Le 26 novembre, le ministre de l'Education a enjoint aux élèves de 6e de réaliser deux autotests par semaine à compter du 29 novembre pour continuer leur scolarité. Le contrôle social s’attaque, à présent, aux jeunes enfants, dans le but, à peine dissimuler, de les vacciner très prochainement.
1.Le droit à l’éducation sous conditions.
À vouloir empêcher quiconque de mourir de la Covid-19, nous avons infligé à une grande partie de la population, et notamment aux plus jeunes, des mesures iniques.
Nouvelle lubie des VRP pharmaceutique pour lutter contre les contaminations de Covid-19 dans les classes : les élèves de 6e vont devoir faire des autotests chaque semaine.
Chaque enfant aura l’obligation de pratiquer deux autotests toutes les semaines à partir du lundi 29 novembre. Ces tests devront être réalisés en famille.
« Les classes de 6e sont un cas particulier, car les enfants ont moins de 12 ans et ne sont pas vaccinés. Je vous annonce une nouvelle mesure que nous allons prendre : la distribution d’autotests aux élèves de 6e, correspondant à deux autotests par semaine », a précisé M. Blanquer.
« On va donner une boîte de dix autotests valant pour cinq semaines aux élèves de 6e (…). L’éducation nationale fournira ces dix autotests qui sont à réaliser en famille », a-t-il précisé sur France Inter.
Le droit à l’éducation pour tous les enfants quelle que soit leur origine, leur sexe, leur croyance, leurs conditions sociales ou leur état de santé a été consacré par la Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant ainsi que par le préambule de la Constitution de 1946.
On retrouve également ce principe à l’article L. 111-1 du code de l’éducation qui prévoit que l’éducation est un droit pour tous les enfants qui résident sur le territoire national, sans aucune distinction
Aujourd’hui, force est de constater que l’accès à l’école, en France, ne sera plus un droit effectif pour de nombreux enfants.
2.Pression vaccinale par le contrôle social.
Le gouvernement a bien noté que l’Agence européenne des médicaments avait émis un avis favorable à la vaccination des enfants de 5 à 11 ans, dans un avis rendu public jeudi 25 novembre.
Et par le plus grand des hasards (sic), Pfizer a été le premier vaccin a recevoir l’aval des autorités. Le comité d’examen de l’administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments (FDA) a estimé mi-octobre que les vaccins Pfizer-BioNTech présentaient plus d’avantages que de risques pour cette tranche d’âge.
Le dimanche 22 août, Jean-Michel Blanquer lors d’une interview pour le Journal du Dimanche a déclaré : « S’il s’agit de rentrer dans un établissement scolaire, il n’y aura pas de pass, ni pour les élèves, ni pour les parents, ni pour les enseignants. L’école doit rester un lieu accessible. C’est notre philosophie depuis le début de la crise »
Constant dans un narratif de la psychologie inversée, l’exécutif, 3 mois après, impose un contrôle « social » aux élèves de 6e.
Le Gouvernement utilise, une nouvelle fois, la méthode appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.
Dans les faits, le gouvernement créé une contrainte : tester 2x par semaines des enfants de 11 ans, puis apportera la solution en proposant la vaccination dans quelques semaines !
Les enfants sont moins sensibles que les adultes aux infections du SARS-CoV-2 et la létalité quasiment nulle et la vaccination de personnes ne permet pas de bloquer la transmission potentielle du virus à d’autres individus, comme cela a été démontré par des études récentes. Autrement dit, la vaccination n’empêche pas la transmission du virus.
Pourtant Véran et sa clique s’apprêtent à lancer, sans base scientifique, une vaccination de masse chez les enfants, sans se soucier des risques potentiels.
Qui va assumer la responsabilité juridique dans l’hypothèse d’une catastrophe sanitaire (comme celle du sang contaminé) apparaissant dix, quinze ou vingt ans après l’inoculation d’un vaccin en phase 3 ?
Pour l’heure personne ne peut répondre. Mais la question doit être posée.
Je cherche désespérément la confirmation de ce que je pense avoir compris:
Nous sommes d’accord que les 2 autotests hebdomadaires ne concernent QUE les élèves de 6eme?
C’est ce que je comprends en lisant les propos de Blanquer,
Donc,x
Dans une fratrie,l’un est en 4eme( non vacciné) le frère ou la sœur est en 6 ème,
Pour l’aine,le collège ,c’est « open bar »
Pour le cadet,c’est 2 raclages de nez par semaine,
J’ai bien compris ou pas?
Par ailleurs les autotests doivent être RÉALISÉS à la maison mais la SUPERVISION doit être faite au collège….
Au secours! C’est la porte ouverte à toutes les fenêtres du bidouillage auquel l’etre humain a d’autant plus recours que la mesure est absurde????
Bien évidemment,le but derrière tout cela,c’est que le cadet finisse par dire: » papa,maman,j’en ai marre du bâton dans le nez 2 fois par semaine,je veux me faire vacciner…..pour être tranquille «
uniquement du sadisme…
Ministre des Ordures Nationales.
Ce sera niet et ce sera la guerre !
