisser cela s’opérer sans broncher. nous sommes effares de tant d’immobilisme et de silence .
la médecine française ne tient pas ses engagements. Dr Maryse Sanguinet Tonnerre
J’ajouterai que l’utilisation de cette expression technocratique et déshumanisante participe de beaucoup à la méfiance instinctive des gens envers nos élites.
Elle démontre, à contrario, que les mesures prises pour « sauver » des vies sont des leurres qui cachent les vrais objectifs de ces élites
L’utilisation du ritrovil en est la démonstration frappante.
Honte à l’état français de faire barrage de façon systématique aux médicaments prometteurs et encore confidentiels, et qui sont en passe de combattre le coronavirus, qui est obnubilé par la recherche d’un vaccin…!!!
C’est une nouvelle affaire de catastrophe sanitaire, du genre de celle du sang contaminé, utilisé volontairement et massivement contre des innocents, dont la grosse majorité sont décédés dans les années qui sont suivi le début de cette affaire, entre autres !!!
Cela prouve que les politiques ne pensent qu’à leur sécurité et leur bien être au lieu d’assumer les tâches qui leur incombent et pour lesquelles ils ont été élus…! Malheureusement, il n’en est rien…Et après, qu’on ne s’étonne pas si le peuple s’insurge contre eux !!!
regardez aussi les molécules françaises comme le masitinib test aux usa et rapidement résultats in vitro, éradique le virus et empêche sa reproduction, communiqués à la chambre des représentants le 11 sept par le Pr Glenn Randall de l’université de Chicago !
Sachez que c’est depuis des décennies que les médicaments qui ne rapportent pas sont éliminés. Pendant mes études déjà ceux qui; tout en étant très efficaces, l’ont été. Les labos et la politique économique à tout crin ont été retiré du codex et « améliorés » avec de la chimie. Aujourd’hui, alors que les relocalisations sont prônées, certains principes actifs sont introuvables ailleurs qu’en Chine et en Inde et nous sommes en rupture de beaucoup que nous sommes obligés de continuer d’acheter dans ces pays. On comprend pourquoi; malgré la « pandémie » passée, la Chine s’est remise parfaitement des retards et prend la tête du rebond économique avec déjà 2% de croissance alors que nous sommes à -10%.