L'Organisation Mondiale de la santé a étalé son incompétence pendant la crise du COVID 19: complaisance vis-à-vis des mensonges officiels de la Chine communiste, mots d'ordre successifs contradictoires, soupçons de conflits d'intérêt. Eh bien cela n'empêche pas la France de prévoir de multiplier par huit sa contribution à l'organisation internationale, contre tous les principes de la saine gestion des deniers publics.
On avait déjà reproché à l’Organisation Mondiale de la Santé d’avoir sous-estimé, début 2020, l’ampleur de la pandémie de COVID 19 pour ne pas déplaire au gouvernement chinois, peu désireux que l’on regarde de près la catastrophique gestion de l’épidémie en Chine, entre octobre 2019 et janvier 2020. Un an plus tard, l’OMS a récidivé en acceptant de publier un rapport sur les origines du COVID 19 pour lequel les experts de l’organisations internationale qui se sont rendu à Wuhan ont été complètement cornaqués par des officiels chinois. Il s’agissait de mettre dans un texte officiel mondialement diffusé que l’origine du virus était bien advenue dans une transmission animal/être humain.
L’OMS défend la thèse officielle chinoise sur l’origine non accidentelle du virus
Pourtant, de plus en plus nombreux, des spécialistes du renseignement et des médecins arrivent à la conclusion qu’un accident de laboratoire a eu lieu. On lira en particulier le remarquable ouvrage du professeur de médecine Joseph Tritto, qui explique comment l’armée s’étant intéressée au programme civil de création de vaccin contre les coronavirus mené dans le désormais célèbre laboratoire P4 de Wuhan; l’armée chinoise y a vu en effet un potentiel pour le développement d’armes biologiques. Seulement voilà, à partir du moment où trop de personnes travaillent sur des programmes de virus dangereux, des fuites sont possibles. Et c’est précisément ce qui s’est passé à Wuhan à la fin de l’été 2020. Pas question, cependant, pour la Chine, de laisser l’OMS parler de ces choses-là. Le rapport publié le 28 mars 2020 est donc un texte lénifiant, digne de la grande époque de l’Union Soviétique et de ses mensonges sur la scène internationale, colportés par les “idiots utiles” – comme Lénine les appelait – en Occident.
La France a l'intention de contribuer de plus en plus à l'OMS
Devant la complicité entre l’OMS et le Parti Communiste Chinois, Donald Trump avait décidé que les USA cesseraient de contribuer à l’OMS – une mesure annulée par son successeur Joe Biden, connu pour son biais pro-chinois. Emmanuel Macron, lui, n’a pas attendu l’arrivée d’un nouveau président américain. Depuis un an, il ne cesse d’engager plus la France dans l’OMS.
Le budget est partagé entre les contributions fixées pour les Etats membres, qui représentent presque 20% du budget de l’OMS (environ un milliard de dollars), et des contributions volontaires, pour les 80% restants.
Concernant le milliard de contributions fixées, chaque Etat membre verse un pourcentage de la somme totale. Cette part est calculée «en fonction de la fortune et de la population du pays», peut-on lire sur le site internet de l’organisation. Pour le budget 2020-2021 la France est en sixième position (4,4% du budget fixe de l’organisation), derrière les Etats-Unis (22%), le la Chine (12%), le Japon (8,6%), l’Allemagne (6,1%) et le Royaume-Uni (4,6%). C’est-à-dire que la France paye environ 20 millions d’euros.
Cette somme représente peu de choses par rapport aux engagements pris par Emmanuel Macron et le gouvernement français depuis quelques mois.
160 millions d’euros promis par Emmanuel Macron à l’OMS, soit un budget multiplié par huit
- Dès le 11 juin 2019, la France s’était engagée à verser à l’OMS 90 millions d’euros pour l’installation à Lyon de “l’Académie de l’OMS”. Au moment où la compétition mondiale se fait entre universités et où nos institutions académiques sont sous-dotées, on peut vraiment douter de l’opportunité d’une opération qui relève plus de la communication de l’OMS que de programmes de formation sérieux et utiles, c’est-à-dire adaptés aux contextes locaux des apprenants. Comment d’ailleurs contrôlera les coûts de fonctionnement d’une elle aventure.
- Le 11 juin 2020,, la France a annoncé son intention de verser 50 millions supplémentaires à l’OMS au titre de l’initiative pour l’Accélérateur ACT destiné à soutenir la mise au point de tests, de traitements et de vaccins contre le COVID-19 et d’en assurer un accès équitable. On appréciera que notre pays, qui n’a pas été compétitif avec les USA, la Grande-Bretagne, la Russie ou la Chine pour produire des vaccins trouve en revanche de l’argent pour participer à un programme mondial de distribution de vaccins.
