La guerre bactériologique a été déclenchée avec la création du Sars-Cov-2 et sa propagation. Elle se poursuit insidieusement avec la vaccination dont beaucoup de gens se demandent encore pourquoi les autorités veulent la rendre obligatoire alors que le vaccin n’est pas efficace et reste toxique. Ce n’est pas une guerre entre nations mais celle de la caste – puissante et arrogante – contre le peuple qu’il veut soumettre et dominer. Une résurgence de l’Egypte ancienne contre le peuple hébreu soumis à l’esclavage ou, plus récemment, le mythe de la race aryenne supérieure aux autres, illustrent le retour d’une idéologie du mal finalement assez banale sur le fond mais innovante sur la forme.
Dans le dernier dossier intitulé « Origines du Covid et armes biologiques » nous approfondissons les investigations dans le domaine de la collaboration entre Big Pharma et le complexe militaire. Voici un autre extrait de ce rapport :
Dans son ouvrage publié en 1998, « Le siècle Biotech », Jeremy Rifkin consacre un sous-chapitre intitulé « Armes génétiques sur mesure ». L’auteur, internationalement reconnu, est économiste, conseiller politique, essayiste et spécialiste des politiques publiques. Loin des sphères complotistes.
« Les recherches actuelles en biotechnologie évoquent les recherches nucléaires des années quarante et cinquante []. Une fois libérés, nombre d’agents pathogènes peuvent occuper certaines niches écologiques et y survivre indéfiniment […] En 1981, il (le Pentagone) lança, au cours des années quatre-vingt, un effort important de recherche et développement. En 1981, le budget consacré à la recherche sur les armes biologiques défensives n’était que de 15,1 millions de dollars ; en 1986 il atteignait 90 millions de dollars. Les différents secteurs des forces armées travaillent sur pratiquement tous les agents pathogènes majeurs : maladies virales exotiques telles que les fièvres hémorragiques … ».
Big Pharma et le secrétaire d’Etat américain à la Défense développent des armes biologiques
Il est intéressant de noter que les recherches en matière de biotechnologie pour développer de nouvelles armes sont en pleine expansion dans les années 90 et qu’il n’y a pas de communication auprès des citoyens qui ignorent tout de ces travaux. Ces derniers ne sont pas tous réalisés dans des laboratoires militaires mais font l’objet de financements du Pentagone à travers le monde auprès de laboratoires publics, l’affaire des 26 laboratoires en Ukraine financés par le Pentagone dans le cadre de recherche d’armes biologiques est un exemple récent et inquiétant. La justification de ces travaux est mensongère alors que les résultats sont ensuite exploités dans le but de créer des armes biologiques de destruction massive.
« En mai 1986, dans un rapport[1] adressé à la commission budgétaire de la Chambre des représentants, le ministère américain de la Défense soulignait que l’ADN recombiné et les autres techniques du génie génétique faisaient enfin des armes biologiques une option militaire réaliste. Les généticiens savent désormais cloner des agents pathogènes traditionnels en quantité autrefois impensables. Ils peuvent aussi créer des agents pathogènes nouveaux […] Grâce à la technique de l’ADN recombiné, il est désormais possible de développer une variété presque infinie de ce que l’on pourrait appeler des agents pathogènes sur mesure. Le rapport du Pentagone conclut que les innovations récentes en matière de génie génétique autorisent l’exploitation rapide des ressources naturelles pour la mise au point d’armements que l’on n’aurait même pas imaginé il y a dix ou quinze ans. En août 1986, Douglas J. Feith, alors secrétaire adjoint à la Défense, soulignait qu’en cas de guerre biologique il était pratiquement impossible de se défendre contre les nouveaux agents pathogènes élaborés par le génie génétique ».
Rifkin nous dit que, déjà au XXème siècle, les biotechnologies permettent de créer des agents pathogènes, ce sont précisément les travaux sur les gains de fonction qui sont financés aux quatre coins du monde et pas seulement par les américains ou le Pentagone (Russie, Chine, pays européens dont la France, etc.). Les termes « gains de fonction » ne sont pas courants dans les années 90 mais Rifkin en donne cependant une définition littérale : « On peut programmer des gènes dans des micro-organismes pathogènes pour accroitre leur virulence, leur résistance aux antibiotiques et leur stabilité dans l’environnement ».
Des charges pathogènes inoculées par les vaccins ?