Macron veut la guerre, il l’aura.
Le psychopathe du 55 et son gouvernement sont en train de dépasser allègrement l’abjection du Pétainisme, et il n’y a pas photo.
Le vaccin c’est comme l’Europe, moins ça marche et plus le Gouvernement veut nous l’imposer!Et bien sur, tous les vaccins homologués par l’UE sont américains…
Quand un de ces guignols qu’il ne fera pas, on est assuré du contraire . Donc confinement et couvre feu pour Noël il y aura. garanti sur facture.
Confinement pour Noël alors que l’incidence de la crise sanitaire n’a jamais été aussi basse depuis 18 mois.
Comme le mensonge gouvernemental ne paie plus, changeons le thermomètre, réduisons l’hôpital à néant (50 millions d’€), donnons de l’argent à la PropagandaStaffel (2 milliards d’€) et le nécessaire pour que les milices d’origine incertaine (60 millions d’€) fassent le tri à l’entrée entre les Juifs et les non Juifs (pardon, lapsus, les non vaccinés et les vaccinés) à l’entrée des lieux interdits par la 8ème Ordonnance du 8 juillet 1942 réactualisée.
La France n’arrête pas de tomber plus bas que terre sous la férule de cette engeance néo nazie.
26/11/2021 – La « cinquième vague », nouvel épisode d’un feuilleton qui n’a que trop duré : https://qg.media/2021/11/26/la-cinquieme-vague-nouvel-episode-dun-feuilleton-qui-na-que-trop-dure/
Ah oui, j’oubliais : LA PEURRRRR, LA PPPPPPPEEEEEEEUUUUURRRRR, LA PEURRRRRR !
Ayez peur du Grand Méchant Gourou du 55, AYYYYYYEEEZZZZ PEURRRRR, SOUMMMETTTEZZZ-VVVVVOUSSSS ! BBBBUVEEEEZZZZZ SAAAAA PPPPOTTTTION MAGGGIIIIQQUUEE !
J’ai oublié la chambre d’écho caverneuse mais vous avez compris la méthode sonore des sectes !
« Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir. »
« La clé de notre libération, c’est le refus de participer au mensonge d’État. Qu’importe si le mensonge recouvre tout, si il devient le maître de tout, mais soyons intraitables sur ce point : Que le mensonge d’État ne passe pas par nous ! Lorsque les hommes courageux tournent le dos au mensonge d’État, le mensonge d’État cesse purement et simplement d’exister ! Quand la violence d’État fait irruption dans la vie des gens, son visage exprime l’arrogance. Sur son drapeau est écrit : « Je suis la violence. Soumettez vous, sinon je vous écrase ! » Mais la violence d’État, pour se maintenir, doit faire alliance avec le mensonge d’État. Car la violence d’État ne peut se justifier que par le mensonge d’État et le mensonge d’État ne peut se maintenir que par la violence d’État. » in Lettre aux dirigeants de l’union soviétique et autres textes, 1974
Alexandre Soljenitsyne (1918-2008), écrivain russe et dissident soviétique
« À l’encontre de bien des prévisions, de toutes les espérances, le progrès des arts et des métiers, des Sciences et des techniques n’a pas apporté à l’humanité un progrès intellectuel et moral parallèle, mais lui vaut une régression sensible. Les Lumières, comme on disait au XVIIIe siècle, sont aujourd’hui, en raison inverse des conquêtes de l’électricité. Tout ce qui devait éclairer la conscience de l’homme est employé à mieux tromper, à répandre les préjugés… Et le nombre décroît chaque jour des individus capables de penser par eux-mêmes… »
en 1937
« L’URSS est le pays du mensonge intégral. Staline et ses sujets mentent toujours, à tout instant, en toutes circonstances, et à force de mentir ne savent même plus s’ils mentent. Ils baignent dans une atmosphère saturée de mensonge. Et quand chacun ment, personne ne ment plus en mentant. Là où tout ment, rien ne ment (…) Unique réalité : la terreur qui décompose les esprits et empoisonne les consciences. »
en 1938 in La vie Intellectuelle
Boris Souvarine (1895-1984), militant politique, journaliste, historien et essayiste russe naturalisé français
« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader, un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude. »
« Pour étouffer toute révolte, il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra plus à l’esprit des hommes. On réduira de manière drastique l’éducation. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter…Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. On flattera l’émotionnel en occupant les esprits avec ce qui est futile et ludique en mettant en avant la sexualité… » in extraits, 1939
« Un état totalitaire vraiment efficient serait celui dans lequel le tout-puissant comité exécutif des chefs politiques et de leur armée de directeurs aurait la haute main sur une population d’esclaves qu’il serait inutile de contraindre, parce qu’ils auraient l’amour de leur servitude. La leur faire aimer — telle est la tâche assignée dans les Etats totalitaires d’aujourd’hui aux ministères de la Propagande, aux rédacteurs en chefs des journaux et aux maîtres d’école. »
Aldous Huxley (1894-1963), écrivain britannique plus particulièrement connu du grand public pour son roman Le Meilleur des mondes