Côté circulation du virus, il semblerait que le plus dur soit passé. Plusieurs indices positifs montrent que la remontée épidémique de la deuxième quinzaine de janvier semble en voie de se calmer, et plusieurs chiffres sont désormais très encourageants. Ces éléments devraient rendre très compliqués la décision de procéder à un nouveau déconfinement.
La circulation de virus semble se ralentir de façon sérieuse depuis plusieurs semaines désormais. Et, selon toute vraisemblance, ce ralentissement en cours depuis près de 3 semaines commence à produire de véritables effets sur les hospitalisations.
La circulation du virus dans les eaux usées à son niveau de mai
Premier signe encourageant : en Ile-de-France, la présence du virus dans les eaux usées est équivalent au niveau atteint au début du mois de mai 2020, rattrapé début septembre. Il est encore un peu trop tôt pour crier victoire, car des remontées brutales sont possibles. Mais la tendance enclenchée depuis trois semaines semble d’autant plus solide qu’elle accélère depuis la dernière semaine de janvier. On y verra le signe du couvre-feu avancé à 18 heures.
Il faut toutefois noter que cette tendance ne se vérifie pas partout, notamment à Toulouse. Mais on y verra des signaux encourageants.
Stabilisation voire décrue des réanimations
Autre point positif : les réanimations semblent progressivement marquer le pas après une tendance haussière qui a mis le gouvernement sous pression. La journée de mercredi a, en particulier, connue une diminution du nombre de personnes en réanimation : 3.267 au lieu de 3.270. Certes, il ne s’agit que de 3 personnes de moins. Mais c’est aussi la deuxième baisse en moins de deux semaines, alors que le couvre-feu à 18 heures est en vigueur.
Sur la durée, la courbe des personnes en réanimation semble s’aplatir de façon solide.
Castex devrait confirmer le ralentissement
Dans sa conférence de presse de ce jeudi, Jean Castex devrait confirmer la stabilisation de la situation et surtout insister sur l’importance du télétravail.
Pour l’instant, le gouvernement n’a pas de raison objective de procéder à un confinement. Toutefois, rien ne prouve que le phénomène ne soit dû à une quelconque intervention humaine. Au contraire, comme on le voit, la décrue est entamée depuis le début du mois de janvier pour des raisons inconnues, et malgré la survenue du variant anglais…
Effectivement, cela baisse. Curieuse coïncidence, le réseau Sentinelles n’a toujours pas , comme chaque mercredi , publié ses chiffres de suivi épidémiologique. La tendance était déjà en semaine 03 à la stagnation contrairement aux annonces alarmistes du gouvernement. A surveiller donc.
https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/
Baisse des contaminations de 44% aux USA et de 30% dans le monde . L’OMS n’a pas d’explication
M. Riri attention, vous vous surmenez, cf la manchette : « …Ces éléments devraient rendre très compliquéS la décision de procéder à un nouveau DÉconfinement. ».
Ce qui serait réellement hilarant et accessoirement très utile à nos anciens, ça serait que le connardo-virus disparaîsse corps et biens sans autre forme de procès – notons que ça serait également très utile à ceux qui n’ont pas encore imprimé vis-à-vis des manipulations de masse qui s’exercent sur eux depuis 18 mois et de l’incapacité crasse gouvernementale alliée à une profonde irresponsabilité qui ne peut venir que du mépris que tous ces Jean Foutre nous portent.
Quoique nous annonce ce soir Cachesexe (de Macron), il y aurait moins d’anxiété dans la population, à l’inverse du but poursuivi donc, si, comme en Italie dès avril 2020 les impuissants pouvoirs publics français avaient précisé en pourcentage si un des nombreux virus dit mutants était le seul coupable des morts ou s’il y avait co-morbidité avec « une, deux ou trois ou plus d’autres causes »
Et en prime réaliste, sans aller jusqu’à distinguer les victimes obèses, diabétiques et grosses fumeuses obèses, si on avait différencié les classes d’âges des vrais morts d’un coronavirus (et pas du rivotril et/ou de l’orgueil scientiste de certains médecins), même si c’était toujours des morts à pleurer
Mais au lieu d’inventer un seul chiffre global, il aurait fallu en inventer plusieurs. Fatigant …….et dangereux.
Mince alors les « complotistes » Martine Woenner, Didier Raoult, Christian Perrone, Silvano Trotta et la liste est longue de tous ces gens mis à l’index, vilipendés sur les merdias aux ordres, propagandistes de GOUVERNEMENT, auraient-ils raison au final?
Oui, on a un peu tendance à l’oublier, mais s’il n’y avait pas une décrue puis une fin, ce ne serait pas une épidémie !…
Les plus grands scientifiques ne savent toujours pas pourquoi… mais les épidémies se terminent plus ou moins vite, mais toujours spontanément, comme si les virus ne voulaient pas nous détruire. D’ailleurs ils n’y auraient pas interêt.
Nous, nous pensons strictement l’inverse, il faudrait les exterminer…
Les virus n ont pas besoin de nous détruire…nous le faisons très bien nous même……