Il précise même que « l’on peut insérer des gènes mortels dans des microorganismes inoffensifs et obtenir ainsi des agents pathogènes que l’organisme humain perçoit comme anodin et contre lesquels il ne résiste pas ». Nous avions déjà publié un article évoquant la possibilité grâce aux nanotechnologies d’encapsuler des agents pathogènes dans des protéines (« capsules » de graisse) qui peuvent être libérées à terme dans l’organisme des personnes ayant reçu ces inoculations et déclencher des épidémies par onde électromagnétique (voir le dossier de 53p. intitulé « Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés »). Cette mauvaise utilisation des technologies ne relève pas de la science-fiction, elle est techniquement réaliste comme nous l’avons déjà évoqué dans un article intitulé « les nanoréseaux injectés pourraient contenir des charges pathogènes libérées par ondes électromagnétiques » dont voici un extrait :
Des pathogènes sont également cités par l’avocat Todd Callender comme étant contenus dans le vaccin dans une vidéo disponible sur Odysée : « Dans ces injections que les gens ont déjà reçues ; dans les minuscules nanoparticules, l’hydrogel, il y a des pathogènes chimériques qui ne sont pas encore libérés, comme Escherichia coli, le virus Marburg, le virus Ebola, le staphylocoque et la levure de bière, entre autres » . L’avocat explique que lorsqu’ « est diffusé un signal de 18 gigahertz pendant une minute en trois phases différentes, comme une pulsion, les nanoparticules lipidiques gonflent et libèrent leurs contenus pathogènes pouvant provoquer une épidémie de maladie de Marburg ». Difficile de vérifier une telle affirmation même si la libération de molécules par voie d’ondes électromagnétiques est possible comme cela est actuellement le cas pour le traitement de certaines maladies grâce au WBAN ou nanoréseaux sans fil.
Il est tout à fait déconcertant de retrouver des déclarations qui ont presque 25 ans d’écart et qui traitent finalement de la même technologie. Si la création du Sars-Cov-2 en laboratoire laisse de moins en moins de place au doute dans l’opinion publique, peut-on affirmer qu’il ait été volontairement disséminé ? Dans quel but ?
Créer le chaos pour instaurer un gouvernement mondial
Le discours de 2015 d’un ancien premier ministre de Malaisie, le Dr Mahathir Mohamad – je remercie un lecteur de m’avoir indiqué le lien vidéo – résume assez clairement la situation au cours d’une conférence internationale intitulée « Le nouvel ordre mondial : une recette pour la paix ou la guerre » (9 mars 2015, Centre de convention international Putrajaya International) :
La mondialisation et le commerce sans frontières sont utilisés pour établir un gouvernement mondial unique. Essentiellement, il s’agit d’instaurer un gouvernement mondial. Nous devrions abolir tous les Etats, toutes les nations, toutes les frontières pour n’avoir qu’un seul gouvernement mondial […]. Il doit être assuré par certaines personnes : les élites, les gens très riches, très puissants à de nombreux égards. Ce sont eux qui gouverneront le monde, on ne parlait pas beaucoup de démocratie ou de choix des dirigeants. En l’état, il devait y avoir un gouvernement par ces élites qui imposerait leurs règles à tous dans le monde. Et pour ceux qui ne veulent pas se soumettre à eux, il y aura sanction. Et la paix que nous obtiendrons de ceux-ci est la paix du cimetière, parce que l’intention est aussi de réduire le nombre de personnes dans ce monde. Au moment ou le Nouvel ordre mondial a été annoncé, la population de ce monde n’était que de 3 milliards (l’année 1961), l’intention était de la réduire à 1 milliard, maintenant la population du monde est de 7 milliards. Il serait nécessaire de tuer des milliards de personnes, de les faire mourir de faim ou de les empêcher d’enfanter afin de réduire la population mondiale.
Bien sur les médias subventionnés ne se bousculent pas pour relayer l’information. Pour ce qui est de faire mourir les personnes de faim, le processus est en cours. La guerre fait aussi son travail ainsi que la vaccination contre Covid.
Merci au Dr Mahathir Mohamad pour son courage : des « complotistes » parmi les grands de ce monde, ça déstabilise la caste. Avec le temps, les langues devraient davantage se délier.
“.. de gens se demandent encore pourquoi les autorités veulent la rendre obligatoire alors que le vaccin n’est pas efficace et reste toxique.”
Et il est bien là le drame, 2 ans après à se poser encore la question. Personnellement c’est bien avant cette pseudo pandémie que j’étais convaincu de ce qu’il se tramait..
PS:
Voici un copier/coller d’un texte dont je ne sais plus qui ‘désolé pour l’auteur” mais qui donne une réponse on ne peut plus clair à la question :
“.. de gens se demandent encore pourquoi les autorités veulent la rendre obligatoire alors que le vaccin n’est pas efficace et reste toxique.”
“Le constat des Maîtres du Monde
Ceux qui dirigent actuellement le monde considèrent que la planète est surpeuplée. Or cette surpopulation menace leur pouvoir. Plus la population est nombreuse, plus elle risque d’échapper un jour au contrôle de la minorité qui gouverne contre l’intérêt de la majorité.
