La guerre d’Ukraine va-t-elle revenir comme un boomerang vers ses véritables instigateurs: le gouvernement américain? Le dévoilement progressif des activités de recherche menées sous la conduite du Pentagone sur les armes biologiques en Ukraine nous ramène les suspects habituels – ceux que nous connaissons déjà dans un autre dossier, celui du COVID-19 – y compris Pfizer. Et si Donald Trump n’avait pas réussi à nettoyer “les marécages” de Washington parce qu’en fait ils ne se limitent pas à la capitale américaine. Il y a des “marécages” du complexe militaro-financier américain dans de nombreux pays – à commencer par l’Ukraine.
Il y a un an, le gouvernement américain et son complexe militaro-financier se frottaient les mains devant ce qui allait advenir en Ukraine. Dans tous les cas, Vladimir Poutine allait être acculé: l’armée ukrainienne devait attaquer à la mi-mars dans le Donbass et en Nouvelle Russie (pour reprendre la Crimée).
Soit le président russe subissait une défaite humiliante. Soit il se défendait, mais dans de mauvaises conditions. Dans tous les cas cela aboutirait au renversement du régime actuel et à la réinstallation d’un gouvernant docile comme Eltsine – pardon d’un démocrate ami de l’Occident. A Washington, on rêvait de reprendre le travail de pillage de la Russie interrompu en 2000, pour réaliser le grand dessein du “nouveau siècle américain”, celui que Brzezinski a formulé dans Le grand échiquier: s’emparer des ressources de la Russie pour être en position de force face à la Chine.
Ce contenu est réservé aux abonnés
Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.
Aucune chance que ça sorte dans le grand public, hélas.
Observez l’écusson américain, sa forme d’écu et les trois flèches d’un trident. Qui en connaît l’histoire et la signification ?
Toujours est-il qu’il est très semblable à des insignes de la waffen SS : celui de la 2ème Panzer, celui des bataillons nazis ukrainiens et aujourd’hui celui du bataillon Azov. Il convient de rappeler ici qu’ont servi d’ailleurs dans la SS des soldats de nombreux pays d’Europe, dont des nazis ukrainiens portant également d’autres modèles d’insigne du trident
Le lien est peut-être audacieux, voir douteux, mais il n’en est pas moins objectivement réel.
Par ailleurs, sans nécessité de fouiller beaucoup, il n’est pas difficile de trouver que le symbole du trident ou des trois flèches sous ses multiples déclinaisons esthétiques et graphiques est sataniste, c’est la fourche du mal, l’arme malfaisante par laquelle le mal se répand.
Là, il n’y a pas matière à contestation ou indignation, c’est une connaissance parfaitement certaine et documentée depuis très longtemps.
N’est-il pas singulier de trouver sur l’écu américain un symbole chargé d’un tel sens et d’une telle antériorité ? Est-ce une coïncidence malheureuse ? Pourquoi l’entretenir en ce cas ?
Même pour les Grecs et les Romains, le trident, (les trois flèches ou dents) était un symbole malfaisant et il a été employé par les pouvoirs militaires ou religieux comme tel pour semer l’effroi, la terreur, et revendiquer la soumission à Lucifer, la dévotion au mal, à la cruauté, à la férocité, à la souffrance, aux sacrifices humains, aux crimes les plus odieux, à la profanation du bien et du sacré dans toutes ses formes et ses dimensions, les plus extrêmes étant celles contre la pureté et l’innocence et les massacres de masse, le but premier étant de contenter le démon.
Alors que fait à cet endroit ce symbole ?
Je pose ici, avec une grande circonspection mais honnêtement la question.