La tendance à l’autoritarisme étatique ne peut plus être ignorée en Allemagne et en Autriche, au moins depuis la crise du Covid-19. Dans ces deux pays, des ministres du parti des Verts ont mis la main à la pâte. Leur politique rappelle de plus en plus l’économie planifiée. La diplomatie et le compromis ne font pas partie de leurs points forts. Cette suffisance est dangereuse, surtout parce que cette nouvelle génération des politiciens verts ne pense souvent pas aux conséquences de ses actes.
Le projet du ministère autrichien de l’Intérieur s’intitule simplement « Loi sur la sécurité en cas de crise ». Mais ce projet contient des explosifs. En fait, il devrait déclencher une tempête d’indignation dans toute l’Autriche. Car pourquoi la politique et les médias du système brandissent-ils depuis des décennies la bannière de la droiture et affirment-ils ne plus jamais vouloir autoriser des situations telles que celles qui prévalaient à l’époque du national-socialisme ou de l’austro-fascisme ? Le calme reste suspect. Seules plus de 18.000 prises de position sur le site Internet du Parlement – en grande partie de nature négative – ont fait un peu de bruit.
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Cette idée que les femmes seraient plus “douces” est plutôt contredite par le règne animal. Ensuite, par l’histoire, les femmes au pouvoir pouvaient se montrer largement aussi cruelles que les hommes. Penser cela juste en transposant l’amour maternel à toutes les situations est une preuve de leur simplisme.
La tendance verte est, j’en ai bien peur quelque chose d’instrumentalisé par des intérêts cachés pour faire de l’argent sur des solutions très contestables (éoliennes, panneaux solaires, voitures électriques, etc.) et aussi pour avancer des agendas sur le plan politique. J’en prend pour exemple l’échec non assumé des fermes à biomasse aux USA. Prenons les verts : ce sont des ayatollahs en matière d’écologie ou la discussion n’est pas possible et qui cachent un vide politique abyssal qu’ils comblent avec des idées radicales et peu étayées. Tout est dans la forme plutôt que dans le fond, ils choquent plus qu’ils n’expliquent: parfait dans la politique contemporaine, le pathos avant tout ! Et à la radio ou la TV, c’est toujours la même chose : logorrhée, agressivité, aucune remise en question.
Cherchez l’ « Etude sur la nature des mouvements écologistes et leurs véritables objectifs » d’Emmanuel Grenier.
En ce qui concerne la gente féminine, il faut quand même reconnaître qu’il y a un peu moins de bestialité et dans les cas de tueurs en série, de viol et vol avec violence, les femmes n’en sont pas représentatives dans les faits divers. Cependant il est vrai qu’en politique il y a, et je le déplore, une tendance à la parité.
La route vers l’enfer est pavée de bonnes intentions.
Tout cela (et plus spécifiquement la première partie de cet article) fait songer au retour d’expérience soviétique : le pays des travailleurs où il était interdit de faire grève ; avec des soviets qui ont très vite gêné l’Etat central et ont donc été mis au tapis expressément…
La question écologique est préoccupante, non seulement parce qu’elle adresse d’authentiques questions de société (qui devraient être autant de questions ouvertes), mais aussi par la tendance à l’idéologie et à « la fin justifie les moyens ». Il s’agit ainsi d’une tentation absolutiste voire totalitaire (tout y serait jugé à l’aune d’une idée, déterminée « en haut »), tentation dont nous devrions sûrement prendre conscience, sachant que nous sommes tous concernés.
A propos : dans cet esprit, j’ai commis récemment une petite musique politico-polémique, sur la question de la tentation écologique.
L’article de Ulrike Reisner semble indiquer que cette question est bel et bien dans l’air du temps, ce qui renforce sa pertinence.
Si vous voulez y réagir, cela serait intéressant, car il y a débat : https://vimeo.com/789127808
Cordialement
Ironiquement les verts galvaudent sans cesse le mot « responsable ». Ce sont les pires crétins irresponsables que la Terre ait porté depuis des années. Une secte. L’autre secte planétaire irresponsable nuisible s’appelle le Journalisme avec un grand J. Voir ce qu’en dit Emmanuel Todd précisément ici: ▶️ https://youtu.be/oAUD1gxEWxE?t=5318
Merci pour cette bonne analyse des nouveaux politiques qui noyautent et utilisent à leur guise les institutions démocratiques ou républicaines pour assoir le pouvoir du parti vert de la dictature du climat. L’analogie avec la dictature du prolétariat organisée par le parti communiste dans les républiques soviétiques et la fédération de Russie de Lenine à Brejnev est évidente.
En France le McRon décide aussi de l’état de crise et constitue un conseil de défense chargé de justifier les décisions arbitraires du McRon, qui a remplacé le président républicain légitime, et d’en faire la propagande de concert avec la politique de la fédération de Bruxelles.