- En juin 2020, le gouvernement français, toujours, a communiqué son intention de livrer à l’OMS 100 millions de masques. Non seulement e cela ne manquait pas de piquant vu que notre pays avait été privé de masques durant le gros de la vague épidémique, entre janvier et mai 2020. Mais autant dire que l’on achetait à la Chine une journée de fabrication de masques par ses usines pour ensuite les redistribuer. Il est peu probable que ce sont des masques en tissus Made in France qui seront envoyés. Pour que le lecteur ait un ordre de grandeur: la France dépense environ 800 000 euros pour affréter un transport aérien de5,5 millions masques depuis la Chine Le gouvernement français a donc promis, pour distribuer 100 millions de masques, de doubler, en gros, sa contribution ordinaire annuelle à l’OMS. Ajoutons en effet au transport, l’acquisition des masques et la logistique de leur redistribution, on atteint facilement les 20 millions d’euros.
On se retrouve donc devant un chiffre faramineux: 90 millions pour l’Académie de l’OMS, 50 millions pour l’Accélérateur ACT et 20 millions pour une opération de livraison de masques. Soit 160 millions dépensés en trois claquements de doigts au moment où le pays s’endette pour 115% de son PIB. Et tout cela pour financer une organisation internationale contestée.
Il serait temps que le Parlement français, Assemblée Nationale et Sénat, et la Cour des Comptes, regardent de plus près toutes ces dépenses du gouvernement. Les rapports sur la contribution de la France à des organisations internationales sont trop rares – datant respectivement de 2007, et 2015. Les discussions dans le cadre des lois de finance sont trop contraintes et poussent en général à la dépense.
Oui mais macron ne dépense pas son argent mais celui des autres.
C est une maggie qu il nous faut
N avait elle pas dit ‘ I want my money back’
L’OMS est sa meilleure alliée de dictateur, puisque la crise sanitaire totalement inventée et orchestrée l’a amené avec une comédie grossière à “se ” donner les pleins pouvoirs.
Par ces dépenses actuelles , non essentielles, qu’engage tout seul ce financier/dictateur en notre nom , on réalise une nouvelle fois les lacunes grotesques de notre Constitution qui permet de faire n’importe quoi – la guerre physique et y compris- sans autorisation des représentants du peuple.
Cette Constitution avait été faite par un homme honnête qui avait besoin d’autorité pour redresser un pays en sale état et qui n’imaginait pas qu’un traitre puisse un jour diriger le pays après lui.
????
Le problème c’est surtout que la Constitution de 1958 a été rédigée pour un pays souverain, alors qu’aujourd’hui la France est inféodée à l’UE et à l’OTAN… Il y a aussi les réformes malheureuses comme le quinquennat.
Il y a surtout les réformes qui n’ont pas été faites . Ce n’est pas le quinquennat le problème, c’est surtout le verrouillage qui empêche l’éléphant dans le jeu de quille et de foutre dehors ceux qui se sont plantés une fois, qu’on vire par la port et qu’on retrouve aux conseil constitutionnel ou au CESE (liste non exhaustive bien sur, alors qu’ils devraient pointer à pôle emploi .
Prenons l’exemple de LAURENT FABIUS qui encaisse actuellement 13.300 euros/mois comme tous les membres du Conseil Constitutionnel .
A-t-il une voiture de fonction ? un garde du corps ? des bureaux mis à disposition en tant qu’ancien 1er ministre ? ou tous ces avantages sont-ils assurés par sa fonction actuelle ?
Il a 74 ans et a passé l’âge de chercher un travail . Par contre il a largement l’âge d’encaisser toutes ses retraites cumulées .
Au fait, est-il vacciné ?
Voici les merveilleuses retraites dont il pourrait jouir ( ou dont il jouit ?)
Député de Seine Maritime 1978-1981
Ministre du Budget 1981-1983
Ministre de l’Industrie et de la Recherche 1983-1984
Premier Ministre 1983-1986
Président de l’Assemblée Nationale 1988-1992 + 1997à 2000
Ministre de l’Economie 2000 à 2006 ?
Ministre des Affaires étrangères 2012 à 2014
Il est Président du Conseil d’Etat depuis 2016.
Et pourtant ce poste pourrait sans doute fort justement être assuré par un éminent professeur de droit constitutionnel en ACTIVITÉ
C’est ce qu’on appelle « jeter l’argent par la fenêtre » ! Non ?
Il achète un futur point de chute de Fonctionnaire International non imposable doté d’une immunité juridique totale. Aux frais de l’État français.
En effet, le statut de fonctionnaire international est en titane.