Équipé de ma piètre connaissance de l’ukrainien, c’est probablement ainsi qu’on pourrait traduire l’une des phrases du discours prononcé à l’instant par Volodymyr « le pianiste » Zelensky à Bruxelles. Et il est, en effet, à craindre que, désormais, un tel mode de vie existe – de plus en plus.
Ce mode de vie consistant avant tout à avoir froid l’hiver et à manger des insectes pour combattre le « réchauffement climatique » est effectivement commun (à des degrés encore divers – mais le progrès continue) aux administrés/sinistrés du régime monopartite de Kiev et à ceux de la clique bruxelloise.
Ces grelotements, tout comme le sacrifice inutile de 150 000 jeunes ukrainiens (au bas mot) permettent, nous dit le pianiste, de nous débarrasser de notre dépendance aux énergies fossiles russes, qui, en plus d’être « climatiquement » maléfiques (sauf en Chine), constituent le vecteur magique de la « corruption » : une émanation non moins magique de la culture russo-soviétique – en dépit des « discours de haine » des réactionnaires, qui prétendent qu’elle transite aussi très bien par les SMS qu’échange Ursula von den Leichen avec son ami Albert, duc de Bourlington.
Zelensky à Bruxelles : célébrons l’entrée de l’UE dans l’Ukraine !
On a même trouvé une présidente encore non incarcérée du parlement « européen », chargée de l’introduction du numéro de l’histrion Zelensky, pour rappeler que les cocus slaves dont ce dernier organise en ce moment l’extermination sont – probablement à leur insu – les défenseurs de ces valeurs communes.
Ces valeurs ayant de longue date été la chasse aux sorcières transphobes, la prise de contrôle oligarchique de la société, l’arnaque climatique et – plus récemment – la dépopulation en paradigme biosécuritaire, j’ai, pour ma part, longtemps espéré que le pianiste de Kiev ait raison quand il affirme que l’objectif du Kremlin serait l’anéantissement de ces valeurs. L’idée me semblait excellente – et j’exprimais d’ailleurs cette appréciation avec suffisamment d’enthousiasme pour amener un Etat-membre de l’UE à m’interdire de territoire.
Les très bonnes relations que continue néanmoins à entretenir le régime de Poutine – en pleine pseudo-guerre mondiale – avec les institutions internationales du multilatéralisme de Davos m’ont malheureusement amené à en douter : dans l’UE, tout est faux – même ses ennemis.
Au grand théâtre comique de Bruxelles, vient d’être ovationnée la pièce « Quand le vice couronne le vice ». Le comédien principal, en tournée triomphale en Europe, a reçu de la part de la clientèle habituelle de cet endroit, des applaudissements presque hystériques. Si l’argent ne lui manque pas, il possède, par exemple, des appartements dans le centre de Londres d’une valeur de 7.5 millions de dollars, des comptes aux Caraïbes d’un montant évalué à plus de 770 millions de dollars, il lui manque encore les plus hautes distinctions honorifiques de tous les pays où cet acteur de séries s’est produit. La fortune financière c’est bien, mais l’honneur c’est mieux, et les deux ensemble c’est le nec plus ultra. Etre Grand’croix de la légion d’honneur n’est pas suffisant pour un saltimbanque, car comme on dit : « trop n’est jamais assez ».
“il jouait du piano avec sa queue”
Ouhouhouh.
Les vermines se ressemblent et s’assemblent.
Apres tout, la “finance” a bien soutenu les deux côtés lors des guerres mondiales…