Une vidéo devient virale, montrant des agents recruteurs de l’armée ukrainienne traversant Odessa sur leurs trottinettes de combat.
Car ce n’est pas le moindre des combats que mène actuellement l’héroïque régime de Kiev : trouver des hommes entre 18 et 60 ans, qui soient encore en vie, pas encore estropiés et toujours en Ukraine, et les convaincre – généralement par la force – d’aller prendre leur place dans la file d’attente qui piétine à l’entrée de l’abattoir humain organisé dans Bakhmout par l’efficace Prigojine.
Et, comme, depuis le début du conflit – de l’aveu même de la Cour des Comptes française – 7 millions de citoyens ukrainiens (soit plus du double du nombre de ceux qui ont voté pour Volodymyr Zelensky au deuxième tour des élections présidentielles de mai 2019) ont d’ores et déjà quitté leur héroïque pays, comme on peut évaluer à un demi-million le nombre des morts et des blessés, et que les rares enthousiastes du projet néonazi bandériste sont pour la plupart morts il y a presque un an à Marioupol – c’est dire si l’embrigadement zelenskyste se heurte à plus de difficultés sur place que sur les plateaux de LCI.
Crépuscule des dieux kiéviens : la charge des trottinettistes
Et ce, notamment à Odessa, « ville ukrainienne » où une population presque intégralement constituée de barbares russes attend patiemment l’invasion d’une armée… de barbares russes.
C’est pourquoi il faut avoir recours aux grands moyens : intégrées de facto à une armée otanesque fière de ses tanks verts, les troupes du pianiste de Kiev semblent avoir monté un bataillon « Anne Hidalgo » de commissaires politiques veillant à la fois sur l’engagement patriotique et sur la neutralité carbone de la population restante – preuve que mes angoisses récentes concernant l’avenir du SNU n’étaient pas forcément si délirantes que ça.
Et, quand le dernier adolescent ukrainien aura été précipité dans la fournaise du Volksturm, ce bataillon Anne Hidalgo pourra toujours, face aux T72 de Choïgou, reproduire les prouesses équestres des cadets polonais à Krojanty – dont les cadavres accumulés, conformément à une légende due à un correspondant de guerre italien, auraient ralenti la progression de panzers allemands en septembre 1939. A l’époque, la propagande de guerre polonaise était friande de ce genre d’histoires, censées rendre plus supportable l’attente d’un débarquement britannique salvateur… que la Pologne, aujourd’hui, attend toujours…
Levee en masse (10eme vague de mobilisation) ou raffle des hommes entre SEIZE et soixante ans.
Avec bien sur une preference pour toutes les minorites nationales ; russes, hongrois, roumains…
La purete ethnique est à ce prix…
Et donc sous-entraînés et prêts pour l’abattage. Sordide …
Sous la couverture des valeurs européennes, un nettoyage de sans-dents. Le snu obligatoire est une étape préparatoire pour la même chose. Bill, le philanthrope, a déclaré que les sans-dents étaient trop nombreux, mauvais pour la planète et le climat.
J’ai vu des photos de quelques enrolés de force qui étaient plutôt dans leurs 16 ans. Ils rafflent tout ce qu’ils peuvent pour les envoyer dans cette ville qui n’aurait pourtant qu’une valeur symbolique. Ce serait pour gagner du temps le temps de préparer la contre-attaque vers Moscou… et au delà. J’ai du mal à comprendre comment ils vont pouvoir faire celà avec toutes ces pertes cumulées tant en homme qu’en matériel. Une percée est toujours possible avec un bon renseignement mais il faut pouvoir l’exploiter ensuite!