De plus, les Maîtres du Monde considèrent qu’une majorité de la population est inutile ou non-rentable. La plupart des “citoyens ordinaires” ont une valeur négative pour le système économique.
Par ailleurs, du point de vue des Maitres du Monde, la principale cause de la pollution est la surpopulation. Si les humains étaient 5 fois moins nombreux sur la planète, il y aurait 5 fois moins de pollution. Par ailleurs, plus il y a d’humains sur la planète, et plus se réduit la part de ressources naturelles (eau, nourriture, énergie, matières premières, espace) disponibles pour chaque humain.
Une alternative serait que l’humanité renonce à la société de surconsommation et aux profits qu’elle permet de générer. Pour les Maîtres du Monde, cette solution n’est pas envisageable. Une seconde alternative serait que l’humanité investisse massivement dans des nouvelles énergies et des nouvelles technologies qui dégraderaient moins l’environnement. Mais les énergies alternatives ne parviendront pas à satisfaire entièrement les niveaux de consommation actuels. Enfin cela coûtera cher, et sans réduire le danger d’instabilité sociale.
Les Maîtres du Monde ont donc choisi une autre solution: permettre aux plus favorisés de conserver les avantages d’une société industrielle hautement polluante, mais réduire la pression globale sur l’environnement et les risques d’instabilité sociale en ramenant la population mondiale à 1 milliard d’habitants d’ici le milieu du 21è siècle.
Le contrôle final de l’Energie
L’un des objectifs stratégiques des Maîtres du Monde est de parvenir à un contrôle entièrement automatisé de la production de l’énergie et des ressources, en remplaçant progressivement l’ensemble des salariés par des machines. Le document sur les “armes silencieuses” est très clair à ce sujet:
“Si l’ascension des classes inférieures peut être contenue assez longtemps, l’élite peut parvenir à la dominance de l’énergie, et le peuple, par consentement, ne tiendra plus alors une position de ressource énergétique essentielle.
Jusqu’à ce qu’une telle dominance de l’énergie soit absolument établie, le consentement du peuple à travailler et à laisser les autres prendre en main leurs affaires doit être pris en considération, dans la mesure où un échec en ce domaine amènerait le peuple à interférer dans le transfert final des sources d’énergie au contrôle de l’élite.”
Depuis environ 20 ans, tout a été mis en œuvre pour parvenir une automatisation totale du processus de production. Pour préparer le remplacement de l’homme par les ordinateurs et les robots, les Maîtres du Monde ont décidé de faire converger les façons de travailler de l’homme et de la machine. C’est pourquoi dans les entreprises, on a assisté à une “machinisation” des méthodes de travail, y compris dans le secteur tertiaire. Les salariés ont de moins en moins de marge de décision. Leur travail se limite à suivre des procédures rigides et définies d’avance. Des procédures qui se rapprochent de celles des ordinateurs, afin précisément de faciliter le remplacement des salariés par des machines.
Grâce à la robotisation, à l’informatique, et à l’intelligence artificielle, la production et le transport de l’énergie et des marchandises pourront bientôt être effectués presque entièrement par des systèmes automatiques. Le nombre de personnes réellement nécessaires au bon fonctionnement du système productif est largement inférieur au nombre de salariés actuels. Surtout si la demande globale en ressources est réduite par l’élimination de la population inutile.
La “solution finale”
Une guerre d’élimination contre la population mondiale a donc commencé. Les humains devenus inutiles ne sont pas éliminés dans des camps de concentration, mais en leur supprimant progressivement l’accès à l’espace vital, à la nourriture, à la santé, à l’éducation, à l’information, et à l’énergie. L’envolée des prix alimentaires, la suppression ou la réduction des allocations-chômage, la baisse des retraites, le démantèlement des systèmes d’éducation et de santé publique, et la privatisation du marché de l’électricité sont autant de mesures récentes qui vont dans ce sens.
Les pauvres, les précaires et les exclus sont condamnés à une mort lente et discrète, par la misère, la malnutrition, la maladie, ou le suicide.
La population en excès pourra aussi être éliminée par des épidémies (dissémination délibérée de virus dans l’air, l’eau ou l’alimentation industrielle) et par des guerres.”
Autant que je me souvienne la source vient d’ici : http://www.syti.net/Topics.html
Je suis heureux du développement continu de la presse complotisse en France. Après les zelexions de 2022 qui ont vu la victoire massive de la bande du Davos la conclusion s’impose. Après 40 ans de socialo partout —notamment l’EdNat— Il ne reste plus rien sur quoi s’appuyer. La question devient comment vivre ✴️ à l’écart ✴️ des socialo indéboulonnables.