Menacée d’obsolescence par l’univers post-culturel de la Grande Réinitialisation, l’UNESCO se réinvente in extremis comme centre d’organisation de la censure d’Internet. On peut comprendre que, siégeant au centre de ces mégapoles culturellement vandalisées par les Khmers verts, les occupants de ce énième nid de parasitisme social sous bannière ONU, traditionnellement chargé d’une sorte de travail de centralisation des classifications muséographiques, aient fini par ressentir l’angoisse du lendemain.
Mais la solution est toute trouvée : au lieu de classifier des sites (qui ne seront plus visitables qu’en jet privé) et les pratiques culturelles obsolètes de Sapiens sapiens, l’UNESCO va désormais s’employer à classifier des plateformes, des contenus et des utilisateurs – dans la novlangue orwellienne de la conférence : « à lutter contre la désinformation », c’est-à-dire contre nous. Nous qui, d’après la directrice Audrey Azoulay, pratiquons « le déni très organisé des faits scientifiques » (N.B. : Mme Azoulay nous surestime – pour ma part, je trouve que l’organisation laisse à désirer…).
Il faut « améliorer la fiabilité des informations », tâche qu’on ne peut bien entendu pas confier au bon sens des internautes (ce serait du populisme !), pas plus qu’on ne peut laisser l’économie aux mains des entrepreneurs : pour occulter les plantages d’un Mozart de la finance, rien de tel qu’un Wagner de l’information.
L’UNESCO, patrimoine de l’oligarchie mondiale
Même le titre de la conférence – reprenant le leitmotiv « confiance » du discours d’Ursula à Davos 2022 – annonce bien clairement la couleur : désormais, les sans-dents équipés de claviers vont devoir apprendre à faire confiance à leurs bons maîtres, bien décidés à « mettre fin à l’impunité ».
« Impliqu[ant] toutes les parties prenantes », cette parodie collective de discours de K. Schwab a culminé dans une intervention du brésilien Lula, fraîchement rescapé de l’enfer complotiste de Brasilia : ces citoyens qui expriment des doutes quant à la régularité de l’organisation d’un scrutin, « cela doit cesser ».
Et, en effet, tout cela doit cesser. Dans la perspective d’un projet de Sécession, on ne peut que saluer ce grand pas vers la franchise que vient de faire la Caste (représentée, en l’occurrence, par sa menue domesticité de la bureaucratie culturelle), en contribuant à saper l’illusion mortifère d’un espace informationnel commun où zombies masqués et hommes libres pourraient dialoguer.
UNESCO : ou le droit de dire ce “qu’ils” veulent qu’on dise ……
Unification
Numerique de l’esprit
Seule
Compétente à l’
Obeissnce
A propos Julian Huxley premier président de l’UNESCO…
Sir Julian Huxley, administrateur à vie de la British Eugenics Society à partir de 1925, et son président de 1959 à 1962, croyait que « l’eugénisme serait un jour considéré comme la voie à suivre pour la race humaine [et qu’un] événement catastrophique pourrait être nécessaire pour que l’évolution progresse à un rythme accéléré. » […]
Grâce à l’amélioration des techniques, l’élite aura un plus grand contrôle sur les masse; et comme le travail humain ne sera plus nécessaire, les masses seront superflues, un fardeau inutile pour le système. Si l’élite est impitoyable, elle peut simplement décider d’exterminer la masse de l’humanité. Si elle est humaine, elle peut utiliser la propagande ou d’autres techniques psychologiques ou biologiques pour réduire le taux de natalité jusqu’à ce que la masse de l’humanité s’éteigne, laissant le monde à l’élite. […]
Une vision horrifiante, certes, mais qui s’appuie sur les idées de Huxley, Russell et Brzeziński (*) lesquels ont imaginé les populations qui — par des moyens biologiques et psychologiques — sont amenées à aimer leur propre servitude. Huxley a vu l’émergence d’un monde dans lequel l’humanité, toujours à l’état d’animal sauvage, est domestiquée ; où l’élite seule reste libre et possède le pouvoir de décision, tandis que les masses sont domestiquées comme des animaux de compagnie.
Huxley était d’avis que « les hommes et les femmes grandiront en aimant leur servitude et ne rêveront jamais de révolution. Il semble qu’aucune bonne raison n’existe pour qu’une dictature parfaitement scientifique soit un jour renversée. » (Andrew Gavin Marshall, « Le nouvel eugénisme et la montée de la dictature scientifique mondiale » — Global Research)
(*) ces trois individus sont les principaux fondateurs de l’écologie politique. Il n’y a pas de hasard…
L’élite d’aujourd’hui n’est pas différente de celle d’hier, elle doit juste être suffisamment perverse pour cacher ses véritables intentions. Manque de chance: à l’heure d’internet, ces dernières sont exposées par de vilains complotistes… qu’il convient donc de faire taire au nom de la ” lutte contre la désinformation”.
Tous ces organismes internationaux sont, depuis leur création, aux mains de grands philantropes. Ainsi le premier président de l’union européenne, se nommait Walter Hallstein. le juriste de ce cher Adolf. Walter Hallstein fut l’instigateurs des lois nazies de Nuremberg. Récupéré par nos amis américains après la guerre, il enseigna à l’université de Georgetown avant d’être parachuté dans cet organe européen où actuellement sévit une autre parachutée allemande.