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« Sans monnaie, demain, sans défense, sans diplomatie, peut-être, après-demain, la France, au mieux, n’aurait pas plus de marge de manœuvre que n’en ont aujourd’hui l’Ukraine et l’Azerbaïdjan. »
En Mai 1992, lors d’un réquisitoire devenu célèbre contre le traité de Maastricht et les illusions économiques de l’euro, Philippe Seguin fut l’un des premiers à dénoncer les méfaits de la monnaie commune pour les Etats qui l’adopteraient. Il fut rejoint quelques années plus tard par de nombreux économistes – au premier rang desquels le Français Jean-Jacques Rosa – et prix Nobels de renom tels que Joseph Stiglitz, Paul Krugman ou Milton Friedman. Trente ans plus tard, force est de constater qu’après plus de vingt ans d’adoption l’euro n’a toujours pas apporté les bénéfices escomptés.
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Fondateur du Courrier des Stratèges. Ancien élève de l'ENA, ancien administrateur de la sécurité sociale. Entrepreneur.
© 2023 Le Courrier des Stratèges
Article de référence sur le sujet. Un grand merci à Monsieur de Vismes. Et merci au Courrier de le publier.
Très bon article. Il serait bien d’en faire un résumé succint accessible à la masse des mal-informés et ignorants économiques car la France a toujours souffert de l’absence de conscience économique de sa population, droguée à l’opium des nuls qu’est le socialo-communisme.
Quant à l’Euro, il suffisait de constater qu’après la guerre, 1 Deutsch Mark valait 1 Franc et en 2000, il valait 3.40 Francs. Cela illustre assez la dérive inévitable des monnaies nationales les unes par rapport aux autres parce que la réalité et sa complexité sont bien plus vastes que ne peut le concevoir les petites cervelles de technocrétins parasitaires qui finissent toujours par s’inflitrer aux commandes du pouvoir et qui sont aussi mauvais qu’ils se croient bons, ce qui n’est pas peu dire.